http://www.dailymotion.com/drwatsonaaf/1
l'armée algerien et une des armées les plus equipé d'afrique et méme du bassin mediterranee a vous de voire....
Histoire
Sur le plan historique, cette armée est l'héritière du bras armé du Front de libération nationale (FLN), l'Armée de libération nationale (ALN), qui combattit l'armée française, de 1954 à 1962 (accords d'Évian). Une partie des membres de ce groupe paramilitaire composera son cadre originel d'officiers et de soldats de base.
Après 8 années d'une guerre aux conséquences humaines importantes, l'Algérie apparaît aux yeux du tiers-monde comme un symbole supplémentaire de la lutte pour l'autodétermination des peuples. Les positions anticolonialistes de son gouvernement ainsi que l'inscription idéologique de la nation dans la sphère socialiste (contexte de la guerre froide), renforceront le rapprochement avec l'URSS. C'est la raison pour laquelle l'Armée nationale populaire devint à l'indépendance de l'Algérie le second pays africain, après l'Égypte, à obtenir la plus grosse assistance militaire de Moscou. Il convient de rappeler que ce lien avec l'URSS était déjà important lors de la guerre d'indépendance. En effet, des unités de l'ALN disposaient de bases arrières en Libye et en Égypte, où elles bénéficiaient notamment de l'appui de conseillers militaires soviétiques.
Structurellement inter-liée au pouvoir administratif, économique et politique du pays dont elle fournit partie du cadre dirigeant depuis 1962, l'armée algérienne a toujours bénéficié d'une attention particulière pour son équipement. Un statut facilité notamment par la manne importante obtenue par les ventes de gaz et d'hydrocarbures, au profit des pays partenaires.
Les forces armées participent aux opérations durant la guerre civile algérienne avec des résultats divers, certaines organisations l'accusent de violence injustifié.
Structures
Le pays est divisé en six régions militaires, chacune comprenant un quartier-général. Un schéma d'organisation adopté pendant la guerre d'indépendance est maintenu après celle-ci, afin de garder à la fois un contrôle des frontières (tensions récurrentes avec le Maroc sur la question du Sahara occidental, grand banditisme dans le désert, etc.), et de lutter contre les insurrections potentielles. Chaque commandement régional est responsable de l'administration des infrastructures militaires, de la logistique, du logement et de la formation des conscrits. À sa tête, il existe un État-Major (aujourd'hui dirigé par le chef d'état-major M. Gaïd Salah) qui coordonne l'ensemble des activités militaires et de lutte contre le terrorisme avec le soutien des commandants des forces terrestres, aériennes, DAT(défense aérienne du territoire) et navales. Cependant la fonction de chef d'état-major a beaucoup perdu de son influence au profit de la fonction de ministre délégué à la défense détenue par A. Guenaïzia et du secrétaire général du ministère de la défense le général major Sanhadji. Guenaïzia exerce aussi son autorité vis-à-vis de la gendarmerie nationale.
Toutefois, le pouvoir de l'armée dans le pays forme également un binôme très complexe avec le pouvoir politique grâce à l'influence du DRS (services de renseignements) dirigé depuis 90 par les puissants généraux Toufik et Smain. Ce premier garantit l'unité nationale par sa puissance publique mais impose aussi des décisions sur la gestion du pays, en corollaire avec un gouvernement qui assume les autres tâches régaliennes dans les limites qui lui sont fixées: une structure héritée du contexte de l'indépendance, avec l'état-major de l'Armée de libération nationale qui œuvrait parallèlement avec le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Ce schéma n'a jamais été exempt de tensions à l'exemple de l'annulation des élections de décembre 1991 ou de la démission de M. Liamine Zeroual de sa fonction de président de la république. Aujourd'hui, ce schéma est dit persistant même si le président Bouteflika œuvre actuellement pour un renforcement du "pouvoir civil" au sein de l'État. Toutefois, cet exercice s'avère toujours délicat.
Marine
Les principales bases navales sont situées à Mers el Kébir près d'Oran et à Jijel à environ 300 km à l'est d'Alger.
Flotte (2001) Sous-marin Frégate Corvette Patrouilleur
[[Kilo (marine algérienne)|Kilo (2)]+ 2 Kilos en commande
] || Koni (3)|| Nanuchka ( 3 ) || Osa 2 (9) (( EL KEBIR 16 )) ((HAINAN 7))
Djebel Chinoise (3)
Cocarde des F.A.ALes principales bases aériennes se trouvent à Bousfer près d'Oran, à Boufarik près d'Alger et Laghouat. École supérieure de l'Air à Tafraoui (2°RM) et la bases aérienne d'hélicoptère a Setif.
74 Mikoyan-Gourevitch MiG-29S/UB Fulcrum
36 Mikoyan-Gourevitch MiG-29SMT-2/UBT Fulcrum (en commande)
28 Mikoyan-Gourevitch MiG-25PDS/PU/RB/RBSh
37 Sukhoï Su-24MK et BIS
4 Sukhoï Su-24 MR
28 Sukhoï Su-30MKA (en commande)
70 Mi-24V et Mi-24MKIII
150 30 Mi-8MT Mi-17, 38 Mi-171, 40 Mi-171SH, 42 Mi-17-1V/HIP
10 Mi-8T
30 Mi-2
5 KAMOV KA-32 et KA-27
25 AS-355N
54 L-39C/ZA
16 Yak-130 (en commande)
9 Lockheed C-130H Hercules
8 Lockheed C-130H30 Hercules
12 Illiouchine Il-76 Candid
6 Illiouchine Il-78 Midas
6 C-295
8 seekers UAV
6 Beech 1900D HISAR/MMSA
6 Beech 1900D
20 Zlin 142
20 SAFIR 143
Contracté le 10 mars 2006, lors de la visite de Vladimir Poutine à Alger, un accord a surpris, tant par son montant financier - 7,5 milliards de dollars- que par la liste des matériels militaires visés, qui représentent le meilleur de la technologie russe. Moscou doit fournir
34 avions de combat Mig-29 SMT/UBT
28 chasseurs Soukhoï-30, MK
16 avions d’entraînement Yak-130,
300 T-90 de blindés
08 systèmes de missiles sol-air S-300 Pmu-2
02 sous-marins kilo moteur diesel
et un nombre non précisé de matériels relevant de la « technologie navale et terrestre ». Dans la région du Maghreb, aucun autre pays ne possède une aviation susceptible de rivaliser avec des Mig-29 et des Soukhoï-30.
Armée de terre
Environ 107 000 militaires et 100 000 réservistes.;
Chars de combat: 320 T-72 AG et 300 T-90S et plus de 200 T-62 et 600 T-55 amv en réserve.
Autres blindés : un millier de BMP-1 et 2 et 3 BTR-60/80/ota 64,Fahd-200 .BCL M-5 blindé développé par la BCL ALGERIAN (ressemblance avec le Fahd égyptien)…
Artillerie lourde motorisée et systèmes de missiles défensifs : 2S1, 2S3, Smersh MLRS;
Système de défense anti-aérien : (120) ZSU 23-4 IGLA, S-300PMU2,(30) Tanguska SAM-19, SAM-6/8/7/ 9/13/14/16/18..tous modernisé…
Armement défensif électronique;
Forces d'intervention parachutistes: 17 BP, adaptée à la lutte antiterroriste et aux incursions en territoire ennemi dont le signe distinctif est le port du béret rouge, vert, et noir. Formés au combat rapproché à l'EATS (École d'application des troupes spéciales) de Biskra grâce à l'art martial du Kuksool d'origine coréenne.
Plusieurs missiles de moyenne portée de fabrications chinoise et russe.
4 sociétés de fabrication d'armes légère de toutes tailles fournissent entre autre des AK-47
l'armée algerien et une des armées les plus equipé d'afrique et méme du bassin mediterranee a vous de voire....
Histoire
Sur le plan historique, cette armée est l'héritière du bras armé du Front de libération nationale (FLN), l'Armée de libération nationale (ALN), qui combattit l'armée française, de 1954 à 1962 (accords d'Évian). Une partie des membres de ce groupe paramilitaire composera son cadre originel d'officiers et de soldats de base.
Après 8 années d'une guerre aux conséquences humaines importantes, l'Algérie apparaît aux yeux du tiers-monde comme un symbole supplémentaire de la lutte pour l'autodétermination des peuples. Les positions anticolonialistes de son gouvernement ainsi que l'inscription idéologique de la nation dans la sphère socialiste (contexte de la guerre froide), renforceront le rapprochement avec l'URSS. C'est la raison pour laquelle l'Armée nationale populaire devint à l'indépendance de l'Algérie le second pays africain, après l'Égypte, à obtenir la plus grosse assistance militaire de Moscou. Il convient de rappeler que ce lien avec l'URSS était déjà important lors de la guerre d'indépendance. En effet, des unités de l'ALN disposaient de bases arrières en Libye et en Égypte, où elles bénéficiaient notamment de l'appui de conseillers militaires soviétiques.
Structurellement inter-liée au pouvoir administratif, économique et politique du pays dont elle fournit partie du cadre dirigeant depuis 1962, l'armée algérienne a toujours bénéficié d'une attention particulière pour son équipement. Un statut facilité notamment par la manne importante obtenue par les ventes de gaz et d'hydrocarbures, au profit des pays partenaires.
Les forces armées participent aux opérations durant la guerre civile algérienne avec des résultats divers, certaines organisations l'accusent de violence injustifié.
Structures
Le pays est divisé en six régions militaires, chacune comprenant un quartier-général. Un schéma d'organisation adopté pendant la guerre d'indépendance est maintenu après celle-ci, afin de garder à la fois un contrôle des frontières (tensions récurrentes avec le Maroc sur la question du Sahara occidental, grand banditisme dans le désert, etc.), et de lutter contre les insurrections potentielles. Chaque commandement régional est responsable de l'administration des infrastructures militaires, de la logistique, du logement et de la formation des conscrits. À sa tête, il existe un État-Major (aujourd'hui dirigé par le chef d'état-major M. Gaïd Salah) qui coordonne l'ensemble des activités militaires et de lutte contre le terrorisme avec le soutien des commandants des forces terrestres, aériennes, DAT(défense aérienne du territoire) et navales. Cependant la fonction de chef d'état-major a beaucoup perdu de son influence au profit de la fonction de ministre délégué à la défense détenue par A. Guenaïzia et du secrétaire général du ministère de la défense le général major Sanhadji. Guenaïzia exerce aussi son autorité vis-à-vis de la gendarmerie nationale.
Toutefois, le pouvoir de l'armée dans le pays forme également un binôme très complexe avec le pouvoir politique grâce à l'influence du DRS (services de renseignements) dirigé depuis 90 par les puissants généraux Toufik et Smain. Ce premier garantit l'unité nationale par sa puissance publique mais impose aussi des décisions sur la gestion du pays, en corollaire avec un gouvernement qui assume les autres tâches régaliennes dans les limites qui lui sont fixées: une structure héritée du contexte de l'indépendance, avec l'état-major de l'Armée de libération nationale qui œuvrait parallèlement avec le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Ce schéma n'a jamais été exempt de tensions à l'exemple de l'annulation des élections de décembre 1991 ou de la démission de M. Liamine Zeroual de sa fonction de président de la république. Aujourd'hui, ce schéma est dit persistant même si le président Bouteflika œuvre actuellement pour un renforcement du "pouvoir civil" au sein de l'État. Toutefois, cet exercice s'avère toujours délicat.
Marine
Les principales bases navales sont situées à Mers el Kébir près d'Oran et à Jijel à environ 300 km à l'est d'Alger.
Flotte (2001) Sous-marin Frégate Corvette Patrouilleur
[[Kilo (marine algérienne)|Kilo (2)]+ 2 Kilos en commande
] || Koni (3)|| Nanuchka ( 3 ) || Osa 2 (9) (( EL KEBIR 16 )) ((HAINAN 7))
Djebel Chinoise (3)
Cocarde des F.A.ALes principales bases aériennes se trouvent à Bousfer près d'Oran, à Boufarik près d'Alger et Laghouat. École supérieure de l'Air à Tafraoui (2°RM) et la bases aérienne d'hélicoptère a Setif.
74 Mikoyan-Gourevitch MiG-29S/UB Fulcrum
36 Mikoyan-Gourevitch MiG-29SMT-2/UBT Fulcrum (en commande)
28 Mikoyan-Gourevitch MiG-25PDS/PU/RB/RBSh
37 Sukhoï Su-24MK et BIS
4 Sukhoï Su-24 MR
28 Sukhoï Su-30MKA (en commande)
70 Mi-24V et Mi-24MKIII
150 30 Mi-8MT Mi-17, 38 Mi-171, 40 Mi-171SH, 42 Mi-17-1V/HIP
10 Mi-8T
30 Mi-2
5 KAMOV KA-32 et KA-27
25 AS-355N
54 L-39C/ZA
16 Yak-130 (en commande)
9 Lockheed C-130H Hercules
8 Lockheed C-130H30 Hercules
12 Illiouchine Il-76 Candid
6 Illiouchine Il-78 Midas
6 C-295
8 seekers UAV
6 Beech 1900D HISAR/MMSA
6 Beech 1900D
20 Zlin 142
20 SAFIR 143
Contracté le 10 mars 2006, lors de la visite de Vladimir Poutine à Alger, un accord a surpris, tant par son montant financier - 7,5 milliards de dollars- que par la liste des matériels militaires visés, qui représentent le meilleur de la technologie russe. Moscou doit fournir
34 avions de combat Mig-29 SMT/UBT
28 chasseurs Soukhoï-30, MK
16 avions d’entraînement Yak-130,
300 T-90 de blindés
08 systèmes de missiles sol-air S-300 Pmu-2
02 sous-marins kilo moteur diesel
et un nombre non précisé de matériels relevant de la « technologie navale et terrestre ». Dans la région du Maghreb, aucun autre pays ne possède une aviation susceptible de rivaliser avec des Mig-29 et des Soukhoï-30.
Armée de terre
Environ 107 000 militaires et 100 000 réservistes.;
Chars de combat: 320 T-72 AG et 300 T-90S et plus de 200 T-62 et 600 T-55 amv en réserve.
Autres blindés : un millier de BMP-1 et 2 et 3 BTR-60/80/ota 64,Fahd-200 .BCL M-5 blindé développé par la BCL ALGERIAN (ressemblance avec le Fahd égyptien)…
Artillerie lourde motorisée et systèmes de missiles défensifs : 2S1, 2S3, Smersh MLRS;
Système de défense anti-aérien : (120) ZSU 23-4 IGLA, S-300PMU2,(30) Tanguska SAM-19, SAM-6/8/7/ 9/13/14/16/18..tous modernisé…
Armement défensif électronique;
Forces d'intervention parachutistes: 17 BP, adaptée à la lutte antiterroriste et aux incursions en territoire ennemi dont le signe distinctif est le port du béret rouge, vert, et noir. Formés au combat rapproché à l'EATS (École d'application des troupes spéciales) de Biskra grâce à l'art martial du Kuksool d'origine coréenne.
Plusieurs missiles de moyenne portée de fabrications chinoise et russe.
4 sociétés de fabrication d'armes légère de toutes tailles fournissent entre autre des AK-47
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