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Deux mois après sa disparition, le corps sans vie du jeune Ali Laceuk a été retrouvé dans un puits, au village Taâzibt, dans la commune de Nacéria, à quarante kilomètres au sud de la wilaya de Boumerdès.
Pour rappel, le fils de Tala Khelil a été kidnappé dans l’après-midi du vendredi, 22 février dernier, près de son domicile familial. Sa famille n’a plus eu de nouvelles de lui depuis cette date. Ses proches ont déposé une plainte auprès des services de sécurité de la daïra de Béni Douala, en accusant celui qui fut le dernier à l’avoir contacté par téléphone d’être impliqué dans son enlèvement. Fait troublant, l’individu accusé en question est originaire de Nacéria, région où Ali a été retrouvé mort.
Depuis le jour de la disparition de la victime, sa famille et les comités de tous les villages de Béni Douala se sont regroupés en coordination et ont organisé plusieurs actions de rue. Une très forte mobilisation a eu lieu, grève générale, sit-in devant le tribunal sans que cela n’ait suffi à faire libérer la victime.
Malheureusement, mercredi dernier, la famille de la victime a été informée qu’un cadavre a été retrouvé dans un puits au village Taâzibt, dans la commune de Nacéria. Il a été demandé à ses proches d’aller identifier le corps qui a été retrouvé en état de décomposition avancée.
Le frère de la victime, que nous avons contacté, confirme qu’après s’être déplacé à la morgue de Thenia, il a reconnu les habits que son frère portait, ainsi que des cicatrices au niveau de sa jambe, séquelles de l’accident de circulation qu’il a eu il y a deux ans. Il dira également que des tests ADN ont été faits et que les résultats sont attendus courant de cette semaine. Mohamed Amokrane, notre interlocuteur, nous affirmera donc que le cadavre retrouvé est sans doute celui de son frère : « le corps que j’ai vu est celui de mon frère ! ». Par ailleurs, il nous fera savoir que des démarches de son transfert sont en cours : « Nous sommes en train de faire les démarches administratives nécessaires pour accélérer les procédures de son transfert dans les plus brefs délais ».
Pour rappel, à quelques kilomètres de Tala Khelil, dans la daïra de Béni Douala, un autre kidnapping a été enregistré dans la soirée de lundi dernier, au chef-lieu communal de Béni Zmenzer. Une grève générale fut organisée dans la matinée de jeudi, dans la région, accompagnée d’un rassemblement au chef-lieu de la commune. Avant-hier, une caravane de sensibilisation a même sillonné les régions de Maâtkas, Tizi N’Tleta et Béni Douala… La victime est toujours entre les mains de ses ravisseurs.
la dépêche de kabylie
Pour rappel, le fils de Tala Khelil a été kidnappé dans l’après-midi du vendredi, 22 février dernier, près de son domicile familial. Sa famille n’a plus eu de nouvelles de lui depuis cette date. Ses proches ont déposé une plainte auprès des services de sécurité de la daïra de Béni Douala, en accusant celui qui fut le dernier à l’avoir contacté par téléphone d’être impliqué dans son enlèvement. Fait troublant, l’individu accusé en question est originaire de Nacéria, région où Ali a été retrouvé mort.
Depuis le jour de la disparition de la victime, sa famille et les comités de tous les villages de Béni Douala se sont regroupés en coordination et ont organisé plusieurs actions de rue. Une très forte mobilisation a eu lieu, grève générale, sit-in devant le tribunal sans que cela n’ait suffi à faire libérer la victime.
Malheureusement, mercredi dernier, la famille de la victime a été informée qu’un cadavre a été retrouvé dans un puits au village Taâzibt, dans la commune de Nacéria. Il a été demandé à ses proches d’aller identifier le corps qui a été retrouvé en état de décomposition avancée.
Le frère de la victime, que nous avons contacté, confirme qu’après s’être déplacé à la morgue de Thenia, il a reconnu les habits que son frère portait, ainsi que des cicatrices au niveau de sa jambe, séquelles de l’accident de circulation qu’il a eu il y a deux ans. Il dira également que des tests ADN ont été faits et que les résultats sont attendus courant de cette semaine. Mohamed Amokrane, notre interlocuteur, nous affirmera donc que le cadavre retrouvé est sans doute celui de son frère : « le corps que j’ai vu est celui de mon frère ! ». Par ailleurs, il nous fera savoir que des démarches de son transfert sont en cours : « Nous sommes en train de faire les démarches administratives nécessaires pour accélérer les procédures de son transfert dans les plus brefs délais ».
Pour rappel, à quelques kilomètres de Tala Khelil, dans la daïra de Béni Douala, un autre kidnapping a été enregistré dans la soirée de lundi dernier, au chef-lieu communal de Béni Zmenzer. Une grève générale fut organisée dans la matinée de jeudi, dans la région, accompagnée d’un rassemblement au chef-lieu de la commune. Avant-hier, une caravane de sensibilisation a même sillonné les régions de Maâtkas, Tizi N’Tleta et Béni Douala… La victime est toujours entre les mains de ses ravisseurs.
la dépêche de kabylie