L’affichage du listing des attributaires d’un premier quota de quelque 900 logements dans les commune de Ouargla et Rouissat a déclenché de violents affrontements entre la population et les forces de l’ordre qui ont intervenu dés le rassemblement des premiers protestataires devant le siége de la daïra de Ouargla tout prés de la place Tahrir.
Des dizaines de jeunes attendaient avec impatience une liste qu’on leur promet depuis plusieurs mois mais comme attendu en pareille occasion, le courroux de la foule des exclus n’a pas tardé à grandir déclenchant une protestation pacifique au début mais le mouvement n’a pas tardé à s’amplifier avec l’utilisation massive de gaz lacrymogène a l’encontre des protestataires.
Comme de coutume, c’est l’éternel prétexte de la protection des édifices publics qui est avancé par les forces de l’ordre déployées de façon ostentatoire dés le matin comme pour prévenir d’une intervention musclée.
Mais la rue ouarglie semble indomptable et n’accepte plus ce qu’elle qualifie de dépassements de l’administration.
La foule qui pointe le chef de daïra du doigt dénonce entre-autres l’existence d’une majorité de jeunes filles parmi les bénéficiaires, une prédominance de personnes étrangères à Ouargla et le non respect de l’ordre chronologique de dépôt de dossier.
L’émeute s’est poursuivie jusqu’à 14h après un léger répit à midi. La mairie est actuellement fermée au public.
Houria Alioua- El Watan
Des dizaines de jeunes attendaient avec impatience une liste qu’on leur promet depuis plusieurs mois mais comme attendu en pareille occasion, le courroux de la foule des exclus n’a pas tardé à grandir déclenchant une protestation pacifique au début mais le mouvement n’a pas tardé à s’amplifier avec l’utilisation massive de gaz lacrymogène a l’encontre des protestataires.
Comme de coutume, c’est l’éternel prétexte de la protection des édifices publics qui est avancé par les forces de l’ordre déployées de façon ostentatoire dés le matin comme pour prévenir d’une intervention musclée.
Mais la rue ouarglie semble indomptable et n’accepte plus ce qu’elle qualifie de dépassements de l’administration.
La foule qui pointe le chef de daïra du doigt dénonce entre-autres l’existence d’une majorité de jeunes filles parmi les bénéficiaires, une prédominance de personnes étrangères à Ouargla et le non respect de l’ordre chronologique de dépôt de dossier.
L’émeute s’est poursuivie jusqu’à 14h après un léger répit à midi. La mairie est actuellement fermée au public.
Houria Alioua- El Watan
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