Il a été expulsé juste parce qu'il est sans papier, renouvellement carte résidence refusé, à la grande joie des "zemmouro fascistes" qui font l'amalgame avec les tueries de Toulouse et Montauban. Il s'est ridiculisé consciemment encore une fois en tentant sa chance pour une carte de résidence, offrant une bonne occasion aux médias. C'est comme "je déteste la France mais j'y suis pour en profiter".
Pour les mystères de l'enquète sur les tueries, cela n'enlève en rien la responsabilité, meme si complots, infiltrations, etc...Le père montre bien qu'il défend son fis à 100% comme une victime.
Par contre ce qui est intéressant dans l'interview, c'est de définir ce qu'est un musulman ou l'Islam, car d'après le père cela donne:
"Nous sommes une famille croyante et qui respecte les lois de notre pays. Tous mes enfants ont été élevés d’une manière correcte et suivant les préceptes de l’islam. Leur mère peut en témoigner. Mohamed, Abdelkader et Souad étaient très pieux".
Dans sa région en Algérie, Médéa, la décennie noire nous a bien montré les incohérences, avec ses nombreux massacres. Certains qui se définissent "musulmans pieux, bien éduqués", considèrent d'autres musulmans "mécréants". Ce n'est pas dit en face, mais par exemple une femme en burka ou homme en tenue "salafiste, par exemple, va dire à ses enfants: "nos voisins ne sont pas musulmans" meme si ces derniers font la prière et vont à la mosquée. Alors pourquoi nommer "musulmans" des intolérants qui nomment leurs voisins de "mécréants" sur leur dos? Chacun a sa propre définition du musulman, et surtout celui qui se sert de la foi pour masquer son naturel.
L'interview nous montre encore une fois comment la religion musulmane est manipulée, emploi de mots magiques, pour la poursuite de l'endoctrinement des naifs, vouloir se déresponsabiliser en accusant l'autre avec la théorie du complot comme à l'époque du Kituki. La soeur de Mérah, Souad, qui, faisant semblant de condamner le meurtre d'enfants, tout en évoquant les complots, s'est bien fait piégée par son frère avec la caméra cachée.
Pour les mystères de l'enquète sur les tueries, cela n'enlève en rien la responsabilité, meme si complots, infiltrations, etc...Le père montre bien qu'il défend son fis à 100% comme une victime.
Par contre ce qui est intéressant dans l'interview, c'est de définir ce qu'est un musulman ou l'Islam, car d'après le père cela donne:
"Nous sommes une famille croyante et qui respecte les lois de notre pays. Tous mes enfants ont été élevés d’une manière correcte et suivant les préceptes de l’islam. Leur mère peut en témoigner. Mohamed, Abdelkader et Souad étaient très pieux".
Dans sa région en Algérie, Médéa, la décennie noire nous a bien montré les incohérences, avec ses nombreux massacres. Certains qui se définissent "musulmans pieux, bien éduqués", considèrent d'autres musulmans "mécréants". Ce n'est pas dit en face, mais par exemple une femme en burka ou homme en tenue "salafiste, par exemple, va dire à ses enfants: "nos voisins ne sont pas musulmans" meme si ces derniers font la prière et vont à la mosquée. Alors pourquoi nommer "musulmans" des intolérants qui nomment leurs voisins de "mécréants" sur leur dos? Chacun a sa propre définition du musulman, et surtout celui qui se sert de la foi pour masquer son naturel.
L'interview nous montre encore une fois comment la religion musulmane est manipulée, emploi de mots magiques, pour la poursuite de l'endoctrinement des naifs, vouloir se déresponsabiliser en accusant l'autre avec la théorie du complot comme à l'époque du Kituki. La soeur de Mérah, Souad, qui, faisant semblant de condamner le meurtre d'enfants, tout en évoquant les complots, s'est bien fait piégée par son frère avec la caméra cachée.
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