Rejet de la privatisation et grève de la faim...
Un nombre de syndicalistes de Hassi Messaoud ainsi qu’un autre groupe licencié de l’Entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (ETUSA) ont entreprit une grève de la faim, alors que les travailleurs de la compagnie de matières grasses ont investie la rue pour manifester contre la situation au sein dans laquelle se trouve leur entreprise et ceux de l’entreprise « Inago » de Batna expriment leur colère en rejetant la privatisation.
Cette situation qui ne cesse de s’aggraver indique que le pacte économique et social, signé récemment entre le gouvernement et la centrale syndicale, n’a pas eu l’écho souhaité au niveau de la base. Les demandes et revendications socioprofessionnelles des travailleurs et des syndicalistes resurgissent à nouveau sur la scène nationale et s’imposent en tête des événements après une accalmie qui n’a pas duré longtemps, qui a suivi les négociations autour du dossier des salaires.
Ce mouvement de protestation ne se manifeste pas uniquement par l’organisation de rassemblements et meetings, mais il a pris une grave ampleur car plusieurs travailleurs sont entrés en grève de la faim.
Des sources syndicales de la zone industrielle de Rouiba ont indiqué à El Khabar que les revendications des travailleurs, exprimé lors de la marche regroupant 15 mille travailleurs, le 24 mai dernier, n’ont pas été satisfaites en dépit des promesses faites par les dirigeants de la centrale syndicale.
- El Khabar
Un nombre de syndicalistes de Hassi Messaoud ainsi qu’un autre groupe licencié de l’Entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (ETUSA) ont entreprit une grève de la faim, alors que les travailleurs de la compagnie de matières grasses ont investie la rue pour manifester contre la situation au sein dans laquelle se trouve leur entreprise et ceux de l’entreprise « Inago » de Batna expriment leur colère en rejetant la privatisation.
Cette situation qui ne cesse de s’aggraver indique que le pacte économique et social, signé récemment entre le gouvernement et la centrale syndicale, n’a pas eu l’écho souhaité au niveau de la base. Les demandes et revendications socioprofessionnelles des travailleurs et des syndicalistes resurgissent à nouveau sur la scène nationale et s’imposent en tête des événements après une accalmie qui n’a pas duré longtemps, qui a suivi les négociations autour du dossier des salaires.
Ce mouvement de protestation ne se manifeste pas uniquement par l’organisation de rassemblements et meetings, mais il a pris une grave ampleur car plusieurs travailleurs sont entrés en grève de la faim.
Des sources syndicales de la zone industrielle de Rouiba ont indiqué à El Khabar que les revendications des travailleurs, exprimé lors de la marche regroupant 15 mille travailleurs, le 24 mai dernier, n’ont pas été satisfaites en dépit des promesses faites par les dirigeants de la centrale syndicale.
- El Khabar