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: 4e conseil national de l’Union nationale des femmes algériennes
Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA) a appelé hier, les partis politiques, la société civile ainsi que le gouvernement à la promotion et la formation de la femme dans la vie politique.
Intervenant lors du quatrième conseil national ordinaire de l’UNFA, Nouria Hafsi a dénoncé la marginalisation de la femme dans la vie politique. Ainsi et au programme de la réunion figure la réalisation d’un programme d’action qui concerne notamment la place de la femme dans la vie politique. «Nous nous félicitons de la nouvelle loi incluant une place de la femme dans les assemblées élues, nous nous félicitions du nombre retenu, mais demeure un point important qui concerne les formations politiques à qui on a proposé de leur fournir des militantes». La secrétaire générale de l’UNFA a ainsi insisté sur la nécessité de la formation de ces militantes sur le plan politique.
Elle s’est ainsi inquiétée sur le classement des femmes sur les listes des partis, lors des échéances électorales.
«Les partis classent les femmes à la fin des listes alors que l’objectif de la nouvelle loi est de promouvoir la femme dans la vie politique. Ils font seulement du remplissage ne permettant pas à la femme d’accomplir un travail au sein du parti. Les partis politiques ne font pas d’efforts», a souligné Nouria Hafsi, notant par ailleurs que les droits de la Femme sont indissociables des droits de l’Homme.
L’intervenante mettra aussi l’accent sur la marginalisation des organisations nationales, depuis l’avènement du grand nombre de partis politiques. «Ces organisations ont alimenté les partis en leur fournissant notamment des militants qui ont eu un long parcours. Par ailleurs, les pouvoirs publics n’ont plus besoin de ces organisations et ils les marginalisent systématiquement », a-t-elle déclaré. Elle citera ainsi l’exemple de l’UNFA qui est pourtant, précise-t-elle, présente dans 1 500 communes sur le territoire national.
Elle appellera aussi au rétablissement des organisations dans leurs droits. Le quatrième conseil national ordinaire de l’UNFA se tient entre deux congrès de l’organisation. Le programme du conseil comprend la restructuration et l’élargissement de la base militante de l’organisation, la définition du programme de travail ainsi que l’évaluation des activités de l’organisation.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir)
Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA) a appelé hier, les partis politiques, la société civile ainsi que le gouvernement à la promotion et la formation de la femme dans la vie politique.
Intervenant lors du quatrième conseil national ordinaire de l’UNFA, Nouria Hafsi a dénoncé la marginalisation de la femme dans la vie politique. Ainsi et au programme de la réunion figure la réalisation d’un programme d’action qui concerne notamment la place de la femme dans la vie politique. «Nous nous félicitons de la nouvelle loi incluant une place de la femme dans les assemblées élues, nous nous félicitions du nombre retenu, mais demeure un point important qui concerne les formations politiques à qui on a proposé de leur fournir des militantes». La secrétaire générale de l’UNFA a ainsi insisté sur la nécessité de la formation de ces militantes sur le plan politique.
Elle s’est ainsi inquiétée sur le classement des femmes sur les listes des partis, lors des échéances électorales.
«Les partis classent les femmes à la fin des listes alors que l’objectif de la nouvelle loi est de promouvoir la femme dans la vie politique. Ils font seulement du remplissage ne permettant pas à la femme d’accomplir un travail au sein du parti. Les partis politiques ne font pas d’efforts», a souligné Nouria Hafsi, notant par ailleurs que les droits de la Femme sont indissociables des droits de l’Homme.
L’intervenante mettra aussi l’accent sur la marginalisation des organisations nationales, depuis l’avènement du grand nombre de partis politiques. «Ces organisations ont alimenté les partis en leur fournissant notamment des militants qui ont eu un long parcours. Par ailleurs, les pouvoirs publics n’ont plus besoin de ces organisations et ils les marginalisent systématiquement », a-t-elle déclaré. Elle citera ainsi l’exemple de l’UNFA qui est pourtant, précise-t-elle, présente dans 1 500 communes sur le territoire national.
Elle appellera aussi au rétablissement des organisations dans leurs droits. Le quatrième conseil national ordinaire de l’UNFA se tient entre deux congrès de l’organisation. Le programme du conseil comprend la restructuration et l’élargissement de la base militante de l’organisation, la définition du programme de travail ainsi que l’évaluation des activités de l’organisation.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir)