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Un accord pour l’usine automobile en Algérie signé début mai ? Renault souffle le chaud et le froid

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  • #61
    Depuis le 10 février 2010, il semble acquis que Renault installera une usine en Algérie, comme Le Monde l'annonçait. Mais voilà, deux ans après, toujours rien. Si ce n'est une annonce, revenant de manière cyclique de la part du gouvernement algérien pour faire pression sur le constructeur français, de la fin des "négociations" et la signature d'un protocole d'accord entre Renault et l'Etat algérien au sujet de l'installation d'une usine. Une sorte de "running gag", rappelant l'arrivée du métro, qui a mis trente ans à être lancé... Pourtant, Reuters, vendredi 27 avril, en est cette fois sûr. Selon une source industrielle, citée par l'agence, "un accord devrait être officialisé début mai". Renault ne confirme pas et se contente d'admettre que des négociations sont toujours en cours. "Une annonce en mai serait peu probable", relativise un bon connaisseur du dossier. Reste qu'en coulisse, pas mal de questions, très politiques, semblent difficiles à régler.
    "PRODUIRE AU PLUS PRÈS D'OÙ L'ON VEND"
    En premier lieu, alors que Renault entend s'installer dans la banlieue d'Alger (à Rouiba, le site de l'ancienne usine de camions Berliet), le gouvernement a cherché à l'exiler à Jijel, à 360 km à l'est d'Alger. Cette station touristique dispose d'un très faible tissu industriel. Pour Mohamed Benmeradi, le ministre de l'industrie, l'arrivée de Renault permettrait un équilibre entre les régions en matière d'investissements.
    Mais Renault reste rétif à cet argument. "Nous nous sommes fixés pour règle à Renault, expliquait en février un cadre du groupe, de produire au plus près d'où l'on vend. De même, nous souhaitons trouver des ressources humaines nécessaires pour notre usine."
    La future usine algérienne n'aura pas la même mission que le site de Tanger, au Maroc, inauguré en février. "A Tanger, nous produisons avant tout pour exporter. C'est l'esprit de l'accord avec le gouvernement marocain, rappelait ce responsable. En Algérie, nous n'avons pas l'ambition d'exporter, c'est une usine prévue pour le marché local." Ce nouveau site aurait ainsi une capacité de 75 000 véhicules par an, contre 400 000 véhicules par an pour Tanger.
    Le marché algérien, avec 400 000 véhicules par an, est l'un des plus gros marchés automobiles d'Afrique. Un marché dont la marque au losange détient environ 25 %. "Pour Renault, un tel marché peut justifier une usine", rappelait cet interlocuteur. D'autant que, pour l'instant, les Renault et Dacia vendues sur place subissent une importante taxe d'importation.
    Au-delà des demandes de Renault, il semble que le gouvernement algérien ait eu du mal à gérer correctement les négociations, comme l'explique La Tribune. "La gestion du projet Renault a été confiée à des bureaucrates qui ne connaissent rien à l'automobile, explique un proche du dossier. L'entêtement des négociateurs algériens de s'occuper de la commercialisation des voitures produites en Algérie illustre cette méconnaissance de l'industrie automobile et de l'indécision du gouvernement algérien."
    Philippe Jacqué
    veni vidi vici .

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    • #62
      faut vraiment être borner pour y croire encore ,Renault fais de la politique et nous sommes les dindons
      Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
      alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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      • #63
        tout ce précipite ces derniers temps, ici et là ce confirme l'installation d'une usine de production en algérie comprenant six modèles...rien moins que cela!


        le nom de la marque et M........, les fins connaisseurs en ce domaine seront apprécier et sans nul doute régaleront les petits comme les grands








































































        Dernière modification par hassa2006, 30 avril 2012, 22h15.
        "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
        W.C

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        • #64
          Je pense que les dirigeants de Renault sont de bonne foi quand ils affirment que ce projet d'usine d'une capacité de 75000 voitures par an est viable et qu'ils sont disposés à le mettre en œuvre....mais je sais pas à quel niveau ca cloche.

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          • #65
            hassa2006

            loool je croyais au debit que tu voulait parler de mercedes mais apres avoir vu la photo looll
            je parais que c est du made in china en plus

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            • #66
              mais je sais pas à quel niveau ca cloche.
              au début c'était le nombre de voitures produits et le nombre de modèles
              renault proposait 2 modèles et 50.000 voitures par an
              aprés négociations c'est passer à 4 modèles pour 75.000/an, ce chiffre serait augmentait par la suite

              aujourd'hui, c'est le taux d'intégration qui fait défaut ... le feuilleton continue
              je ne sait même pas pourquoi on discute avec renault alors que des marques comme VW on exprimer leur intérêt à implanter une usine ...

              pendant ce temps :
              Accélération des importations de véhicules en Algérie : Les importations de véhicules en Algérie ont progressé de 17% au premier trimestre 2012, ont indiqué lundi les douanes algériennes. Le pays a importé 102 720 véhicules durant le 1er trimestre 2012, contre 87 962 unités durant la même période de 2011.
              Les importations de l'Algérie de véhicules restent dominées par les marques françaises (Peugeot, Renault, Citroën). Toutefois, les importations des marques allemandes (Volkswagen, Audi, Seat et Skoda) ont explosé, affichant une progression de 87,51%. (Le Monde)
              veni vidi vici .

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              • #67
                aujourd'hui, c'est le taux d'intégration qui fait défaut ... le feuilleton continue
                Pour améliorer le taux d'intégration, il faut que les équipementiers s'installent à alger, ca ne se fait pas du jour au lendemain...ca prend un peu de temps, c'est normal..le problème c'est pas ca..à mon avis il fait se poser la question suivante : les équipementiers, vont-ils venir s'installer en Algérie sachant qu'ils n'auront pour client qu'une petite usine (tout est relatif, je sais bien)?...je n'ai pas de réponse à cette question.
                cela dit, d'après ce que j'ai compris, les autorités algériennes veulent juste une usine...un taux d'intégration élevé n'est pas une priorité pour eux.

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                • #68
                  un taux d'intégration élevé n'est pas une priorité pour eux
                  détrompe toi, le ministre de l'industrie a bien préciser que renault n'était qu'une première étape, l’Algérie veut créer une vrai industrie automobile sur son sol
                  le probléme c'est les importateurs (un puissant lobby) et la bureaucratie algérienne

                  mais bon on peut rêver d’être comme l’Afrique du sud (j'ai lu qu'ils avait 12 constructeurs automobiles) alors pourquoi pas nous sachant que l'es algériens achètent de plus en plus de voitures
                  veni vidi vici .

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                  • #69
                    Salam, Bonsoir,

                    Citation:
                    aujourd'hui, c'est le taux d'intégration qui fait défaut ... le feuilleton continue
                    Pour améliorer le taux d'intégration, il faut que les équipementiers s'installent à alger, ca ne se fait pas du jour au lendemain...ca prend un peu de temps, c'est normal..le problème c'est pas ca..à mon avis il fait se poser la question suivante : les équipementiers, vont-ils venir s'installer en Algérie sachant qu'ils n'auront pour client qu'une petite usine (tout est relatif, je sais bien)?...je n'ai pas de réponse à cette question.
                    cela dit, d'après ce que j'ai compris, les autorités algériennes veulent juste une usine...un taux d'intégration élevé n'est pas une priorité pour eux.
                    il y a sans doute d'autres "opportunités" lorsqu'il s'agit d'installer, donc de démarrer, la douceur n'a rien de moins prévalant des domaines "équipementiers" puisque automatiquement elle s'induit la prudence et l'équilibre, c'est normal, et le temps s'y contribue d'affirmer, petit à petit, mais, malgré tout, certaines branches affiliées se pourraient d'être un peu comme les façons pré-installées des éléments de réussites où il est toujours un élément, parmi les autres et dans l'ensemble, qui fasse remarquer, des souvenirs jusqu'aux présents, des instants déterminant au début, à la relance, à la nouveauté, d'une entreprise, la réussite étant l'objectif en question...

                    Salam, merci...
                    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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