J'étais là et bien là, jusqu'au cou au paradis de l'Algérie française.
Dans ma ville, Biskra, assez grande ville, 3 écoles primaires, pas de lycée, même pas un CEG et encore moins d'université. 8 Biskris sur 10 ne savent pas écrire leur nom. Rien que des gourbis, le village nègre pour les Algériens musulmans, on buvait de la gerba, dormait sur des paillasses, rares parmi nous ceux qui avaient chez eux, l'eau courante ou l'électricité.
Alors quand un chouan vient me dire qu'on était mieux à cette époque, je me dis que la bétise n'a effectivement aucune limite.
Dans ma ville, Biskra, assez grande ville, 3 écoles primaires, pas de lycée, même pas un CEG et encore moins d'université. 8 Biskris sur 10 ne savent pas écrire leur nom. Rien que des gourbis, le village nègre pour les Algériens musulmans, on buvait de la gerba, dormait sur des paillasses, rares parmi nous ceux qui avaient chez eux, l'eau courante ou l'électricité.
Alors quand un chouan vient me dire qu'on était mieux à cette époque, je me dis que la bétise n'a effectivement aucune limite.
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