Bonjour,
Ce n'est pas moi qui l'ai dit mais le Prince Philippe de Belgique, lors de la conférence de presse qu'il a tenus au sofitel à Alger. Le Prince est venus accompagner une mission économique composé de 147 hommes d'affaires qui a duré 3 jours. Par ailleurs le chef de la mission dit avoir fortement apprécié les changements intervenus aux cours des dernières années et être tout à fait satisfait de sa visite à Alger.
Extrait de cette visite:
«L’Algérie est devenue un pays ouvrable à l’investissement. Il ne s’agit pas uniquement de faire du commerce en Algérie mais l’essentiel est de s’y implanter et d’y lancer des affaires», a déclaré M. Baudouin. En effet, tout au long de la sortie médiatique d’hier, les représentants de la mission économique belge ont tous insisté sur la nécessité d’améliorer les relations économiques entre les deux pays en les élevant à un plus haut niveau. «Nous sommes ici surtout dans l’objectif du partenariat plutôt que de faire du commerce. C’est aussi pour une construction plus globale dans plusieurs domaines», a avancé, pour sa part, le ministre de l’Economie, de l’Energie, du Commerce extérieur et de la Politique extérieure, M. Marc Verwilghen. Et de préciser : «Nous sommes aux côtés des Algériens pour les aider pas dans le cadre du paternalisme mais dans le partenariat.» Le ministre belge s’est, en effet, engagé à soutenir l’Algérie pour la concrétisation de certains projets à l’échelle nationale. De même, sur le plan international, notamment en ce qui concerne l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Les autres intervenants, en l’occurrence les directeurs généraux des agences pour le commerce extérieur de Bruxelles, Flandre et Wallonie, ont tous dressé un bilan positif de leur visite. «Nous avons eu des rencontres extrêmement positives, notamment avec Sonatrach et Sonelgaz», ont-ils annoncé. C’est le satisfecit sur toute la ligne. D’ailleurs, les documents, signés en marge de la visite, comportent quatre conventions spécifiques (appuis en matière d’hydraulique, santé publique et justice), un mémorandum, un contrat et un accord de création d’un Conseil d’hommes d’affaires des deux pays. De même qu’un contrat commercial portant sur la livraison à l’entreprise du transport urbain d’Alger (Etusa) d’une centaine de bus de la société belge Van Hool, seconde phase de l’accord-cadre signé entre les deux entreprises en mai 2003, portant sur un total de 300 bus. Par ailleurs, les Belges n’ont pas omis de parler d’un avenir prometteur pour l’Algérie en matière d’investissements.
Pour lire la suite Le risque Algérie revu à la baisse
Si cela se concrétise sur le terrain, tout ce qui est porteur d'emploi et de coopération économique est une bonne chose. Au sujet de la reconversion de la dette algérienne le ministre a indiqué que cela était à l'etude.
Ce n'est pas moi qui l'ai dit mais le Prince Philippe de Belgique, lors de la conférence de presse qu'il a tenus au sofitel à Alger. Le Prince est venus accompagner une mission économique composé de 147 hommes d'affaires qui a duré 3 jours. Par ailleurs le chef de la mission dit avoir fortement apprécié les changements intervenus aux cours des dernières années et être tout à fait satisfait de sa visite à Alger.
Extrait de cette visite:
«L’Algérie est devenue un pays ouvrable à l’investissement. Il ne s’agit pas uniquement de faire du commerce en Algérie mais l’essentiel est de s’y implanter et d’y lancer des affaires», a déclaré M. Baudouin. En effet, tout au long de la sortie médiatique d’hier, les représentants de la mission économique belge ont tous insisté sur la nécessité d’améliorer les relations économiques entre les deux pays en les élevant à un plus haut niveau. «Nous sommes ici surtout dans l’objectif du partenariat plutôt que de faire du commerce. C’est aussi pour une construction plus globale dans plusieurs domaines», a avancé, pour sa part, le ministre de l’Economie, de l’Energie, du Commerce extérieur et de la Politique extérieure, M. Marc Verwilghen. Et de préciser : «Nous sommes aux côtés des Algériens pour les aider pas dans le cadre du paternalisme mais dans le partenariat.» Le ministre belge s’est, en effet, engagé à soutenir l’Algérie pour la concrétisation de certains projets à l’échelle nationale. De même, sur le plan international, notamment en ce qui concerne l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Les autres intervenants, en l’occurrence les directeurs généraux des agences pour le commerce extérieur de Bruxelles, Flandre et Wallonie, ont tous dressé un bilan positif de leur visite. «Nous avons eu des rencontres extrêmement positives, notamment avec Sonatrach et Sonelgaz», ont-ils annoncé. C’est le satisfecit sur toute la ligne. D’ailleurs, les documents, signés en marge de la visite, comportent quatre conventions spécifiques (appuis en matière d’hydraulique, santé publique et justice), un mémorandum, un contrat et un accord de création d’un Conseil d’hommes d’affaires des deux pays. De même qu’un contrat commercial portant sur la livraison à l’entreprise du transport urbain d’Alger (Etusa) d’une centaine de bus de la société belge Van Hool, seconde phase de l’accord-cadre signé entre les deux entreprises en mai 2003, portant sur un total de 300 bus. Par ailleurs, les Belges n’ont pas omis de parler d’un avenir prometteur pour l’Algérie en matière d’investissements.
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Si cela se concrétise sur le terrain, tout ce qui est porteur d'emploi et de coopération économique est une bonne chose. Au sujet de la reconversion de la dette algérienne le ministre a indiqué que cela était à l'etude.
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