Sur les 942 appels de femmes recensés durant la période d’une année (de janvier à décembre 2004) au centre d’écoute animé par deux psychologues consultantes, Hassani Wahiba et Achouri Wahiba, travaillant sous la houlette de Soumia Salhi, 388 sont des appels pour cause de harcèlement avec témoignages directs émis par les victimes elles-mêmes. “Il faudra ajouter à ce chiffre l’ensemble des témoignages indirects” fait remarquer Achouri Wahiba, “l’ensemble des femmes qui refusent de s’exprimer au téléphone et qui préfèrent carrément se déplacer au centre d’écoute, les femmes qui envoient leurs témoignages soit par e-mail soit par fax, celles qui chargent un collègue ou un proche de témoigner à leur place ainsi que les femmes qui appellent en groupe pour exprimer ensemble leurs souffrances”.
Les premières ciblées sont les femmes divorcées, puis les célibataires et enfin les femmes mariées, appartenant à la tranche d’âge 21-55 ans .
Ces données, consignées dans un rapport annuel élaboré par les animatrices du centre d’écoute, relèvent en
-Dans un rapport remis hier à l’ONU. http://www.liberte-***********/edit.php?id=33354
Les premières ciblées sont les femmes divorcées, puis les célibataires et enfin les femmes mariées, appartenant à la tranche d’âge 21-55 ans .
Ces données, consignées dans un rapport annuel élaboré par les animatrices du centre d’écoute, relèvent en
-Dans un rapport remis hier à l’ONU. http://www.liberte-***********/edit.php?id=33354
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