Faiblesse des Anonymous
Même chose pour les données personnelles publiées sur Internet. Ils ont beau être légion, ces identifiants concernent, dans l’écrasante majorité, des citoyens israéliens lambda et non des “officiels” et “soutiens actifs” de la politique israélienne comme l’avait affirmé Anonymous sur l’Internet.
L’heure de gloire de l’OpIsrael a, en fait, eu lieu le 21 novembre lorsque le compte Twitter et la page Facebook de Silvan Shalom, vice-Premier ministre israélien, ont été piratés. Un fait d’arme numérique qui ne revient, cependant, même pas directement à Anonymous. Cette prise de contrôle a été, en effet, revendiquée par "zCompany Hacking Crew", un groupe de hackers pakistanais qui s’est greffé à l’#OpIsrael.
La cyber-agitation d’Anonymous n’a donc nullement perturbé leur cible principale : l’armée israélienne. Pire, le spectacle offert par ces cyberactivistes démontrerait leur faiblesse actuelle, juge le site américain spécialisé dans les tendances numériques Gizmodo. “Ils ont beaucoup communiqué autour de cette opération contre Israël, mettant leur crédibilité en jeu et au final elle n’a rien donné ou presque”, note le site qui se demande “jusqu’à quand, on peut les prendre au sérieux après ce genre d’opérations”.
L’échec d’OpIsrael démontrerait, surtout, que les Anonymous d’aujourd’hui n’ont plus les compétences de ceux de la grande époque. Lorsqu’ils comptaient parmi eux les pirates informatiques de LulzSec (responsables du piratage de Sony ou encore du site de la CIA en 2010). La plupart des “leaders” du mouvement ont été arrêtés début 2012 et “ceux qui ont les connaissances et le courage de s’attaquer à des cibles prestigieuses sont soit entre les mains des autorités policières soit se cachent loin des Anonymous”, juge Gizmodo.
Même chose pour les données personnelles publiées sur Internet. Ils ont beau être légion, ces identifiants concernent, dans l’écrasante majorité, des citoyens israéliens lambda et non des “officiels” et “soutiens actifs” de la politique israélienne comme l’avait affirmé Anonymous sur l’Internet.
L’heure de gloire de l’OpIsrael a, en fait, eu lieu le 21 novembre lorsque le compte Twitter et la page Facebook de Silvan Shalom, vice-Premier ministre israélien, ont été piratés. Un fait d’arme numérique qui ne revient, cependant, même pas directement à Anonymous. Cette prise de contrôle a été, en effet, revendiquée par "zCompany Hacking Crew", un groupe de hackers pakistanais qui s’est greffé à l’#OpIsrael.
La cyber-agitation d’Anonymous n’a donc nullement perturbé leur cible principale : l’armée israélienne. Pire, le spectacle offert par ces cyberactivistes démontrerait leur faiblesse actuelle, juge le site américain spécialisé dans les tendances numériques Gizmodo. “Ils ont beaucoup communiqué autour de cette opération contre Israël, mettant leur crédibilité en jeu et au final elle n’a rien donné ou presque”, note le site qui se demande “jusqu’à quand, on peut les prendre au sérieux après ce genre d’opérations”.
L’échec d’OpIsrael démontrerait, surtout, que les Anonymous d’aujourd’hui n’ont plus les compétences de ceux de la grande époque. Lorsqu’ils comptaient parmi eux les pirates informatiques de LulzSec (responsables du piratage de Sony ou encore du site de la CIA en 2010). La plupart des “leaders” du mouvement ont été arrêtés début 2012 et “ceux qui ont les connaissances et le courage de s’attaquer à des cibles prestigieuses sont soit entre les mains des autorités policières soit se cachent loin des Anonymous”, juge Gizmodo.
Commentaire