Des sources généralement bien informées ont indiqué qu’une armada de journalistes algériens installés au Qatar est rentrée au pays ces derniers jours. Interdite en Algérie, la chaîne de télévision qatarie use de divers subterfuges pour y couvrir les événements importants, en les amplifiant à des fins de subversion. Ce fut le cas lors du déclenchement de ce que cette chaîne avait reçu l’ordre de baptiser «le printemps arabe» au début de l’année 2011, c’est-à-dire les soulèvements populaires organisés par les officines et certaines ONG occidentales en Tunisie, en Egypte puis en Libye et en Syrie, conduisant ces deux derniers pays à une guerre civile.
Nos sources expliquent que la chaîne de télévision qatarie, ne pouvant dépêcher ses propres journalistes, cette mission est confiée à des Algériens travaillant pour divers autres médias qataris qui rentrent au pays sous couvert de congé de travail et qui la tiennent informée de ce qu’il s’y passe et lui envoient des sujets clandestinement. La présence de ces journalistes en grand nombre à Alger, à chaque fois que survient un évènement inhabituel, confirme qu’ils sont chargés d’une mission particulière.
Al-Jazeera enregistre une importante chute d’audience en Algérie depuis l’avènement de chaînes privées qui ont polarisé l’attention du téléspectateur algérien, à travers une couverture quotidienne des problèmes internes, tandis que la chaîne qatarie continue de s’intéresser quasi exclusivement à la Syrie, en abondant dans le sens de la volonté occidentale de renverser le régime de Bachar Al-Assad.La protestation des policiers a «redonné de l’espoir» à cette chaîne de propagande qui ne désespère pas de voir l’Algérie basculer dans la violence et lui servir de «sujet d’actualité», d’autant que les évènements qui secouent la Libye, la Syrie, le Yémen et l’Irak sont devenus barbants et que la Tunisie et l’Egypte sont en passe de transcender leur crise politique sans trop de grabuge.
Face à la multiplication des interdictions dans plusieurs pays arabes et à la concurrence d’autres chaînes de télévision arabes, les nouvelles autorités de Doha ont décidé de créer une nouvelle chaîne pour pallier cette régression.Elles semblent cependant avoir échoué, puisque la chaîne en question, créée à coup de millions de dollars et émettant à partir de la capitale britannique, Londres, est un projet mort-né. Mais Al-Jazeera continuera de compter sur ses journalistes algériens qui constituent désormais son fer de lance – qu’ils en fassent partie ou qu’ils soient employés par d’autres médias à Doha –, après une série de démissions de leurs collègues des autres pays arabes qui ont dénoncé la partialité de cette chaîne dans la couverture de l’actualité brûlante de leurs pays respectifs.
source: Algérie patriotique
Nos sources expliquent que la chaîne de télévision qatarie, ne pouvant dépêcher ses propres journalistes, cette mission est confiée à des Algériens travaillant pour divers autres médias qataris qui rentrent au pays sous couvert de congé de travail et qui la tiennent informée de ce qu’il s’y passe et lui envoient des sujets clandestinement. La présence de ces journalistes en grand nombre à Alger, à chaque fois que survient un évènement inhabituel, confirme qu’ils sont chargés d’une mission particulière.
Al-Jazeera enregistre une importante chute d’audience en Algérie depuis l’avènement de chaînes privées qui ont polarisé l’attention du téléspectateur algérien, à travers une couverture quotidienne des problèmes internes, tandis que la chaîne qatarie continue de s’intéresser quasi exclusivement à la Syrie, en abondant dans le sens de la volonté occidentale de renverser le régime de Bachar Al-Assad.La protestation des policiers a «redonné de l’espoir» à cette chaîne de propagande qui ne désespère pas de voir l’Algérie basculer dans la violence et lui servir de «sujet d’actualité», d’autant que les évènements qui secouent la Libye, la Syrie, le Yémen et l’Irak sont devenus barbants et que la Tunisie et l’Egypte sont en passe de transcender leur crise politique sans trop de grabuge.
Face à la multiplication des interdictions dans plusieurs pays arabes et à la concurrence d’autres chaînes de télévision arabes, les nouvelles autorités de Doha ont décidé de créer une nouvelle chaîne pour pallier cette régression.Elles semblent cependant avoir échoué, puisque la chaîne en question, créée à coup de millions de dollars et émettant à partir de la capitale britannique, Londres, est un projet mort-né. Mais Al-Jazeera continuera de compter sur ses journalistes algériens qui constituent désormais son fer de lance – qu’ils en fassent partie ou qu’ils soient employés par d’autres médias à Doha –, après une série de démissions de leurs collègues des autres pays arabes qui ont dénoncé la partialité de cette chaîne dans la couverture de l’actualité brûlante de leurs pays respectifs.
source: Algérie patriotique
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