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NABNI: Les 200 milliards $ de réserves sont un mirage !
Et ça se résume en deux mots: Les avoirs sur l'extérieur (l étranger ) l'Algérie a choisit que ces avoirs sur l'étranger reste liquide à 50% (placement en devise auprès des Banques )quasi-liquide à 50% ( Bon de trésors a court terme)
Les placement à terme (moyen ou long ) sont mieux rémunérés ,mais comporte plus de risques économiques ,et dans la conjoncture actuel,la prudence est obligatoire !!!!
Les business men savent pertinement que c'est en période de crise que les meilleures opportunités existent, et que les prises de risque peuvent s'aavérer gagnants.
Cependant, personnellemnt, je ne suis pas pour l'utilsiation des réserves de change dans des actifs d'entreprise, par manque d'expertise de la banque centrale, par prudence vis-à-vis d'un marché extremement volatile.
Tout épargnant, quand il rencontre son banquier, doit définir son horrizon d'investissement, son niveau de risque, et sa rentabilité souhaitée. C'est le cas de la banque centrale, qui définis le type d'investissment qu'elle opère, avec une liquidité à garantir, et un niveau de risque, notamment de risque de change. Un fonctionnaire ne peut pas se permettre de jouer avec l'argent des algériens, et ça réduit le niveau de risque que la banque centrale peut prendre, et donc la rentabilité qu'elle peut prétendre. Si les besoins en devise ne sont pas immédiats, même si le cours du pétrole actuellement n'est aps au beau fixe, une partie des réserves peuvent être investits à long terme, avec une meilleur rentabilité, et un risque mesuré.
Dernière modification par ott, 18 juin 2012, 15h22.
je ne te donne que le bleu (fais l'éffort de verifier tes information pour le reste, dont le non sens...)
je ne sais pas si tu fais l'effort nécessaire pour comprendre ce que les autres écrivent ou, tout simplement , cela t'échappe.
dans les deux cas tu dois revoir ta méthode.
quand tu as 200 milliards de $ qui t'apportent dans les 5 milliards/an, c'est combien en % ?
la encore tu as besoin de faire un effort de lecture ou.....documente toi.....
tu n'as qu' à approfondir la crise de la grece et tu comprendras le système des dépôts et des crédits entre états ....cela n'a rien à voir avec la gestion tu tien par exemple !
Si, justement, la contrepartie dinar est déjà budjetisé ou dans le FRR...
d'ou tenez vous cette logique de raccourcis ? de ce seul article ou est-ce que c'est allimenté par autres sources plus fiables ?
J'illustre par un exercice de pensé: supposons que comme le souligne sidmark toutes les banques qui détiennent nos avoirs fassent faillite, ça voudrai dire que la masse monétaire qu'on a n'aura plus aucune valeur (contre valeur) ?
De même, quand nous n'avions que 0 $, le dinars n'avait aucune valeur ?
Ou encore, que depuis qu'on est passé de 0 à 200 milliards de $, la valeur du dinars à été des milliers de fois été "maintenue" en comptant en plus des investissements/dépenses effectués ?
Dernière modification par GLP, 18 juin 2012, 15h28.
d'ou tenez vous cette logique de raccourcis ? de ce seul article ou est-ce que c'est allimenté par autres sources plus fiables ?
J'illustre par un exercice de pensé: supposons que comme le souligne sidmark toutes les banques qui détiennent nos avoirs fassent faillite, ça voudrai dire que la masse monétaire qu'on a n'aura plus aucune valeur (contre valeur) ?
C'est incroyable comme cette histoire de reserve de change est aussi mal comprise. Nos devises sont issus essentiellement de nos exportations, en pétrole essentiellement. Chaque opération d'exportation nécessite un rappatriement des devises auprès de la banque centrale, qui opère une opérationd e change et verse la contrepartie en dinars à l'opérateur. La comptabilité est ensuite en dinars, que ce soit pour Sonatrach ou pour quelconque opérateur. Ces dinars rentrentd ans la compatbilité de chanque entreprise, et dans le cas de Sonatrach, permettentd e payer des impots et la taxe voir surtaxe pétrolière à l'état. Ces taxes sont budgétisées ou dans le FRR.
Les devises restent eux à la banque centrale qui permet dans le cadre d'une importation par exmeple, un versement de dividende, un investissement d'une entreprise à l'étranger, de faire l'opération inverse, l'opérateur paie en dinars sa banque, et la banque centrale autorise une opération de change vers l'étranger. Khalifa a largement utilisé ce procédé pour transférer des devises, en achetant des entreprise en quasi faillite.
C'est aussi simple que ça dans un pays où la convertibilité du dinar est commerciale.
C'est claire ott, mais je ne vois pas la raison de ton exclamation.
je reprend, tu dis à El Nino qui suggérait de les utiliser pour les investir en Algérie qu'on ne peut acheter avec que des bien libellés en devises. et je t'ai répondu: pas exclusivement.
En fin, pour couronner le tout tu t’étonne en nous expliquant de A à Z (en excluant plusieurs cas de figures qui justifient le choix de mon exemple plus haut) le cercle de vie de ces devises!
Exactement comme comme le processus de "budgétisation", ne peux tu pas faire de même pour acheter une usine locale/investissement au lieu d'émission de monnaie ? (vente de devises en contre partie si tu accepte de l'appeler comme ça)
Quand on parle de rapatrier ces devises, c'est de revendre les biens (bon de trésors par exemple) et injecter leur valeur dans le circuit locale en forme d'investissements.
Je sens que tu vas revenir à l'autre point (sont déjà dans le circuit local), et ainsi de suite !
Dernière modification par GLP, 18 juin 2012, 15h57.
C'est claire ott, mais je ne vois pas la raison de ton exclamation.
je reprend, tu dis à El Nino qui suggerait de les utiliser pour les investir en algerie qu'on ne peut acheter avec que des bien libellés en devises. et je t'ai répondu: pas exclusivement.
Enfin, pour couronner le tout tu t’étonne en nous expliquant de A à Z (en excluant plusieurs cas de figures) le cercle de vie de ces devises!
Exactement comme la "budgétisation", ne peux tu pas faire de même pour acheter une usine locale ? (vente de devises)
Toutes les opérations économiques en Algérie se doivent d'être libellées en dinars. Dans ce cadre, c'est le budjet de l'état et le trésor, qui dans le cadre d'un investissement de l'état est sollicité, et nullement la banque centrale.
Bon tu passes au détails techniques, restons en mode "vulgarisation" veux tu.
on veut créer 1000 usines Mercedes en algérie d'accord, il nous faut des devises pour les payer (clé en main installés en algerie).
Deux choix:
1- on exporte le petrol et avec les $$$ on paie
2- en vend notre monnaie (réduction) et on achète des $$$
3- on s'endette
Comme le 2 n'est pas possible pour algérie, et la 3 est l’extrême en cas de disponibilité des $$$, on a un seul choix c'est de consommer nos petro dollars $$$ pour payer le prix de ces usines qu'on va nous installer en algerie.
D'ou sors le pognon qui regle la facture ?
$$$ des caisses de la banque centrale ou les dinars du tresor ?
je la remixe autrement: qui alimente l'autre, le trésor alimente la caisse aux $$ pour payer les usines ou c'est la caisse des $$$ qui regle la facture ET alimente le trésor si besoin (si on fait fi des autres sources, fiscalité....)
Dernière modification par GLP, 18 juin 2012, 16h14.
Toute dépense de l'état passe par le trésor, que ce soit pour payer les fonctionnaires, ou pour acheter une usine Mercedes, si tu veux. L'usine Mercedes en Algérei sera une société de droit algérie, qui se doit d'avoir un capital en dinars. Si les allemands participent à 50% du capital, ils ramènent des euros, qui sont convertis par la banque centrale et le capital est constitué en dinars. Si l'état investit, il le fait indirectement à travers des montages dentreprises publiques, en l'occurence la SNVI, pour les 50% restants. Il peut toutefois verser le capital en dinar à cette entreprise, s'il veut directement investir, et c'est le trésor qui versera le reste du capital.
Une fois le capital constitué, l'usine est constituée d'équipement importées, cette nouvelle entreprise va solliciter la banque centrale pour l'importation des équipements et matière première, qu'elle paiera en dinars, la banque centrale assurera le change de ces opérations d'importations.
Mercedes, après plusieurs exercices gagne de l'argent, fait des bénéfices dans son entreprise algérienne, et pourra ensuite demander de convertir ses dividendes initialement en dinars en devise. Il passera par la banque d'Algérie qui autorisera cette opération de change des dividendes.
Dernière modification par ott, 18 juin 2012, 16h20.
ott: tu fais exprès de noyer le poisson ? ou tu te noie toi même avec le full theoretical!
dois-je préciser encore et encore inutilement.
le trésor n'a pas un sous,plus aucune goute de petrol et on a 200 milliards de $, l'etat doit investir directement (plus d'snvi détruite par un attentat terroriste, et ne me dis pas qu'il reste encore l'enmtp, je la détruirai par une explosion accidentelle !) .
Les fonds passent par ci, par là, se font pointer dans telle écriture comptable, passent un séjour dans telle caisse, montent, descendent, font du yoyo à oran, dansent la salsa au sud....ect (tout le processus légale que tu veux).
Ma question directe, simple: d'ou viendra le fond pour payer cette usine ? sa source qui sera débité du montant au final.
C'est les devises (qui se transforment ou pas en cacahuètes, ce n'est pas la question)
Maintenant pour terminer mon intervention à ce sujet: on peut bien investir ces devises en acquérant des usines (comme les bons de tresor) libellés en devise ou on investissant en Algérie (puisqu'on paie ce qu'on importera pour ce projet en devises, et on paie les autres frais locaux libellés en dinars en émettant des dinars puisqu'on a la contre partie en devises, "budgétisation" tu te rappel ? )
Toutes les opération mènent à la fin à la réserve de change comme tu l'as si bien -partiellement- expliqué plus haut... et pourtant c'est simple de l'appliquer à mon exemple d'investissement local.
Et en fin, non ils n'ont pas été tous budgétisés ! on n'a pas investit ni consommé 130 milliards de $ en quelques années en plus des autres ressources (fiscales, intérêts....)! et celui qui persiste encore, il n'a qu'à sortir sa calculette et s'armer d'une bonne tasse de café, arrondir tous les chiffres de tous les budgets successifs (dont déficits) depuis que le compte devises a commencé à reprendre des couleurs ...
Dernière modification par GLP, 18 juin 2012, 16h46.
le tresor n'a pas un sous,plus aucune goute de petrol et on a 200 milliards de $, l'etat doit investir directement (plus d'snvi détruite par un attentat terroriste) .
Les fonds passent par ci, par là, montent, descendent....ect (tout le processus légale que tu veux).
Ma question directe, simple: d'ou viendra le fond pour payer cette usine ? sa source qui sera débité du montant au final.
C'est les devises (qui se transforment ou pas en dinars ou en cacahuètes n'est pas la question)
En effet, beaucoup d'incompréhension. Le budget de l'état est fait de dépenses et de recettes. Les recettes sont les différents impots et taxes que perçoit le trésor. Les dépenses, sont pour une part des dépenses de fonctionnement et d'équipement. Un des drames des années Boumedienne, c'est que l'état a créé des entreprises sans capital propre conséquent, et donc avec un endettement élevé auprès des banques publiques. Dans le cadre de ton exemple Mercedes, L'état peut favoriser le financement par des banques publiques de la part du capital que détiendra la SNVI dans scette nouvelle entreprise, il me semble avoir lu, que le budget de la défense, sera aussi mis à contribution (budget d'équipement de la défense).
La banque centrale assure les opérations de change, et le financement du déficit de l'état...
Dernière modification par ott, 18 juin 2012, 17h03.
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