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144 cadres du FFS interpellent Aït Ahmed

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  • #16
    @born_hittiste

    Il faut savoir que les sympathisants du FFS ne sont pas tous militants. Ils ne peuvent pas donc tous savoir ce qui se trame de l'intérieur. Pour un simple sympathisant, la participation est une capitulation face à un pouvoir qui ne lâche rien. Et comment pourront-ils penser autrement alors que même des anciens comme Zenati et Bouakouir en jettent l'opprobre. On ne peut pas accuser tout le monde de dissidence.

    En tous cas, le FFS est dans une situation pas du tout enviable et ce n'est pas en corrigeant les dissidents qui les choses s'arrangeront. Bien au contraire.

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    • #17
      Militantisme.

      @zen.man
      C'est vrai qu'il faut distinguer entre un sympatisant et un militant.mais entre Laskri et Bouakouir, je suis personnellement opposé à ce qu'on dise que l'un est plus militant que l'autre. ne sont ils pas tous les deux pour une même conviction et ligne de conduite. Convenez que lorsqu'on se démarque on ne partage pas le même point de vue d'ou la divergence officilaisée par un écrit notifié par plus de 144 militant d'envergure.

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      • #18
        Le FFS a perdu beaucoup de ses partisans. Ait Ahmed n,a pas été fidèles ses engagements alors qu'un an avant les élections, il disait que participer aux élections était de la trahison au pays!

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        • #19
          c'est ce que disent tous les caciques. pourtant à 80 ans comme vous dites ils sont boulonnés sur leur siège avec écrou et contre ecrou.
          heureusement qu'on peut choisir.

          si on est pas d'accord avec la ligne politique du FFS, on crée ou on adhere a un autre parti et la polemique est close...

          @born_hittiste

          Il faut savoir que les sympathisants du FFS ne sont pas tous militants. Ils ne peuvent pas donc tous savoir ce qui se trame de l'intérieur. Pour un simple sympathisant, la participation est une capitulation face à un pouvoir qui ne lâche rien. Et comment pourront-ils penser autrement alors que même des anciens comme Zenati et Bouakouir en jettent l'opprobre. On ne peut pas accuser tout le monde de dissidence.
          comment peut on juger un acte politique sans meme connaitre la suite des evenements. l'APN n'a meme pas commencé ses travaux que tout le monde crie a la normalisation ?

          concernant les critiques de zenati et bouakuoir je te renvoi a la reponse de Laskri...

          Essayons de voir clair. Est-ce notre participation aux élections législatives qui pose problème ? A l’évidence non, le conseil national du parti a voté la participation à une écrasante majorité. Est-ce la constitution de la commission nationale de choix des candidatures et de la commission de recours qui a été décriée ? Non, cela s’est fait dans le strict respect des statuts du parti et elles ont été avalisées par le Conseil national. Est-ce le choix des listes électorales et surtout les classements des candidates et des candidats qui ont été contestés ? Certainement, et c’est parfaitement compréhensible.
          Ce qui l’est moins et qui est parfaitement condamnable, c’est de s’autoriser de mener un travail fractionnel et une campagne contre le parti et sa direction politique. Pour tout dire, la campagne électorale a permis aux militants de s’investir totalement dans ce qu’ils veulent faire, à savoir le combat politique.
          et...

          Ces nouveaux contestataires accusent, pour certains, la direction du parti de compromission avec le pouvoir. On parle de «tentative de normalisation» du parti. Quel est votre commentaire ?

          Personne dans le parti n’assume publiquement une telle accusation. Pour ce qui est des tentatives de normalisation, toutes les directions du parti ont eu à subir ces accusations, qu’en reste-t-il ? Au final, seuls les actes et les positions politiques permettent les décantations et les évaluations.
          There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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          • #20
            comment peut on juger un acte politique sans meme connaitre la suite des evenements. l'APN n'a meme pas commencé ses travaux que tout le monde crie a la normalisation ?
            Ca se voit que t'es optimiste. Bon courage.

            Je tiens juste à te rappeler qu'une guêpe ne produit jamais de miel.


            concernant les critiques de zenati et bouakuoir je te renvoi a la reponse de Laskri...
            La base est mille fois sensible aux critiques d'un Zenati que la réponse d'un Laskri que seuls les militants connaissent.

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            • #21
              Ca se voit que t'es optimiste. Bon courage.

              Je tiens juste à te rappeler qu'une guêpe ne produit jamais de miel.
              je suis realiste...

              cite moi un seul parti politique en algerie qui suscite autant d'interet et de polemique...tous reagissent en fonction des humeurs du pouvoir. seul le FFS est capable de deranger les hautes sphere.

              La base est mille fois sensible aux critiques d'un Zenati que la réponse d'un Laskri que seuls les militants connaissent.
              detrompes toi zen...1992, saint egideo, l'apn 1997, l'arrouch 2002 beaucoups d'eau a coulé sous les ponts. des sympatisants adhérent, des militants démissionnent...c'est ça la vie d'un parti politique.
              There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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              • #22
                cite moi un seul parti politique en algerie qui suscite autant d'interet et de polemique...tous reagissent en fonction des humeurs du pouvoir. seul le FFS est capable de deranger les hautes sphere.
                Encore heureux que le plus vieux parti d'opposition suscite autant d'intérêt. Cela démontre tout l'espoir que beaucoup placent en lui. Ca permet également de comprendre la déception de beaucoup suite à la participation à une élection fermée.

                Je vois que t'es partisan du changement de l'intérieur. Un peu comme la politique du feu Nahnah qui pensait que le changement s'amorce d'en haut. Après des années, que des échecs.
                Loin de moi la volonté de comparer deux partis diamétralement opposés. Mais force est d'avouer que le pouvoir Algérien est très dangereux et le côtoyer n'apporte que malédictions. Impossible de voir Ait-Ahmed accepter une telle participation si ce n'est la question cruciale de sa succession qui risque d'imploser le parti. Un Ait-Ahmed aussi jeune et vigoureux avait même osé prendre les armes.

                Que peut faire le FFS avec son groupe parlementaire et même en s'alliant avec le PT ? Rien. A moins de composer avec le FLN avec le risque de vendre son âme.

                En 2014 y aura une élection présidentielle cruciale et les clans du pouvoir sont en plein tractations pour trouver l'homme de consensus. Que peut le FFS si ce n'est encore cautionner cette élection en présentant son candidat en prenant acte de la parole d'un pouvoir qui n'a pas de parole.

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                • #23
                  En 2014 y aura une élection présidentielle cruciale et les clans du pouvoir sont en plein tractations pour trouver l'homme de consensus. Que peut le FFS si ce n'est encore cautionner cette élection en présentant son candidat en prenant acte de la parole d'un pouvoir qui n'a pas de parole.
                  le pouvoir n'a pas qu'une seule tete mais plusieurs...il faut retenir 3 dates.

                  1990-1992 le FFS a misé sur la bonne tete...les 2 seules années de liberté d'expression en algerie...apres c'etait le coup d'etat.

                  1997-1999 le FFS a misé sur hamrouche, le rcd sur boutef chantage politique en periode trouble.

                  2012 - 2014 le pouvoir est a bout de souffle le FFS mise sur une mobilisation citoyenne pour rendre le pouvoir au peuple.

                  si tu vois une autre issu plus realiste je suis preneur.
                  There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

                  Commentaire


                  • #24
                    2012 - 2014 le pouvoir est a bout de souffle le FFS mise sur une mobilisation citoyenne pour rendre le pouvoir au peuple.
                    Le pouvoir est au bout de souffle dis-tu !!

                    J'aimerai bien te croire mais moi je te dis qu'il n'a jamais été aussi fort. Avec ses caisses pleines, le pouvoir Algérien peut s'acheter la paix sociale et même s'acheter le silence des puissances occidentales. Plus la pression s'accentue de l'intérieur plus les concessions aux étrangers seront grandes.
                    si tu vois une autre issu plus realiste je suis preneur.
                    J'aurais bien voulu formuler un espoir suite à l'arrivée au pouvoir des socialistes. Mais la crise en Europe est telle que les Français chercheront avant tout à accentuer le volume des affaires entre nos deux pays faisant fi des états d’âmes des uns et des autres.

                    Le pouvoir Algérien comprend un seul langage et tu sais bien lequel.

                    Commentaire


                    • #25
                      Entretien avec l’ancien Premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou
                      "Le FFS est réduit à un parti qui accepte les strapontins"


                      TSA : Réalisé par Hadjer Guenanfa



                      Le FFS vit une grave crise interne depuis les élections législatives du 10 mai. Des cadres et des militants dénoncent les agissements de la direction de leur parti et redoutent que le FFS abandonne l’opposition. Dans cet entretien, Karim Tabou, ancien Premier secrétaire du plus vieux parti d’opposition en Algérie, analyse les raisons de cette crise et accuse la direction d’intimider les militants en utilisant Aït Ahmed…


                      À quoi est due la crise qui couve actuellement au FFS ?

                      La direction du parti essaie de réduire cette crise à un simple mécontentement de militants suite à l’élaboration des listes électorales lors des dernières législatives et à des problèmes d’ordre organique. La vérité est que la direction du FFS est en train d’intimider ses militants en utilisant le message d’Aït Ahmed comme une arme pour faire taire le débat et changer sa ligne politique. Les cadres du parti se sont sentis offensés et agressés par les pratiques violentes de la direction. Ils voient bien que le FFS est en train de virer d’un parti d’opposition plaidant pour le changement démocratique et pacifique vers un parti qui s’accommode des compositions avec quelques franges du système et qui commence à se normaliser.

                      Il y a eu une élection dans le pays le 10 mai dernier. Au lieu de dénoncer les violences constatées pendant la campagne, de garder son autonomie de décision, de rassurer ses militants sur la nécessité de résister face aux coups de force, la direction du FFS s’est félicitée des résultats proclamés par le Conseil constitutionnel. Des militants sont aujourd’hui scandalisés, dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj, après avoir appris que le parti s’est vu attribuer deux sièges qu’il n’a pas obtenus et qu’il n’a pas mérités. Le FFS est réduit à un parti qui accepte les strapontins.


                      Vous parlez de compromissions avec quelques franges du pouvoir…

                      Au FFS, il y a une entreprise d’exclusion et de transformation de l’intérieur dont la finalité est de chasser du parti toute idée d’opposition radicale au système. La direction est en train de conduire le FFS vers une normalisation, une domestication claire dont les objectifs sont de participer aux équilibres internes au pouvoir. La direction du parti veut émettre des signaux en direction du pouvoir pour lui dire que le plan fonctionne, que la démarche est exécutée tel que souhaité par les officines du pouvoir.

                      Cela dit, tout se passe dans l’opacité et loin du débat démocratique interne au parti. Pourtant, des résolutions organiques stipulent que le Conseil national est la seule instance fixant la ligne politique du parti. Les intentions du régime sont d’en finir avec le courant démocratique, les forces d’opposition démocratique. Le système a toujours eu l’intention de normaliser la société et le FFS a trouvé l’opportunité et des éléments pour le faire.


                      Qui sont les responsables de cette situation au FFS ?

                      Officiellement, il y a une direction qui est en train de représenter le parti. Devant l’opinion publique, cette instance du parti devra assumer ses responsabilités.


                      Qu’en est-il de la part de responsabilité de Hocine Aït Ahmed ?

                      Aït Ahmed est le président du parti. Il est respecté par l’opinion publique et par les militants. Les rapports qui lui ont été transmis sur la gestion du parti et le déroulement de toutes les opérations sont, pour le moins qu’on puisse dire, incomplets. Ils n’émanent d’ailleurs pas des instances habilitées à le faire. Le Conseil national est le seul cadre dans lequel on peut élaborer une évaluation et la transmettre au président du parti. Le conseil devait se tenir au lendemain des élections pour faire une évaluation. Il n’a toujours pas été convoqué. C’est la base militante qui est en train d’exiger une session extraordinaire pour évaluer la gestion du parti depuis quelques temps et mettre en lumière toutes les dérives constatées dans le parti et ayant suscité l’inquiétude au sein de la base.


                      Une lettre vient d’être adressée par près de 150 cadres au président du parti. Pensez-vous qu’il répondra à cette lettre ?

                      Je ne peux pas répondre à cette question. Je ne suis pas Aït Ahmed. La base l’espère en tous cas. Les cadres du parti sont engagés à réhabiliter le FFS dans sa ligne originelle de parti d’opposition radicale qui plaide pour un changement démocratique dans le pays.


                      Comment évolueront les choses au cas où le président du parti ne répondrait pas favorablement aux doléances des protestataires ?

                      Chacun de nous devra assumer ses responsabilités.
                      Il semble que le débat interne au FFS, reflète deux courants de pensé concernant l'action politique et la stratégie d'opposition au pouvoir en place.

                      Les jeunes radicaux, qui expriment une stratégie d'opposition radicale consistant à s'opposer par principe, étant pour eux l'ADN du FFS qui ne peut qu'avoir une stratégie d'opposition en misant sur l'éclatement du pouvoir.

                      Les vieux loups qui connaissent les tenants et les aboutissants de la politique algérienne, et qui sont bien conscients que les stratégies de pourrissement et de chaise vide, finissent par renforcer un pouvoir transitoire faute d'alternance pacifique pouvant produire la transition souhaité par les algériens.

                      Force est de constater que les algériens refusent aujourd'hui massivement les aventures, et notamment car ils savent pertinemment que certaines aventures sont tant souhaités par des intérêts extérieurs bien identifiés. dans ce contexte, la réhabilitation du politique, comme moyen de mobiliser les forces vives de la nation, et produire une alternance inévitable, celle qui sera issue de l'échéance 2014, mais aussi celle issue d'un processus de démocratisation qui permettra inéluctablement de produire des pôles politiques capables de fédérer les courants politiques que traversent la société algérienne. Dans ce sens, le FFS se positionne incontestablement comme le leader d'un pôle d'avenir pour le pays.
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #26
                        Imbroglio

                        @born hittiste a dis:
                        si on est pas d'accord avec la ligne politique du FFS, on crée ou on adhere a un autre parti et la polemique est close...

                        De quelle ligne de conduite parlez vous?
                        • des cadres du FFS contestataire
                        • De la ligne de conduite de Laskri
                        • D'adhérer aux propositions de Bouakouir


                        Vous allez vite en besogne en disant qu'il faut choisir un autre parti pour un militant qui a adhérer depuis 1963- De grace, evitez ces propositions intempestives !

                        Commentaire


                        • #27
                          Le pouvoir est au bout de souffle dis-tu !!

                          J'aimerai bien te croire mais moi je te dis qu'il n'a jamais été aussi fort. Avec ses caisses pleines, le pouvoir Algérien peut s'acheter la paix sociale et même s'acheter le silence des puissances occidentales. Plus la pression s'accentue de l'intérieur plus les concessions aux étrangers seront grandes.
                          le pouvoir est fort parce qu'il n'a pas trouvé un adversaire de poids. comme tu l'as constaté sur ce forum, nos intellos de pacotille ont trouvés dans la participation du FFS un sujet interressant pour s'attaquer au pouvoir. ils ne peuvent le brusquer frontalement, trop laches pour ça.


                          Les jeunes radicaux, qui expriment une stratégie d'opposition radicale consistant à s'opposer par principe, étant pour eux l'ADN du FFS qui ne peut qu'avoir une stratégie d'opposition en misant sur l'éclatement du pouvoir.
                          la radicalité dans les paroles ne menent nulle part. quand tabbou etait premier secretaire, il n'etait pas capable de reedité le seul organe de presse du parti.

                          permettre au parti d'avoir une plus grande audience auprès du peuple, ne signifie pas renier ses engagement ni cautionner le pouvoir.


                          De quelle ligne de conduite parlez vous?
                          des cadres du FFS contestataire
                          De la ligne de conduite de Laskri
                          D'adhérer aux propositions de Bouakouir
                          pour un militant de la premiere heure au lieu de nous expliquer la vraie ligne de conduite et surtout tes reserves sur l'actuelle direction du parti, tu répète se que les medias relatent...
                          Dernière modification par born_hittiste, 30 mai 2012, 09h05.
                          There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

                          Commentaire


                          • #28
                            Eléments de réponse.

                            @born hittiste
                            D’abord on se connaît pas et vous n’avez pas à me tutoyer d’une part et je ne fais pas référence à un article d’un quelconque journal mais bel et bien à un entretien d’un membre éminent du FFS qui s’est engagé d’autre part.
                            Je relève également à travers votre écrit, que vous ne portez pas d’intérêt aux problèmes d’ordre et de méthode important et leur impact sur le cadre organisationnel du parti FFS.
                            Vous êtes certainement jeune et je vous fais remarquer que vous n’oserez pas dire à votre père que s’il n’adhère pas à votre position qu’il sorte de la maison !!!!
                            De la décence SVP.

                            Commentaire


                            • #29
                              le pouvoir est fort parce qu'il n'a pas trouvé un adversaire de poids. comme tu l'as constaté sur ce forum, nos intellos de pacotille ont trouvés dans la participation du FFS un sujet interressant pour s'attaquer au pouvoir. ils ne peuvent le brusquer frontalement, trop laches pour ça.
                              "Les intellos de pacotilles" se méfient souvent des affres de la politique, ce ne sont pas des politiciens mais analysent les situations, sinon, on les nommerait politiciens. Ils se méfient aussi des discours démagogiques et diviseurs, et surtout de tout ce pseudo discours électoral pour arriver au pouvoir, puis le vide, le néan quand il s'agit de pratiquer le pouvoir, et de gérer un pays et répondre aux attentes des algériens, du à l'inexpérience, du au goût du pouvoir qui rend fou, et du au clientélisme qui est une réalité culturelle de nos sociétés méditéranéennes.
                              Othmane BENZAGHOU

                              Commentaire


                              • #30
                                @born hittiste
                                D’abord on se connaît pas et vous n’avez pas à me tutoyer d’une part et je ne fais pas référence à un article d’un quelconque journal mais bel et bien à un entretien d’un membre éminent du FFS qui s’est engagé d’autre part.
                                dans un forum generaliste je tutoie tout le monde avec respect et conformément aux regles.

                                Je relève également à travers votre écrit, que vous ne portez pas d’intérêt aux problèmes d’ordre et de méthode important et leur impact sur le cadre organisationnel du parti FFS.
                                le sujet traite l'impacte politique de la participation du FFS aux legislatives et sa crédibilité aux yeux de l'opinion publique. tu n'as pas répondu...

                                Vous êtes certainement jeune et je vous fais remarquer que vous n’oserez pas dire à votre père que s’il n’adhère pas à votre position qu’il sorte de la maison !!!!
                                De la décence SVP.
                                je ne fais de politique avec mon pere.

                                "Les intellos de pacotilles" se méfient souvent des affres de la politique, ce ne sont pas des politiciens mais analysent les situations, sinon, on les nommerait politiciens. Ils se méfient aussi des discours démagogiques et diviseurs,
                                qui dit analyse, dit connaitre les tenants et aboutissants de la donne dans les haute sphere du pouvoir. je constate que tout ce qui se dit n'est que cacophonie. le seul but est de mettre des obstacles a n'importe quelle initiative.

                                surtout de tout ce pseudo discours électoral pour arriver au pouvoir, puis le vide, le néan quand il s'agit de pratiquer le pouvoir, et de gérer un pays et répondre aux attentes des algériens, du à l'inexpérience, du au goût du pouvoir qui rend fou, et du au clientélisme qui est une réalité culturelle de nos sociétés méditéranéennes.
                                justement...c'est pour ne pas tomber dans les memes erreurs que nos analystes doivent travailler pour eclairer les citoyens.
                                Dernière modification par born_hittiste, 30 mai 2012, 09h59.
                                There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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