ALGER- Les hydrocarbures non conventionnels sont les nouveaux projets d’avenir qui occuperont une place importante dans la stratégie énergétique de l’Algérie, estiment mercredi à Alger des experts à l’issue des journées d’études sur les gaz de schiste.
L’utilisation ’’à bon escient de l’eau’’ dans l’industrie des hydrocarbures non conventionnels et l’impact de cette nouvelle activité sur l’environnement ont été des thèmes majeurs débattus par les chercheurs, universitaires et experts lors de la table ronde sur "le management de la chaîne d’approvisionnement dans les gaz non conventionnels".
L’intervention de Rachid Taibi, Directeur général de l’agence nationale des Ressources hydrauliques (ANRH) a mis en évidence l’importance des enjeux et des défis à relever en matière d’eau notamment dans le Grand sud où un grand nombre de puits seront forés.
"Dans le Grand Sud, on enregistre une demande en eau très importante, soit 1,5 milliard de m3 en raison de la mise en valeur des terres agricoles", a-t-il souligné, mettant en relief les besoins en eau que nécessitera cette activité.
Toutefois, selon les nombreuses interventions de la deuxième journée, l’exploitation par l’Algérie des gaz non conventionnels dans le futur est une condition "sine qua non" pour arriver à faire face à la demande en énergie appelée à doubler à l’horizon 2025 en raison d’une force croissance démographique et les besoins en hausse de l’industrie.
Ces journées ont montré que la sécurité énergétique est fondamentale pour l’Algérie, et doit être assurée pour garantir l’accès à l’énergie là où elle se trouve et à n’importe quel moment, estiment des participants.
Selon les experts, en plus des réserves, les projets d’hydrocarbures non conventionnels apporteront à l’Algérie de réelles opportunités d’emploi et d’industrialisation.
Duncan Godsmark, directeur général d’Anadarko pour l’Afrique du Nord, estime qu’il existe en Algérie un très fort potentiel en gaz de schiste et pour être attractifs pour les compagnies étrangères, les projets de partenariat devraient porter sur le long terme.
Plus de cinq cents spécialistes ont participé à cette rencontre.
L’utilisation ’’à bon escient de l’eau’’ dans l’industrie des hydrocarbures non conventionnels et l’impact de cette nouvelle activité sur l’environnement ont été des thèmes majeurs débattus par les chercheurs, universitaires et experts lors de la table ronde sur "le management de la chaîne d’approvisionnement dans les gaz non conventionnels".
L’intervention de Rachid Taibi, Directeur général de l’agence nationale des Ressources hydrauliques (ANRH) a mis en évidence l’importance des enjeux et des défis à relever en matière d’eau notamment dans le Grand sud où un grand nombre de puits seront forés.
"Dans le Grand Sud, on enregistre une demande en eau très importante, soit 1,5 milliard de m3 en raison de la mise en valeur des terres agricoles", a-t-il souligné, mettant en relief les besoins en eau que nécessitera cette activité.
Toutefois, selon les nombreuses interventions de la deuxième journée, l’exploitation par l’Algérie des gaz non conventionnels dans le futur est une condition "sine qua non" pour arriver à faire face à la demande en énergie appelée à doubler à l’horizon 2025 en raison d’une force croissance démographique et les besoins en hausse de l’industrie.
Ces journées ont montré que la sécurité énergétique est fondamentale pour l’Algérie, et doit être assurée pour garantir l’accès à l’énergie là où elle se trouve et à n’importe quel moment, estiment des participants.
Selon les experts, en plus des réserves, les projets d’hydrocarbures non conventionnels apporteront à l’Algérie de réelles opportunités d’emploi et d’industrialisation.
Duncan Godsmark, directeur général d’Anadarko pour l’Afrique du Nord, estime qu’il existe en Algérie un très fort potentiel en gaz de schiste et pour être attractifs pour les compagnies étrangères, les projets de partenariat devraient porter sur le long terme.
Plus de cinq cents spécialistes ont participé à cette rencontre.
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