Elle fait honneur aux autres universités
Six mille quatre cent nouveaux bacheliers rejoindront l’université Abderrahmane Mira dès la prochaine rentrée.
Un chiffre arrêté par l’INI après traitement de quelque sept mille huit cent (7 800) dossiers.
Un chiffre faramineux qui constituait il y a si peu de temps l’effectif global du centre béjaoui qui n’avait alors que le caractère de centre université.
Un centre qui en quelques années et grâce au précieux apport de son recteur le
Dr Merabet Djoudi a connu un développement extraordinaire et s’est hissé au stade d’une grande université avec la capacité de (28 000) vingt huit mille places pédagogiques.
Une université en plein essor qui reçoit pour la première fois et pour cette année une faculté de médecin, une distinction remarquable entérinée par décision politique lors de l’université d’été du FLN.
Les infrastructures d’accueil à travers les résidences suivent pour leur port ce processus et comptent plusieurs sites répartis en ville, Iheddaden, Targa Ouzemour, 1 000 lits, 17 octobre, ou encore à Ireyahen, Aboudame, et bientôt une nouvelle résidence où à El Kseur. Des sites qui pourront recevoir tous les étudiants admis à la résidence, dont les nombres de lits produire 7 000 tonnes/ans et soulager l’économie d’une importante facture en devises… et qui n’attend que le gaz pour entrer en phase de production !?
Quelles que soient les issues de ce litige, seul la loi et la réglementation doivent prévaloir et y être appliquées dans toute la rigueur. En attendant l’affaire qui paraît simple en apparence et dont les avis qui lui sont prêtés semblent diverger, reste non résolue. L’ambitieux projet tant déclamé est en stand by et au pied d’un grand mur. Il continue de faire couler d’encre, de salive, beaucoup d’eau… et des palabres alimentent encore l’opinion publique, mais ne l’éclaire aucunement. Sur l’issue de ce projet qui dans le fond a été dévié de sa conjoncture, et dont la solution ne relève en fait que d’un choix. Délocaliser le projet ou changer la nature du POS.
-La nouvelle republique
Six mille quatre cent nouveaux bacheliers rejoindront l’université Abderrahmane Mira dès la prochaine rentrée.
Un chiffre arrêté par l’INI après traitement de quelque sept mille huit cent (7 800) dossiers.
Un chiffre faramineux qui constituait il y a si peu de temps l’effectif global du centre béjaoui qui n’avait alors que le caractère de centre université.
Un centre qui en quelques années et grâce au précieux apport de son recteur le
Dr Merabet Djoudi a connu un développement extraordinaire et s’est hissé au stade d’une grande université avec la capacité de (28 000) vingt huit mille places pédagogiques.
Une université en plein essor qui reçoit pour la première fois et pour cette année une faculté de médecin, une distinction remarquable entérinée par décision politique lors de l’université d’été du FLN.
Les infrastructures d’accueil à travers les résidences suivent pour leur port ce processus et comptent plusieurs sites répartis en ville, Iheddaden, Targa Ouzemour, 1 000 lits, 17 octobre, ou encore à Ireyahen, Aboudame, et bientôt une nouvelle résidence où à El Kseur. Des sites qui pourront recevoir tous les étudiants admis à la résidence, dont les nombres de lits produire 7 000 tonnes/ans et soulager l’économie d’une importante facture en devises… et qui n’attend que le gaz pour entrer en phase de production !?
Quelles que soient les issues de ce litige, seul la loi et la réglementation doivent prévaloir et y être appliquées dans toute la rigueur. En attendant l’affaire qui paraît simple en apparence et dont les avis qui lui sont prêtés semblent diverger, reste non résolue. L’ambitieux projet tant déclamé est en stand by et au pied d’un grand mur. Il continue de faire couler d’encre, de salive, beaucoup d’eau… et des palabres alimentent encore l’opinion publique, mais ne l’éclaire aucunement. Sur l’issue de ce projet qui dans le fond a été dévié de sa conjoncture, et dont la solution ne relève en fait que d’un choix. Délocaliser le projet ou changer la nature du POS.
-La nouvelle republique