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La question que je me pose, et que je souhaite pouvoir poser aux forumistes, dans le cadre du "grand débat", au titre des "sujets de société" puisque le thème est relatif aux relations humaines, notamment dans leurs dimensions sociétales et s'inscrit comme une question universelle car concernant les rapports des êtres humains entr'eux, tant au niveau individuel que familial, tribal, national, international dans un cadre global, toutes cultures confondues, au sein de l'espèce humaine.
Pour introduire ce débat -lequel devrait être fait d'échanges dans le cadre du projet de Forum Algérie : "Ensemble, imaginons un monde meilleur"-je vais faire état de deux exemples contemporains, très actuels, que chacune et chacun connait ou peut avoir intégré dans son expérience de vie...au moins intellectuellement.
Exemple 1/
Comme l'écrivent Emmanuelle Duverger et Roger Ménard in "La censure des bien-pensants" (Albin Michel, Paris 2003) :
En France il est très difficile de mettre en cause le sionisme, la politique du gouvernement israélien et a fortiori de remettre en cause un Etat qui se veut représentatif légitimement d'une "vision divine " ayant donné au "peuple élu" via Abraham et Moïse (en leur époque et sans aucune certitude quant à l'existence historique concernant Abraham).
Immédiatement celle ou celui qui s'y risque est affublé(e) de l'étiquette "Antisémite" lors même qu'il est clair qu'il ne s'agit pas, en l'occurence, de mettre en cause "es qualité de né juif" les êtres humains se reconnaissant une filiation commune (via les mères : c'est plus sûr), à caractère religieux et alors même que certaines et certains d'entre eux déclarent ne pas ou ne plus être judaïsants (culture) croyants (religion).
S'établit alors un dialogue de sourds puisque le thème du débat n'est pas le même pour les débatteurs. Alors les sionistes israéliens (ou à venir) jouent aux victimes "es qualité de juif né" au lieu de s'interroger sur la viabilité de leur position politique et de leur méthode visant à se faire une place au Soleil, içi et maintenant, sur cette Terre...mais sans réflêchir à long terme.
Exemple 2/
Il apparait de plus en plus clairement que se pose le même type de problème avec une partie de celles et ceux connu(e)s à l'échelon de la planète - patrie commune à l'espèce humaine - sous le vocable :
musulman(s).
Quelque soit l'intensité de l'intérêt (et j'oserai même dire "de l'amour") que l'on peut porter à celles et ceux qui sont (ou ont été inscrits, ou sont devenus) classés sociologiquement dans l'aire de référence que l'on pourrait appeler "islamique" en un constat impartial, il semblerait n'être pas ou plus possible de s'intéresser et s'interroger quant à l'Islam, au Coran, à Mohammed, à la Sunna, au Fiqh et à la Charïa sous peine -- à moins de se faire laudateur-thuriféraire-béni oui oui -- d'être immédiatement accusé de blasphème ( ce qui, pourtant, ne peut se concevoir qu'à l'intérieur d'une pensée de structure religieuse et non en droit positif sociétal) alors que, par définition, celles et ceux qui ne sont pas des adeptes de la dite religion ne peuvent être concernés par la notion de blasphème.
OU alors ils sont traités "d'islamophobes" lorsqu'ils essayent de faire un effort intellectuel du même type que l'ijtihah ou le tajdid dans un effort de dialogue avec les tenants d'un Coran comme seul écrit de référence et Mohamed comme celui qui aurait clôt le débat humain en accédant à la position de sceau ultime d'une révélation divine.
Et ils sont vilempidés, accusés d'être haineux ou injurieux lorsqu'il vont oser remettre en cause le comportement social et la structure sociétale de communautés de vie que ce soit sur un territoire national ou à l'intérieur d'un autre Etat.
[b]BREF! sOIT VOUS ËTES MUSULMAN (même si vous ne voulez pas l'être)ET VOUS BLASPHEMEZ....
SOIT VOUS N'ETES PAS MUSULMAN DONC INAPTE A PARLER DE L'ISLAM PUISQUE VOUS ETES AU MIEUX EN POSITION DE DHIMMIS, PEUT-ETRE MEME DE KOUFAR ET PIRE ENCORE D'APOSTAT.
Il y aurait donc dans l'espèce humaine, sur la planète TERRE, celles et ceux qui auraient le droit de penser et le droit de s'exprimer, participant en quelque sorte d'un 1° collège où ils sont citoyens de plein droit...et ce par décision divine,
Et il y aurait dans l'espèce humaine, sur Terre, celles et ceux relevant du 2° collège, ne pouvant qu'approuver et ne devant en aucun cas se considérer comme les égaux des précédents et oser avoir l'outrecuidance de parler de ce qui leur ai (par essence?) étranger....Et ce quelque soit leur niveau de savoir, d'expérience et la pertinence de leurs propos.
N'étant jamais intervenu dans le cadre "Islam et Humanité" je m'interroge sur la latitude qui m'y serait laissé afin d'y exprimer mon Humanité par rapport à l'Islam....même avec un Doctorat en Théologie Islamique et une Agrégation en Langue Arabe Classique.
N'ayez pas peur : je ne possède pas ces deux titres.
Et je me demande comment va être jugé ce texte par les gens d'origine juive, de confession israélite et a fortiori lorsqu'ils sont citoyens d'un Etat théocratique et s'inscrivant dans un sionisme pur et dur.
Même la droite néoconservatrice évangélique américaine, notamment les Christians Born Again like G W Bush, vont me crucifier.
ET VOUS! QU'EN PENSEZ-VOUS?
A+ si vous le voulez ... et si je suis encore là.
Pour introduire ce débat -lequel devrait être fait d'échanges dans le cadre du projet de Forum Algérie : "Ensemble, imaginons un monde meilleur"-je vais faire état de deux exemples contemporains, très actuels, que chacune et chacun connait ou peut avoir intégré dans son expérience de vie...au moins intellectuellement.
Exemple 1/
Comme l'écrivent Emmanuelle Duverger et Roger Ménard in "La censure des bien-pensants" (Albin Michel, Paris 2003) :
En France il est très difficile de mettre en cause le sionisme, la politique du gouvernement israélien et a fortiori de remettre en cause un Etat qui se veut représentatif légitimement d'une "vision divine " ayant donné au "peuple élu" via Abraham et Moïse (en leur époque et sans aucune certitude quant à l'existence historique concernant Abraham).
Immédiatement celle ou celui qui s'y risque est affublé(e) de l'étiquette "Antisémite" lors même qu'il est clair qu'il ne s'agit pas, en l'occurence, de mettre en cause "es qualité de né juif" les êtres humains se reconnaissant une filiation commune (via les mères : c'est plus sûr), à caractère religieux et alors même que certaines et certains d'entre eux déclarent ne pas ou ne plus être judaïsants (culture) croyants (religion).
S'établit alors un dialogue de sourds puisque le thème du débat n'est pas le même pour les débatteurs. Alors les sionistes israéliens (ou à venir) jouent aux victimes "es qualité de juif né" au lieu de s'interroger sur la viabilité de leur position politique et de leur méthode visant à se faire une place au Soleil, içi et maintenant, sur cette Terre...mais sans réflêchir à long terme.
Exemple 2/
Il apparait de plus en plus clairement que se pose le même type de problème avec une partie de celles et ceux connu(e)s à l'échelon de la planète - patrie commune à l'espèce humaine - sous le vocable :
musulman(s).
Quelque soit l'intensité de l'intérêt (et j'oserai même dire "de l'amour") que l'on peut porter à celles et ceux qui sont (ou ont été inscrits, ou sont devenus) classés sociologiquement dans l'aire de référence que l'on pourrait appeler "islamique" en un constat impartial, il semblerait n'être pas ou plus possible de s'intéresser et s'interroger quant à l'Islam, au Coran, à Mohammed, à la Sunna, au Fiqh et à la Charïa sous peine -- à moins de se faire laudateur-thuriféraire-béni oui oui -- d'être immédiatement accusé de blasphème ( ce qui, pourtant, ne peut se concevoir qu'à l'intérieur d'une pensée de structure religieuse et non en droit positif sociétal) alors que, par définition, celles et ceux qui ne sont pas des adeptes de la dite religion ne peuvent être concernés par la notion de blasphème.
OU alors ils sont traités "d'islamophobes" lorsqu'ils essayent de faire un effort intellectuel du même type que l'ijtihah ou le tajdid dans un effort de dialogue avec les tenants d'un Coran comme seul écrit de référence et Mohamed comme celui qui aurait clôt le débat humain en accédant à la position de sceau ultime d'une révélation divine.
Et ils sont vilempidés, accusés d'être haineux ou injurieux lorsqu'il vont oser remettre en cause le comportement social et la structure sociétale de communautés de vie que ce soit sur un territoire national ou à l'intérieur d'un autre Etat.
[b]BREF! sOIT VOUS ËTES MUSULMAN (même si vous ne voulez pas l'être)ET VOUS BLASPHEMEZ....
SOIT VOUS N'ETES PAS MUSULMAN DONC INAPTE A PARLER DE L'ISLAM PUISQUE VOUS ETES AU MIEUX EN POSITION DE DHIMMIS, PEUT-ETRE MEME DE KOUFAR ET PIRE ENCORE D'APOSTAT.
Il y aurait donc dans l'espèce humaine, sur la planète TERRE, celles et ceux qui auraient le droit de penser et le droit de s'exprimer, participant en quelque sorte d'un 1° collège où ils sont citoyens de plein droit...et ce par décision divine,
Et il y aurait dans l'espèce humaine, sur Terre, celles et ceux relevant du 2° collège, ne pouvant qu'approuver et ne devant en aucun cas se considérer comme les égaux des précédents et oser avoir l'outrecuidance de parler de ce qui leur ai (par essence?) étranger....Et ce quelque soit leur niveau de savoir, d'expérience et la pertinence de leurs propos.
N'étant jamais intervenu dans le cadre "Islam et Humanité" je m'interroge sur la latitude qui m'y serait laissé afin d'y exprimer mon Humanité par rapport à l'Islam....même avec un Doctorat en Théologie Islamique et une Agrégation en Langue Arabe Classique.
N'ayez pas peur : je ne possède pas ces deux titres.
Et je me demande comment va être jugé ce texte par les gens d'origine juive, de confession israélite et a fortiori lorsqu'ils sont citoyens d'un Etat théocratique et s'inscrivant dans un sionisme pur et dur.
Même la droite néoconservatrice évangélique américaine, notamment les Christians Born Again like G W Bush, vont me crucifier.
ET VOUS! QU'EN PENSEZ-VOUS?
A+ si vous le voulez ... et si je suis encore là.
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