Il n’y a qu’à lire le subtil article du Point pour le deviner : "C'est Hollande qui doit être fêté et pourtant les drapeaux français sont rares, clairsemés dans la foule, alors que les couleurs algériennes et les portraits de Bouteflika sont partout. Au milieu des youyous et des déflagrations de pétoires en tout genre, on entend des cris d'amour adressés à Bouteflika et des "One two three Algérie" chantés par des jeunes déchaînés. On se demande alors qui, du chef de l'État français ou de son homologue algérien, est la vedette de cette fête."
Tous les deux sont les vedettes de cette fête.
Il faut être sénile pour ne pas le comprendre.
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