Annonce

Réduire
Aucune annonce.

said bouteflika impliqué dans un nouveau scandale de corruption !!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #91
    En effet, j'ai fait des suppositions à partir d'arguments fallacieux que tu apportais, quant au role d'un vice président, qui relève ou d'une diversion (d'où ma supposition) ou d'une méconnaissance de ce role.
    il ya tellement peu d'arguments qu'il ne te reste que les suppositions pour mener ta propagande.

    Tu as admis que ton ami Toufik avait soutenu son poulain en 2004, et j'en rajoute, a même opéré une purge au sein de ses services. L'exemple le plus médiatique est le colonel Mesbah.
    voila une opération de manipulation de l'info, le colonel Chafik mesbah a pris sa retraite bien avant 2004, et sa proximité avec Betchine me laisse perplexe de sa soit disant proximité avec Toufik.

    Commentaire


    • #92
      @ Capo
      La politique est l'art du possible. A partir de la, il faut faire une analyse des enjeux de 2014, et comprendre ce qui est possible et pas possible, et quel est la meilleure voie. Je n'ai pas la pretention de dire qu'une voie est meilleure que l'autre, mais je crois avoir la lucidite quime permet de douter des intentions de ceux qui tirent sur une ambulance, et qui essaient de faire revivre un cadavre de la maniere la plus abjecte, que je suis tres sceptique sur leurs desseins
      Ott ..

      Tirer sur des ambulances n'attire pas les honneurs ..en effet !
      Croisons les doigts que ces temps ne reviennent jamais..
      Ceci dit .. la plupart sont morts .. ou s’approchent de la date de péremption

      Commentaire


      • #93
        Affaire Sonatrach-ENI Saipem dans l’œil du cyclone

        Alors que le juge milanais qualifie les faits reprochés aux dirigeants d’Eni et de Saipem de corruption, ces derniers préfèrent parler de violation des procédures internes liées aux marchés. Pour eux il n’y a aucune preuve sur le versement de pots-de-vin, mais quelques déclarations font état du paiement de 197 millions d’euros pour les 7 marchés obtenus en Algérie pour un montant de 9 milliards de dollars.


        Pour les juges milanais, il n’y a aucune preuve sur le versement de pot-de-vin, mais les déclarations de certains responsables font état du paiement de 197 millions d’euros pour les 7 marchés obtenus en Algérie, pour un montant de 9 milliards de dollars.
        Quelle interprétation pouvons-nous faire aujourd’hui du contenu du Conseil d’administration de Saipem rendu public, en juillet dernier, et écartant toute preuve de paiement et de pots-de-vin versés à des agents publics algériens ? Une seule. Les responsables de la filiale du géant pétrolier italien ENI veulent, tout comme du côté algérien, éviter toute traçabilité de ces fonds provisoirement estimés (par le parquet de Milan) à près de 197 millions de dollars. L’on se rappelle qu’en début du mois de juillet dernier, le conseil d’administration de Saipem, à la suite d’une réunion consacrée à l’examen d’un rapport d’audit interne, qu’il avait commandé quelques mois auparavant, a déclaré, dans un communiqué rendu public, qu’«aucune preuve de paiements et de pots-de-vin versés à des agents publics algériens n’est trouvée à travers l’analyse des contrats conclus en Algérie». Le conseil d’administration a préféré évoquer «des cas de violation du règlement intérieur et des procédures en vigueur à l’époque des préjudiciables aux intérêts de la société. Procédures qui concernent l’approbation et la gestion des contrats de courtage et de sous-traitance en Algérie».
        De ce fait, il a indiqué avoir décidé «d’enclencher une procédure judiciaire contre certains anciens employés et fournisseurs de services afin de protéger les intérêts de la société».
        Mais aussi bien pour le juge de Milan, que pour son homologue du pôle pénal spécialisé d’Alger, ces cas de violation de la procédure sont des faits de corruption avérés pour lesquels de nombreuses personnes, dont Saipem en tant que personne morale (en Algérie), et des responsables de la société mère ENI, (en Italie). Des faits révélés par cet ex-patron de la direction d’ingénierie et de construction, Pietro Varone, qui a fait l’objet d’une arrestation par le parquet milanais, le 28 juillet dernier. Il avait déclaré avoir remis de l’argent à Farid Bedjaoui qui lui affirmait les remettre directement à Chakib Khelil. Mieux encore, l’ancien directeur général de Saipem Algérie, Tllio Orsi, qui avait quitté mystérieusement le pays dès l’éclatement de l’affaire en 2010, avait déclaré au juge italien que Chakib Khelil assistait aux côtés de l’intermédiaire Farid Bedjaoui, lors des négociations et de la conclusion des transactions douteuses entre Sonatrach et Saipem. A ces rencontres qui se déroulaient à Paris (hôtel George V), avait-il ajouté, assistaient les responsables de Saipem et l’administrateur délégué d’ENI, Paolo Scaroni. L’ancien dirigeant a souligné en outre : «D’autres rencontres pour d’autres affaires auraient eu lieu à l’hôtel Bulgari à Milan, entre Bedjaoui, certains collaborateurs, représentants de sociétés algériennes et des gestionnaires du groupe ENI.»
        L’ancien DG de Saipem Algérie a donné d’importantes informations au parquet de Milan qui ont permis de construire toute l’enquête sur des faits de corruption. Des faits que l’audit interne de Saipem n’a pas vu ou n’a pas voulu voir. Y a-t-il une volonté délibérée de la part des dirigeants de l’ENI de protéger les amis algériens d’hier pour préserver les intérêts d’aujourd’hui et demain, sachant que Saipem Algérie vit une grave crise financière en raison des scandales ? Pour l’entreprise italienne, c’est la descente aux enfers. Elle a perdu près de 50% de sa valeur sur le marché et affiche l’un des pires résultats à la Bourse italienne, avec un recul de 55,9%, selon la presse économique qui a précisé qu’en Algérie, sa position a enregistré une nette détérioration. Le patron du groupe, Paolo Scaroni, avait d’ailleurs reconnu que «l’attitude de Sonatrach envers nous a énormément changé au cours des dernières semaines (…) probablement en raison de la récente intensification et l’élargissement de l’enquête menée par les autorités algériennes». «En fait, l’enquête a ralenti la société, et Saipem a perdu beaucoup d’argent et risque même d’en perdre plus, depuis que Sonatrach a décidé d’intenter une action pour récupérer des dommages et intérêts», avait rapporté le journal The Financial. Toutes ces raisons ont fait que les dirigeants du groupe italien ont publiquement écarté «toute preuve de corruption» dans la gestion de leur filiale à Alger. Il faudra attendre les conclusions de l’instruction à Milan pour lever le voile sur cette affaire et surtout situer les responsabilités de tous ceux qui sont impliqués dans ce scandale, quels que soit leur rang ou leur puissance.

        Salima Tlemçani

        EL WATAN
        dz(0000/1111)dz

        Commentaire


        • #94
          on vie depuis des années avec une présidence de la République en déshérence. Lorsque l'on sait le poids -exorbitant- du président de la République dans le prétendu système institutionnel algérien -en vérité, il n'y pas de système institutionnel, il n'y a qu'un despotisme primitif camouflé derrière des oripeaux institutionnels.
          le pays n'a pas été foudroyé ni pulvérisé en l'absence de " l'homme providentiel"
          on a aucunement besoin d'un "sauveur" en la personne de fakhamatouhou . On veut nous réduire à de grands enfants indisciplinés demandant la présence d'un père fouettard afin de les sauver d'eux-mêmes. Plus il y a de pouvoirs concentrés entre les mains d'un seul homme, moins il y en a dans les institutions -et c'est bien pour cela qu'elles ne sont que des simulacres d'institutions.
          le lâchage aujourd’hui de Khellil permet de couvrir le frère du président Said qui aurait trempé dans des affaires de corruption qu’on voudrait sans doute passer sous silence.
          Dernière modification par éliamine, 14 août 2013, 10h47.

          Commentaire

          Chargement...
          X