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Nordine aït hamouda réagit au livre-mémoires de chadli bendjedid

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  • #31
    @Histo
    Oh que si Amirouche consititué la force de Krim , l'ennimé juré de l'armée des frontières, Amirouche a réussi a constituer avec un rien une armé redoutable,
    avec du recul , je me demande si toute cette affaire montée juste après l'assassinat de BOUMEDIENE n'était que la prolongation de la mise à mort de celui qui dérangeait FAFA

    en supposant que KRIM ancien adjudant français travaillait toujours pour ses anciens patrons, AMIROUCHE serait de son bord. Il a de lui même rejoint un maquis mis à mal par l'armée auquel il a apporté de quoi survivre avant de s'en désigner, contre la règle, chef. Convoqué par KRIM pour s'expliquer , après un tête à tête entre les deux hommes, KRIM non seulement a confirmé AMIROUCHE dans son grade mais de suite l'a promu avant d'en faire son second et de lui confier plus tard la wilaya.

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    • #32
      en supposant que KRIM ancien adjudant français travaillait toujours pour ses anciens patrons,

      Wawoo, mais tu as raison mmaintenant qu'ils sont mort en peut bien prétendre qu'il était au service de FAFA comme tu le dit.
      شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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      • #33
        c'est ce que je disais en haut, on peut faire endosser tout aux morts, ils ne sont plus la pour se defendre.

        donc ya djma3a etkou lah, et un peu de retenue svp, on parle de ceux qui nous ont tout donnés, on leur doit tout, absolument tout.

        certes ils n'etaient pas des anges mais ils restent pour toujours nos heros, et on en sera toujours fiers.

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        • #34
          Houari Boumediène et Abdelkader Chabou avaient imposé le silence sur la découverte, en décembre 1962, des corps de Amirouche et d’El Haouès. Ces deux responsables du MDN, une fois morts, Cherif Mahdi, ne craignant plus pour sa vie, et après avoir consulté le deuxième homme également au courant, en l’occurrence Abdelhamid Djouadi
          Lorsqu'on ne veut laisser aucune trace d'un acte contraire à la morale ; on commence par éliminer les témoins surtout lorsqu'ils ne sont pas nombreux.
          Boumediène et Chabou ne sont pas des novices , si vraiment ce que dit C.M est juste.


          je suis convoqué devant Boumediène. Une fois dans son bureau, il me donne l’ordre de passer les consignes à Kasdi Merbah, désigné à la tête de la SM. Je salue militairement le président et je me retire. Je suis rappelé tout de suite après. Boumediène me fixe longuement et, sans dire un seul mot, met l’index en travers de ses lèvres. Je n’ai pas besoin d’un dessin. Je comprends de quoi il s’agit : «Le dossier» Amirouche ne fera pas partie des chemises à transmettre à Merbah.
          Pas mal, il lit les ordres dans les yeux , et nous apprend que lorsqu'on commet un crime d'Etat, on établit des dossiers qu'on peut transmettre ou non , à qui on veut .


          Si Merbah était mort comme HB. et AC, il aurait été associé au coup pour donner du poids à ce roman.

          La vérité, c'est que Boumediène a dû mener la vie dure à son subordonné CM qui a attendu qu'il soit mort , pour rendre la monnaie de la pièce, à ses os.
          Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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          • #35
            Ould Kablia livre ses vérités sur les accords d’Évian

            <H2>“Boumediene, Ben Bella, Mendjeli et Kaïd ont voté contre”</H2>

            “Il faut que les points sombres de la Révolution algérienne tels que le complot des colonels, l’affaire de la Bluette, le Congrès de la Soummam et de nombreux autres évènements encore soient éclairés”, a plaidé le ministre de l’Intérieur et néanmoins président des anciens membres du MALG, Daho Ould Kablia, à l’occasion d’une conférence qu’il a animée hier à la Maison de la culture de Tizi Ouzou.

            Aux yeux d’Ould Kablia, “ceux qui ont empêché que l’histoire soit dite sont ceux qui ont peur et qui savent qu’il leur soit défavorable”. Sans faire une quelconque allusion et encore moins citer des noms, l’ancien membre du ministère de l’Armement et des Liaisons générales du GPRA a expliqué que l’association des anciens du MALG, qui a déjà pu réaliser une douzaine d’ouvrages sur la base des documents authentiques qu’elle détient, avait demandé au ministère de l’Information une émission télévisée spécialement pour “dépoussiérer les dossiers qui constituent les points noirs de la guerre d’Indépendance”. En ce sens, M. Ould Kablia estime que l’idée de lancer une chaîne consacrée à l’histoire de l’Algérie ne peut qu’être saluée, notamment dans une conjoncture où certains ne cessent de jeter le discrédit sur cette Révolution. “Laisser toute cette poussière sur l’histoire de la guerre d’Algérie fait que les Algériens n’y croient plus et malheureusement notre société est en train de partir en miette”, a-t-il encore soutenu. Et de souligner : “Nous avons perdu une quarantaine d’années. Autrement, on se serait dirigé vers un État démocratique beaucoup plus tôt.” Mais ceci ne constitue pas le seul regret de l’ex-compagnon de Boussouf. “Malheureusement ceux qui ont négocié les accords d’Évian n’ont pas participé à la gouvernance de l’Algérie post-indépendance, et c’est là tout le problème”, a-t-il encore déploré.
            Interrogé sur l’écriture de l’histoire, le ministre de l’Intérieur a expliqué que 10 tonnes d’archives avaient été remises par le MALG au ministère de la Défense mais, a-t-il encore regretté, “hormis Mahfoud Kaddache qui était la boîte de liaison du MALG, nous n’avons pas encore de bons historiens, de nombreux livres sont écrits mais c’est du factuel qui sert pour chacun à tirer la couverture vers soi”.
            Faisant le récit de la genèse et de la signature des accords d’Évian, M. Ould Kablia a tenu à apporter des précisions de taille. Tout en se disant favorable à la réalisation du film sur Krim Belkacem, il a tenu particulièrement à démentir les déclarations d’Ali Kafi au sujet d’Abane. “Je démens les insinuations faites sur Abane par Ali Kafi dans ses mémoires. Lorsque la France était revenue à la charge en entamant des contacts secrets après l’échec des contacts entamés déjà par Guy Mollet, Abane avait rejeté de manière ferme les nouvelles propositions des Français”, a-t-il expliqué. Il citera, concernant la mort d’Abane, le premier président du GPRA, Ferhat Abbas, qui avait clairement noté qu’“Abane est assassiné par ses frères de combat”.
            Continuant à asséner certaines vérités historiques, l’ancien homme fort du MALG a révélé qu’au moins quatre homme forts de la Révolution avaient voté contre les accords d’Évian. Il s’agit, a-t-il dit, de Boumediene, Ben Bella, Mendjeli et Kaïd Ahmed, a-t-il cité, avant de regretter également le klash entre le GPRA et l’état-major de l’ALN qui a donné lieu à l’été de la discorde de 1962 qui a fait perdre trop de temps à l’Algérie. “Ce qu’on a fait en 50 ans, on aurait pu le faire dans les premières années de l’Indépendance si ce n’était pas ce faussé idéologique entre les deux parties.”
            M. Ould Kablia n’a pas manqué d’évoquer la mémoire de Salah Bouakouir qu’il dit considérer, aux yeux des révolutionnaires, réhabilité dans son statut de révolutionnaire.
            M. Ould Kablia n’a pas conclu sa conférence sans réitérer la position de l’Algérie vis-à-vis des harkis et de répondre subtilement à la question sur la repentance de la France. Concernant la première, M. Ould Kablia dira : “Nous ne pardonnerons jamais aux harkis.” Quant à la seconde, il rappellcera que le GPRA a préparé ce qui est appelé “le livre blanc” sur la torture qu’il comptait remettre à l’ONU, chose qui n’a pas été faite avec le début des négociations sur les accords d’Évian. “Nous avons de quoi les accuser de manière très spectaculaire”, a-t-il menacé.

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            • #36
              Quand on lit les accords d'Evian, on ne peut être que contre si on veut se débarrasser non seulement de la France mais de son influence.

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              • #37
                Lors d'un voyage qu'elle a effectué en Chine au lendemain de l'Indépendance La Moudjahida DJAMILA BOUHIRED a été reçue par Le Chef d'Etat Chinois MAO TSE TOUNG. Il lui conseilla fexto " Vous devez écrire votre Histoire, vous les acteurs de la Révolution Algérienne. Si vous ne le faites pas de votre vivant , d'autres viondront le faire à votre place, mais à leur manière.".

                Cela se confirme de nos jours, n'importe qui vient raconter ses fantasmes qu'il arrive à faire avaler à certains neuneus, lesquels prennent ça pour de l'Histoire.
                Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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                • #38
                  martyres Algériens
                  ya si Khoroto
                  Éclairer les nations encore obscures.

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                  • #39
                    @Louny : je n'ai pas d'avis sur la globalité de ces accords mais rien qu'à apprendre que l'Algérie s'était engagée à accepter que la France poursuive ses travaux (hors essais) sur le nucléaire jusqu'en 1978, ça donne froid dans le dos. Vus les dégâts engendrés par ces essais ....

                    Par ailleurs sans accords la France ne serait pas partie dans les délais qu'on connaît.


                    Envoyé par khaly
                    n'importe qui vient raconter ses fantasmes qu'il arrive à faire avaler à certains neuneus, lesquels prennent ça pour de l'Histoire.
                    Je fais confiance aux archives et à l'honnêteté des historiens.

                    " Vous devez écrire votre Histoire, vous les acteurs de la Révolution Algérienne.
                    Quand on voit le niveau de ce qui a été révélé jusqu'à maintenant, j'ai l'impression que ceux qui savent des choses sont morts pour certains d'entre eux et pour d'autres ils sont au pouvoir la bouche trop pleine pour pouvoir l'ouvrir.

                    Quand on voit ce que Chadli Allah irahmou a pu dire après 20 années pleines de prise de recul... et ce n'est pas le plus mauvais d'entre eux.

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