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Les services publics algériens

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  • #16
    Pourquoi ?? L'infrastructure reste propriété de l'état , et des sociétés privées de chargent de facturer l'énergie consommée au client final , de son raccordement au réseau , et des actions de maintenance et de réparation ......

    C'est comme ça que ça fonctionne dans plusieurs pays ,pourquoi pas en Algérie ....... ??
    L'electricité a des particlarités en terme de prévision de la demande, de la gestion de la production et de la puissance des centrales, et du transport qui font que la distribution aux particuliers ne soit pas nécessairement la partie la plus intéresssante en terme d epsossibilité de dégager de la valeur ajoutée, de la chaine. Certains expériences en Europe ont échoué, si on ne possède pas l'ensemble des maillons de la chaine (mise à part le transport). La libéralisation en Europe imposée par la commission européenne avait pour objectif non de créer nécessairement des nouveaux entrants, mais de briser la territorialité des implatations des entreprises d'energie européennes, issus des monopoles publiques...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      L'electricité a des particlarités en terme de prévision de la demande, de la gestion de la production et de la puissance des centrales, et du transport qui font que la distribution aux particuliers ne soit pas nécessairement la partie la plus intéresssante en terme d epsossibilité de dégager de la valeur ajoutée, de la chaine. Certains expériences en Europe ont échoué, si on ne possède pas l'ensemble des maillons de la chaine (mise à part le transport). La libéralisation en Europe imposée par la commission européenne avait pour objectif non de créer nécessairement des nouveaux entrants, mais de briser la territorialité des implatations des entreprises d'energie européennes, issus des monopoles publiques
      Le maintien de l'équilibre entre la demande et l'offre est quelque chose qui doit rester entre les main de l'état , elle se fait au niveau du réseau de transport ,la distribution et la fourniture par contre peuvent facilement être confiées à du privée , d'ailleurs , même dans un pAys comme la France ou EDF a encore le monopole sur le marche de l'energie , ce sont des sociétés privées qui s'activent sur le terrain .....

      Quand a la volonté de libéralisation imposée par l'UE , c'est vrai que l'idee derrière était d'ejecter le secteur publique du secteur de l'énergie en le confinant à un rôle purement administratif , mais aussi de génèrer une bAisse des prix de l'énergie en jouant sur la concurrence , qui sont des entités commerciales , pour capter les clients ....... Le désavantage d'une telle méthode est que ça crée des intermédiaires qui finissent par se sucrer sur le dos du consommateur, l'avantage est que le marché étant régulé par un état gendarme , les différents intervenants ont une obligation de résultats , par exemple en belgique , une coupure non planifiée de l'alimentation électrique de plus de 6 heures donne automatiquement droit à une indemnisation à charge du gestionnaire du réseau , qui peut être privé ou communal .......
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #18
        j'ai des petit doute...

        L'infrastructure reste propriété de l'état ,

        ok ..là on est d'accrod

        des sociétés privées de chargent de facturer l'énergie consommée

        comment..?
        quelle sont les moyens pour une société privée de mesurer l'energie consommée.?


        de son raccordement au réseau
        comment une societé privé se raccorde au résaux SONELGAZ..?

        et des actions de maintenance et de réparation ......

        maintenance et répartation sur le reseau SONELGAZ?
        qui gèrerait le flux en cas de pics..?

        s'il y a des coupures..qui est responsable? la société ou l'Etat..?
        qui alimente le resaux..?

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        • #19
          Les services publics

          Réponse à CELL : complètement d'accord pour qu'il n'y ait pas d'immixtion, d'interventions intempestives, donc autonomie du SP activant sous un CADRE DE MISSION ( lettre de mission, cahier des charges...), complètement entre les mains de professionnels aguerris, diplômés, contrôlés ( et sanctionnés...) périodiquement ( tous les 2 ans par exemple ) sur la base de leurs résultas mesurés comparés aux prévisions du CDM.
          Le SP n'est pas une entreprise au sens où son objectif n'est pas de gagner de l'argent, de faire des bénéfices, le chiffre d'affaires n'est pas un indicateur déterminant, par contre l'indicateur principal c'est la couverture des besoins, de la demande, avec les paramètres d'efficacité technique ( pertes, rendements, taux de recouvrement...), quant aux paramètres financiers, les recettes devraient couvrir les frais de fonctionnement ( au sens large, ceux ci considérés en gestion correcte ) les coûts de renouvellement, d'extension étant normalement subventionnés, les tarifs étant adaptés aux classes de consommateurs ( bas, symboliques pour les populations à bas revenus, conséquents pour les abonnés à standing de vie confortable ).
          L'agriculture et l'industrie, le commerce ne sont pas des services publics, il s'agit des activités humaines "libres" (réglementées pour l'intérêt de la société ), où l'effort d'ordre " privé" mérite un bénéfice, l'Etat veillant à ce que cela se passe équitablement et prélevant ses droits "sociaux" pour financer sa politique sociale.
          Il peut paraître ridicule de discuter aujourd'hui de ces sujets, au moment où nous sommes tous suspendus à des nouvelles graves, douloureuses...
          Le débat par exemple entre économistes ( de renom...) porte chez nous comme dans le monde entre " plus de lbéralisme" ou "plus d'Etat" , c'est à propos de la sphère économique proprement dite ( souligner "proprement"... ).
          Bien sûr l'Ecole "classique" c'est qu'il faut d'abord "accumuler", apprendre à créer des activités de production, des richesses, des produits marchands, en système concurrentiel et ce n'est qu'après qu'il faudrait prétendre développer des services publics, entendus par certains comme services de "confort", alors nous serions incapables de gérer correctement un SP parce qu'incapables de développer une économie dugne de ce nom.
          Pourquoi être certain que, incapables en 50 ans de développer une industrie, nous serions également incapables de faire fonctionner correctement des machines, des appareils, des équipements, même importés totalement.
          Il y a peut être là un raccourci trop rapide révélateur...
          En Occident, l'inventeur du procédé, celui qui crée, n'est pas celui qui fabrique, celui qui vends, écoule le produit devenu marchand, et peut être s'est éloigné complètement du créateur, celui ci avait une vision d'intérêt social général, donc intégrait fonctionnement, maintenance, conservation, le dernier maillon a malheureusement souvent intérêt à vendre et vendre et vendre un produit "non soutenable"...
          Alors peut être que nos sociétés " captives " , "captées" pourraient elles au moins tenter de développer des entités compétentes, fiables, chargées de fournir des prestations de base : électricité, gaz, eau, assainissement, courrier, postes, CCP, santé publique, état-civil, denrées de base ( stoquage et fournitures de gros ), en 50 années est-il complètement débile et utopique de penser cela, avec un appui extérieur ciblé et non dominateur...

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          • #20
            Les services publics

            A BACHI : le SP n'est pas le "business", les affaires, c'est la fourniture décente pour couvrir un besoin vital, on peut intégrer des comportements rationnels d'affaires dans le SP, pour optimiser le fonctionnement, mais il n'y a pas de bénéfices, les gains sont d'ordre social : hygiène, sécurité, santé, confort minimal...en affaires, les 2 parties peuvent "gagner-gagner" ou s'anéantir, c'est leur AFFAIRE, en prestations de services publics ( qui peuvent être fournies par une entreprise privée commerciale ), il y a des "rigidités" ( infrastructures physiques lourdes appartenant à la collectivité et consommation de masse avec toujours des aspects sécuritaires ) qui nettement s'écartent de la commercialité.

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            • #21
              Les services publics

              A SINIA complètement d'accord, voir les autres textes : service public et concurrence sont 2 conceps à manipuler avec précaution si on les met ensemble

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              • #22
                Les services publics

                A OTT complètement d'accord, le sujet en fait concerne tous les SP, peut être les comparer entre eux en gardant l'oeil sur la fourniture particulière de chacun, mais en tentant malgré la difficulté de comparer ce qui peut être comparable.
                L'exemple de l'éléctricité est celui qui vient à l'esprit le premier et tous les observateurs sincères reconnaissent à SONELGAZ, à son personnel, à son staf dirigeant un mérite exceptionnel, MAIS JUSTEMENT ! on demande toujours plus naturellement à celui qui s'en sort le mieux ! et pourquoi s'en sort on mieux à Sonelgaz qu'ailleurs ?...et il faut aussi si cela se passe entre PROS regarder les failles, les manques, les erreurs, les fautes, les injustices et/ou inéquités, les lenteurs et absences en matière de prévisions, cela existe indubitablement.
                Et l'eau potable aujourd'hui mieux distribuée, pas partout, des gens méritants s'y emploient, à quel prix ? ( à n'importe quel prix ), avec un changement favorable dans les apports et précipitations naturels, avec l'ajout des ressources non conventionnelles ( à quel prix ), avec un budget exceptionnel ( il le faut ), avec une présence croissante de l'appui extérieur ( c'est mieux, il fut un temps où c'était mal vu dangereux...), question : où est en est le progrès dans la maîtrise à toutes les étapes par des PROS du pays ? sans chauvinisme l'eau étant un élément de stratégie et de souveraineté.
                Et l'évacuation des eaux d'égoûts, qu'en est il ? et ainsi de suite...
                La question est : au moins dans les circonstances qu'on connaît aujourd'hui, dans le monde et dans le pays : maîtriser au moins la fourniture CORRECTE JUSTE EQUITABLE PERFORMANTE EFFICACE de ces prestations qui ont un caractère répétitif, routinier ( dans le bon sens ) et cela par l'activité sur le terrain d'une MULTITUDE de PROS, des milliers d'ingénieurs de toutes spécialités capables de faire face à toutes les tâches considérées par certains comme subordonnées ( car des routines...) parce qu'il s'agit de faire marcher un système matériel, intelligemment et d'en être fier TOUS employés, cadres, usagers, clients, abonnés, citoyens, dirigeants...nous savons tous que nous en sommes loin très loin...que nous ne fabriquions pas la turbine ou le moteur ou la vanne ou le transfo ou les systèmes de commande ou les équipements médicaux hospitaliers ou...c'est une chose mais LES FAIRE TOURNER...A L'OPTIMUM en 2012...peut être y a -t - il là un problème, une erreur d'appréciation d'évaluation, de prévision, de perspicacité, de priorisation hierachisation erronnée...qui touche aux hommes à leur formation au perfectionnement continu, à l'importance accordée spontanément aux personnels, vus comme un numerus statistique, des états de personnels et d'effectifs " inertes" je ne sais pas, je me pose la question...

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                • #23
                  Les services publics

                  A CELL 2 choses :
                  1.Au contraire dans le monde ( avancé ) la tendance est au retour de l'Etat dans le fonctionnement des services publics, aujourd'hui trop de choses sont en jeu pour privatiser même la gestion de ces SP : aspects de sécurité, aspects sociaux, il faut le dire aussi la crise atteint également l'efficacité proverbiale des initiatives privées alors au moins la collectivité veut elle garder un oeil vigilant sur la distribution de certains services sensibles bien que "routiniers" ...au privé de gagner ses bénéfices sur les activités industrielles de fabrication et de commercialisation
                  2. L'Etat souverain sa mission c 'est de développer ce qui est difficile, aussi il nous a manqué de transformer nos ressources " au plus loin ", intérêt à vendre à l'Europe de l'électricité plutôt que des hydrocarbures, intérêt à accélérer l'intégration de nos ressources non conventionnelles soleil, vent...
                  Loin du sujet : Quand on pense que ce pays pourrait aujourd'hui être actionnaire par exemple dans Airbus et receler des ateliers délocalisés de pointe, imaginez le gain en formation stratégique des algériens ( Tunisie, Maroc, Qatar l'ont fait ).

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                  • #24
                    1) mais si c'est un contrat d'affaire.
                    Dans mon compte de taxes municipales, chaque service ( ordures, eau, éclairage, déneigement, ...) a son prix que je dois payer.
                    chose payée chose due et si le service n'est pas rendu, il y a la cour et elle penche souvent du côté du consommateur.
                    En Algérie, c'est toute une autre paire de manches. C'est tout juste si tu peux parler au responsable municipal.

                    2) il est vrai que la tendance est l'étatisation mais ici ( Canada) la sous traitance pour amoindrir les coûts est d'un usage très étendu.
                    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                    • #25
                      Les services publics

                      N'y a-t-il pas moyen de s'entendre pour dire que la rentabilité d'un SP dans notre pays devrait concerner son fonctionnement O & M, exploitation, entretien, l'investissement de première installation à la charge de l'Etat ( impôts ), et dans certains cas renouvellement, grosses réhabilitations à la charge soit de l'Etat, soit du SP; celui ci a sa charge le personnel, les consommations, l'energie, les matériels ( équipements à regarder de près ), le tout consigné clairement dans la convention de SP.
                      L'inconvénient d'insister sur l'aspect concurrence, compétition commerciale, commercialité comme on dit, efficacité économique ou financière, recours à la compétence de sociétés extérieures, c'est de négliger le capital humain, l'accumulation du savoir faire professionnel local, l'engrangement d'expériences technologiques concrètes de gestion, exploitation, fonctionnement d'équipements y compris complexes.
                      Le parallèle qui est fait tout le temps entre un SP et le monde de l'entreprise concurrentielle, compétitive ( en principe ) nuit au SP qui reste ainsi à la traîne, aggravant les situations de frustration, d'inconfort, de désarroi, de mécontentement aussi bien des usagers consommateurs citoyens que des dirigeants aussi bien du SP que des dirigeants politiques alors que une analyse à part une stratégie propre aux SP seraient bénéfiques non seulement au SP mais peut être à l'économie globale, parce qu'il y a dans le SP cette spécificité : la quotidienneté, la routine, la répétition, la redondance dirons nous parfois, les gestes automatiques, ce qui n'exclut pas les situations de crise ou de tension ou de catastrophe, mais cette particularité se prête à la prévision, à la programmation, à des organisations et méthodes de type simple, tout cela acceptant les outils modernes, les gains de performance, la vigilance sur la progression des paramètres mesurables en continu, tout cela permettant à des hommes et des femmes de s'épanouir, progresser, mesurer leurs progrès période après période, devenir des pros de niveau international, nous en sommes loin, alors que cela est à portée...est-ce qu'il y a par exemple des échanges entre pros des différents SP ? est-ce qu'il y a des permutations, des mutations d'un SP à l'autre ? ou bien est-ce qu'il n'y a que morosité, passivité, attentisme, fatalisme, pessimisme et...au bout laissez aller, négligences, résultats décevants...et au final appel au Trèsor Public...

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                      • #26
                        Salut Mazmacbak
                        Le sujet du sp algérien semble t'intéresser particulièrement.
                        Je suis désolé de ne pouvoir en discuter davantage avec toi car je ne connais pas le système algérien.

                        Mais je suis persuadé que ce qui nuit le plus au SP en Algérie est le manque d'imputabilité et de responsabilisation.
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                        • #27
                          Les services publics

                          A Bachi : en affaires c'est simple, X vends une marchandise ( qui lui appartient ) à Y qui le paie et devient propriétaire.
                          Dans le SP, on ne vends pas de marchandise.
                          Le contrat de SP stipule que X fournit à Y ( en réalité toujours à une multitude simultanément ) un service, une prestation, le produit fourni ne lui appartient pas, non plus l'infrastructure ( très lourde et très chère ) et le produit fourni, l'abonné en use, l'use, lui file entre les doigts ( eau, elec, gaz...) mais il ne le possède pas réellement.
                          Il y a ainsi beaucoup de différences entre le monde des affaires et celui des SP, bien sûr cela n'empêche pas certains de faire de grosses affaires en SP...mais les gens des SP savent comme les usagers que le sérieux, la continuité, la patience, la modestie, l'abnégation, l'esprit de sacrifice même ( fréquent en SP ) sont des qualités que l'on trouve plus naturellement ici que là...ce qui n'exclut pas techniques modernes de gestion.

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                          • #28
                            il n'y a pas de marchandise mais il y a un service.
                            Quand tu te rends chez le coiffeur, tu paies pas un produit mais un service et il y a un contrat d'affaire entre toi et le coiffeur et si ce dernier ne fait pas le job ou mal, t'es en droit de ne pas le payer.
                            il en va de même pour le service public...

                            mais t'as raison, en Algérie, le service est beaucoup considéré comme une charité de l'état ou à l'opposé comme un dû...
                            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                            • #29
                              le SP n'est pas le "business", les affaires, c'est la fourniture décente pour couvrir un besoin vital,
                              et ce besoin pour pouvoir continuer à le fournir et à le combler dans les meilleurs conditions , il y a necessité d'une rentabilité ....

                              Il y a ainsi beaucoup de différences entre le monde des affaires et celui des SP, bien sûr cela n'empêche pas certains de faire de grosses affaires en SP...mais les gens des SP savent comme les usagers que le sérieux, la continuité, la patience, la modestie, l'abnégation, l'esprit de sacrifice même ( fréquent en SP ) sont des qualités que l'on trouve plus naturellement ici que là...ce qui n'exclut pas techniques modernes de gestion.
                              bien sur , mais est ce le role d'institution etatiques d'assumer tout ca , rappelons que Service Publique implique des charges qui seront reparti sur l'ensemble de la population , y compris celle qui n'utilise pas ou peu le service en question , alors quand ces structures étatiques , généralement corrompu et inefficaces commencent à avoir des difficultés , c'est généralement sur le citoyen que leurs pertes son reportées , alors bien sur un société privée peut en faire de meme , mais dans un marché libéralisée , elle perdrait trés vite ses consommateurs à la faveur de ces concurrents .
                              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                              • #30
                                Les services publics

                                A BACHI : chez le coiffeur; toujours le même principe simple : le coiffeur est une personne physique, il use de sa force de travail propre et de ses outils propres pour te couper les cheveux à toi personne physique, il termine un travail physique qui se voit et qui prend du temps, tu paies à cet artisan son travail; le SP s'adresse simultanément à toute une masse d'usagers, use de personnels nombreux, et d'installations lourdes, il vous rend un service vital dont vous payez le fonctionnement.
                                Respectueusement
                                Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, en effet

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