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Selon des échos persistants : Ali Haddad serait sur le point de créer un parti

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  • Selon des échos persistants : Ali Haddad serait sur le point de créer un parti

    A près avoir pris le contrôle de la direction du patronat, l’entourage du chef de l’Etat s’apprête à passer à la vitesse supérieure.

    Des informations de plus en plus insistantes font état de la volonté de Ali Haddad, président du FCE, de fonder un parti politique. Selon différentes sources, le parti, qui s’appellerait El Fakhr (la fierté) aurait déjà séduit plusieurs ministres – anciens et actuels – et nombre de «personnalités politiques».

    Derrière tout ce beau monde, des hommes d’affaires, regroupés pour l’essentiel au sein du Forum des chefs d’entreprises, sont prêts à mettre la main à la poche pour financer le nouveau parti. Les proches de Ali Haddad et Saïd Bouteflika n’ont rien annoncé d’officiel, mais le bruit court depuis plusieurs semaines à Alger et sur les réseaux sociaux. Certains avancent même que la mission de constituer ce parti serait confiée à l’un des frères du patron du FCE.


    Parti ou coalition ?


    D’autres sons de cloche indiquent que les proches du chef de l’Etat sont tentés par un tout autre scénario. Des petits partis politiques qui soutiennent le chef de l’Etat se concertent pour un créer «une coalition» qui porterait au pouvoir Saïd Bouteflika, le cas échéant.

    Ce regroupement commence d’ailleurs à se dessiner avec des réunions de certains partis, à l’image du MPA, TAJ et ANR. Ce groupement «sera une plateforme politique qui portera le frère du Président», estime le politologue Ahmed Adimi, qui s’est exprimé sur la chaîne KBC. Ce dernier ajoute que «la machine est déjà en marche». Du côté du pouvoir, c’est motus et bouche cousue. Seul le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, s’est exprimé sur le sujet. «C’est une rumeur», a-t-il dit à partir d’Oran où il était jeudi en déplacement.

    En plus des bruits qui courent sur la création d’un parti – ou une coalition –, d’autres acteurs politiques évoquent la réapparition des comités de soutien à Saïd Bouteflika dans différentes régions du pays.

    Un air qui rappelle, étrangement, les rumeurs, démenties par le temps, qui annonçaient, en 2009, la volonté de Abdelaziz Bouteflika de préparer son frère cadet pour occuper la fonction présidentielle.
    Un scénario qui ressemble à l’Egypte sous Hosni Moubarek. Des desseins que l’avènement des «printemps arabes» a compromis.

    Ces rumeurs ont été confortées par la dernière sortie de Louisa Hanoune. La secrétaire générale du Parti des travailleurs avait interpellé publiquement Saïd Bouteflika. Elle avait demandé au frère du chef de l’Etat de «prendre ses responsabilités». Ali Boukhlef
    El Watan

  • #2
    Des échos qui parviennent de Dely Ibrahim... Il y a panique à bord pour distiller ce genre de trouvaille...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Ça fait parti des petites mises en scènes à gauche et à droite pour détourner l'attention et occuper la populace. L'état de confusion soigneusement entretenu pour continuer à faire régner la médiocrité.
      Dernière modification par BeeHive, 22 mars 2015, 19h09.

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      • #4
        Un parti créé par quelqu'un qui sait ce qu'est le travail. Ce serait une grande première en Algérie. Mais hélas: Il a aucune chance de récolter des voix.

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        • #5
          Mais hélas: Il a aucune chance de récolter des voix.
          s'il se présente il sera le candidat du pouvoir.. il gagnera comme Boutef, Zeroual etc
          Pas à la tique ..

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          • #6
            Un Néme parti satellite du pouvoir a l'instar du MPA, TAJ et ANR ...
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              tout parti , pour perdurer doit bénéficier au départ de la bénédiction de TOUFIK et pour survivre de la protection du DRS.

              Said B et ses amis peuvent s'ils le veulent lancer ce qu'ils pensent concurrencer le FLN . Ils en seront pour leur argent , tant que les militaires se seront pas écartés de la politique.

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              • #8
                APRES HADDAD, OULD ABBES EST CATEGORIQUE :
                «L’héritage du pouvoir est un piège que nous n’acceptons pas»


                Au patron du FCE qui dément tout projet de création de parti politique devant «assurer» la succession du frère conseiller du président à son aîné au Palais d’El Mouradia, se greffe le cinglant refus de Djamal Ould-Abbès de tout projet de succession du pouvoir.

                M. Kebci - Alger (Le Soir) du 26/03/2015

                Ça chauffe en haut-lieu tant la problématique de la succession ne s’est jamais posée avec acuité comme c’est le cas présentement. Car il s’agit d’assurer une transition sereine sans trop de dégâts collatéraux. Avec, cette fois-ci, le souci de ne pas donner l’impression d’avoir cédé devant cette opposition qui semble ne pas vouloir se faire «chiper» et «travestir» son mot d‘ordre d’une transition démocratique pacifique et négociée.
                Mais pas que cette «préoccupation», car il est senti cette fois-ci, l’«odeur» d’une succession par «simple filiation familiale» avec la prétention prêtée au cadet des frères du président de succéder à son aîné. Une «velléité» qui semble buter de plus en plus sur des oppositions. D’où cette guerre entre les divers segments du sérail dont les «répliques» se font sentir via les sorties de leurs relais.
                C’est dans ce cadre qu’il faudra cataloguer les toutes dernières sorties de Ali Haddad et de Djamal Ould-Abbès. Le patron des patrons n’a-t-il pas démenti formellement la prétention qui lui est prêtée de mettre sur pied un parti politique pour porter politiquement ce projet de succession tranquille loin des regards malveillants, lui qui s’est lourdement impliqué dans les campagnes présidentielles de 2004 et 2009 et beaucoup plus substantiellement à l’occasion du 4e mandat. «Je ne fais pas de politique. Nous laissons cela aux politiciens», a-t-il affirmé avant-hier mardi lors d'un point de presse.
                Quelques heures après, c’est un autre démenti de la même veine qui sera apporté et par un autre membre du cercle présidentiel.
                L’ancien ministre de la Solidarité nationale puis de la Santé et actuel sénateur du tiers présidentiel, a poussé un peu plus loin le bouchon.
                Djamal Ould-Abbès évacue, en effet, toute idée «d’héritage familial» du pouvoir. «Beaucoup de choses ont été prêtées au frère du président qui est très proche de lui et a beaucoup enduré après sa maladie. Moi je me fie au décret présidentiel. Il est le conseiller du président et accomplit ses missions comme telles, c’est tout», affirmait-il, avant-hier mardi dans une émission politique d’El Bilad TV. Et de se lâcher : «la perspective d’héritage du pouvoir n’est pas à l’ordre du jour. C’est un piège que nous n’acceptons pas. Après 2019, ce que Dieu voudra interviendra».
                Venant d’un proche parmi les plus proches du président de la République, ce propos ne peut signifier autre chose qu’un renoncement du clan de Bouteflika à cette perspective d’héritage. Cela si, bien entendu, cette dernière était dans son agenda. Un renoncement loin d’être «anodin» car constituant le résultat de l’absence d’un «consensus» avec les autres «intervenants» qui ont leur «mot» dans le choix du successeur à l’actuel locataire du Palais d’El Mouradia.
                Cela dit, et à supposer que les professions de foi de Haddad et de Ould-Abbès ne souffrent d’aucune suspicion, quelle sera, alors l’«alternative» pour le sérail qui fait face à bien «d’ambitions» ?
                M. K.
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  Bonsoir tout le monde !

                  Ce groupement «sera une plateforme politique qui portera le frère du Président», estime le politologue Ahmed Adimi
                  le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, s’est exprimé sur le sujet. «C’est une rumeur», a-t-il dit
                  Comme quoi nous avons une idée selon laquelle une "rumeur" peut provoquer une "estimation".

                  C'est pas rigolo ça?

                  A+.
                  La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                  De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                  .
                  Merci.
                  " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                  • #10
                    Le club des politologues au service de certaines écuries de l'ombre maintenant très bien connues et identifiées... Ce club possède des journalistes, des procureurs, des avocats, des politiciens et "politologues", des entrepreneurs, parfois ils le sont eux meme, enfin, hna fe hna, et ils paniquent à l'idée que l'Algérie leur échappe.

                    Ces memes "politologues" fustigerons le FFS quand il remettra en scelle sa conférence qui ne saurait tarder.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Hbibna ott wech rak !

                      Ces memes "politologues" fustigerons le FFS quand il remettra en scelle sa conférence qui ne saurait tarder.
                      Je l'ai dis dans précédent poste,la secte tremble de tout son corps...

                      Nous avons une fiche de courant et une boite de courant.
                      Ils existent ,ils sont bien là.
                      Le FFS est la fiche de courant, le Peuple est la boite de courant.
                      Le branchement est imminent.

                      C'est trop tard.

                      Au plaisir de te lire.
                      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                      .
                      Merci.
                      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                      • #12
                        Saha Arayzon,

                        La secte va passer de la phase subversive, à la phase négociation, s'ils ne veulent pas etre obligés de se dorer avec les devises accumulés, et préparés, mais avec des dinars qu'ils souhaitent encore démultiplier...

                        Une phase qui risque de s'éterniser, avec encore quelques dribles... mais dont il faut espérer une issue acceptable...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          Hbibna ott sa7it !

                          ...avec des dinars qu'ils souhaitent encore démultiplier...
                          Atik essa7a

                          Une phase qui risque de s'éterniser, avec encore quelques dribles... mais dont il faut espérer une issue acceptable...
                          In Cha Allah !

                          Au plaisir de te lire.
                          La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                          De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                          .
                          Merci.
                          " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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