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La pauvreté en Algérie

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    Invité a répondu
    attention c'elle qui se prend pour une algerienne alors qu'elle n'es pas

    ton pseudo ces (algerienne) alors que tu es marocaine

    toi qui se prend pour une algerienne je veux te dire que si tu a de la haine envers l'algerie sois franche dans tes origines au moin et arrete de nous prendre pour des c.....
    Dernière modification par SAM_15, 16 décembre 2006, 01h50.

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  • Nour islam
    a répondu
    Il existe quand meme une difference entre une famille qui est dite pauvre parce qu'elle n'a ni logement ni a mager et une autre famille dite pauvre parce que les enfants n'ont pas de quoi acheter des jouets.

    lis ce sujet qui fait partie de l'ensemble du rapport etablie par le gouvernement belge...


    juin 2005



    Plus de 15 % des Belges sont directement exposés au risque de pauvreté, selon les chiffres d'une enquête européenne. Pour le ministre de l'intégration sociale Christian Dupont, sans sécurité sociale, 44% des Belges se trouveraient en-deçà du seuil de pauvreté. Plus de 15 % des Belges sont directement exposés au risque de pauvreté, selon les chiffres d'une enquête européenne. Pour le ministre de l'intégration sociale Christian Dupont, sans sécurité sociale, 44% des Belges se trouveraient en-deçà du seuil de pauvreté.


    A l'échelle du globe, la pauvreté n'a ni couleur, ni frontière. Et pourtant, d'un continent à l'autre, elle revêt des visages bien différents. Quoi de commun en effet entre le paysan africain qui ne peut s'acheter une brouette et l'agriculteur du Vieux Continent, lourdement surendetté, qui n'arrive plus à joindre les deux bouts ? Leurs modes de vie n'ont certes rien à voir ; pourtant, tous deux sont des exclus, relégués en marge de leur société. De fait, on l'oublie trop souvent, nos contrées prospères ont aussi leur lot de laissés-pour-compte. C'est la raison pour laquelle Billy-globe a décidé de se pencher sur leur réalité en Belgique.

    Au-delà des chiffres

    Qu'est-ce que la pauvreté dans un pays comme le nôtre ? Pour délimiter la frontière entre pauvre et non pauvre, l'Union européenne, par exemple, raisonne en terme de revenus. On est considéré comme démuni lorsqu'on gagne moins de la moitié du revenu moyen du pays où l'on vit. Mais mesurer la pauvreté d'une population sur cet unique critère est loin de refléter parfaitement la réalité. Primo, un certain nombre de gens pauvres « n'entrent pas » dans ce type de définition; c'est le cas, par exemple, de ceux qui connaissent de lourds problèmes de surendettement, malgré un salaire correct. Deuzio, cette approche par le seuil de revenu masque une foule d'autres visages de la pauvreté : lutte pour les droits, problèmes scolaires, santé défaillante, souffrance, humiliation, stress continu, sentiment d'inutilité, etc. C'est aussi cela la pauvreté et pour l'approcher, il faut accorder de la place à une vision plus en nuance, plus qualitative que quantitative et multidimensionnelle.

    Parole aux pauvres

    En Belgique, la connaissance de la pauvreté a connu un tournant décisif avec le premier Rapport général sur la pauvreté de 1994. Pour la première fois ici, pour comprendre la réalité de l'exclusion, on privilégiait une approche fondée sur le dialogue entre des associations dans lesquelles des personnes pauvres s'expriment, des représentants des CPAS et des instances scientifiques, administratives et politiques. Un pas de géant vers une définition participative de la pauvreté, qui donne la parole à ceux qui la vivent chaque jour. Ainsi cette femme qui raconte : « A l'école, les enfants subissent les étiquettes. Ces étiquettes, ça les écrase pour demain. Et cela alors qu'ils sont innocents et qu'ils devraient avoir l'avenir devant eux » A l'issue de ces échanges, a émergé entre autres une vision nouvelle qui qualifie la pauvreté et la précarité d'existence, de violation des droits de l'homme. Depuis ce rapport, grâce au Service de lutte contre la pauvreté, la précarité et l'exclusion sociale , la conversation avec les démunis se poursuit, accouchant tous les deux ans d'un nouveau rapport. Parallèlement à cette mission, ce service pilote un projet novateur sur les indicateurs de pauvreté. Un groupe de travail planche depuis avril 2002 sur cette question, avec autour de la table des personnes pauvres, des chercheurs spécialistes de cette question, des représentants de l'administration. Leur objectif : approcher le plus finement possible, le plus proche surtout du vécu et de la perception des pauvres eux-même, la réalité de l'exclusion. Le projet sera clôt en décembre prochain, et publiera ses conclusions en janvier 2004

    Actuellement

    Plus de 15 % des Belges sont directement exposés au risque de pauvreté. Autrement dit, 15,2% de la population appartient à un ménage où le revenu disponible (après correction tenant compte de la taille du ménage, soit 9.270,67 euros par an) se situe en-dessous de 60% du revenu moyen national individuel.

    Ces chiffres plutôt alarmants émanent d'une enquête européenne, portant sur l'année 2003 et baptisée EU-SILC ("European Union Statistics on Income and Living Conditions"). Celle-ci vise à étudier le revenu et les conditions de vie des Européens.

    Selon la première mouture de cette enquête, effectuée par le Service public fédéral (SPF) Economie, PME, Classes moyennes et Energie auprès de quelque 6.000 ménages privés du pays, un ménage unipersonnel gagne en moyenne 1.422,81 euros par mois et 17.073,67 euros par an.

    Le seuil du risque de pauvreté est donc atteint, pour un ménage d'une personne, à partir de revenus ne dépassant pas 772,56 euros par mois et 9.270,67 euros par an.

    Pas moins de 15,2% des Belges sont directement exposés au risque de pauvreté. Ce risque menace plus directement encore les chômeurs (32%), les parents seuls (31,2%), les locataires (24,6%) et les plus de 65 ans (22,6%).

    A l'inverse, avoir un emploi est une garantie plus sûre contre la pauvreté: le risque y est limité à 6,4%. De même, les propriétaires sont eux aussi mieux protégés (12,4%), tandis que les hommes sont moins exposés que les femmes au risque de pauvreté: 14,2% contre 16,2%.

    Par ailleurs, on notera que les 20% de la population au revenu le plus élevé ont un revenu 4,3 fois supérieur à celui des 20% au revenu le plus faible.

    L'enquête étudie également trois indicateurs non monétaires: le confort de base du logement (présence ou non d'une baignoire ou d'une douche, d'un cabinet de toilette avec chasse d'eau à l'intérieur du logement, du chauffage central et de l'eau courante chaude), la possession de biens de consommation courante (voiture, téléviseur couleur, téléphone et ordinateur) et l'appréciation subjective des ménages sur leur situation financière.

    Selon l'enquête du SPF Economie, 79,9% des ménages détiennent dans leur logement tout le confort de base. De même, 87,4% de ceux-ci disposent d'au moins trois des quatre biens de consommation cités. Enfin, 61,9% des ménages estiment ne pas avoir de difficultés à boucler leur budget.

    L'enquête EU-SILC, qui succède à l'Etude Panel des Ménages belges (PSBH) effectuée durant une dizaine d'années par les universités d'Anvers et de Liège, également dans un cadre européen, "s'inscrit dans le cadre de la lutte pour l'inclusion sociale et économique et des efforts en vue d'établir des indicateurs structurels capables d'appréhender la cohésion sociale", précise encore le SPF Economie.

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    Invité a répondu
    la mondialisation a amplifier le taux de misere dans le monde entier

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    Invité a répondu
    rapport etablie par le gouvernement belge a estimé que 13% de la population sont des PAUVRES,

    Reponse:
    Il existe quand meme une difference entre une famille qui est dite pauvre parce qu'elle n'a ni logement ni a mager et une autre famille dite pauvre parce que les enfants n'ont pas de quoi acheter des jouets.

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  • Nour islam
    a répondu
    S alam Alaikoum,
    en faite j'ai pas lu toute vos intervention pour repondre a quelque uns parmi vous qui dicrivent l'Algerie comme un fardeau de misere,ou ils oublient que notre Cher pays a passé par des moments tres defficiles, la ou notre societe ainsi que notre economie a été gravemenyt touchéés par cette decennie noir.
    je vis dans un pays riche comme la Belgique, et je peux vous dire que d'apres un
    rapport etablie par le gouvernement belge a estimé que 13% de la population sont des PAUVRES, un pays qui compte seuleument que 9 millions d'habitants, Autrement dit, 1.300.000 personnes parviennent difficilement à nouer les deux bouts. 1.300.000 de personnes qui courent le risque de ne pas pouvoir payer leur loyer, la facture du médecin ou les livres scolaires des enfants.
    j'espere que mon temoignage servira a rafaichir certaines memoires qui oublient tres vite ce qu'il est passer a notre beau et Cher pays l'ALGERIE.

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    Invité a répondu
    SAM_15 tu as un +1 de ma part

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    Invité a répondu
    algerienne

    si tu vis en france j'aimerais bien que tu me dise combien existe de SDF et de chômeurs en France alors que la france est classer la 5 puissance économique dans le monde ,arrête franchement tu est trop radicale avec ton idée sur l'algerie (le chômage est un fléau mondial est pas que en algerie pour te dire que ces pas vrais tien je te propose le site d'emploi en algerie
    et puis regarde le nombre d'offre d'emploi sur ce site en algerie. desolé je vais l'ecrire de cette facon car il sor pas je ne sais pourquoi tu fait les 3w.emploitic en suite poin com
    en plus depuis quand les algeriens crève de faim franchement tu me fait rire avec tes propos , tu sais bien que en Europe et comme beaucoup de pays des femmes qui se prostitue pour pouvoir manger . sont oublier les pays du continent Africain en général ces encore beaucoup plus pire
    et coté logement l'algerie a adopté un programme de un million de logement d'ici 2009
    par preuve aussi que je connais beaucoup d'algeriens (cas sociaux) qui ont profiter de ce programme
    je tiens a te dire que si tu compare l'algerie a la france on est trop loin car la france elle a toujours été indépendante et de puis la nuit des temps pas comme ton pays qu'il a connue en 1962
    je comprend ton acharnement de voir ton pays en plein progrès économique et social mais il ne faut pas se voilé la face aussi du passé de ton pays et tout sont histoire et ces conquêtes qui on durée 3 siècles de colonialisme de tout race .
    sache bien que maintenant l'algerie na pas besoin d'argent surtout mais d'un savoir faire.
    Dernière modification par SAM_15, 15 décembre 2006, 15h48.

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    Invité a répondu
    @Algerian_78

    on dit pas que sans marrifa tu travail pas .... si si tu peut en avoir de la chance pour chopé un travail ( même un bon poste si tes qualifié )


    Mais le probleme qui ce pose C'est pas ca!!

    la diffirence entre avoir marifa et ne pas l'avoir je vais l'expliqué !

    le 1ere qui a marifa ..... c'est comme quelqun qui a une BMW
    l'autre a pas marifa ..... C'est comme si il a une bicyclette

    Bon pour trouvé du travail ... faudra parcourir une distence de 500Km


    qui va arrivé le premier ?


    Je continue avec mon imagination réel .... donc celui avec la BMW arrive le 1ere biensur( sans doute ) ... mais le probleme celui la il sera dans son post il aura un travail tranquilement même s'il pas qualifié ( on s'en fiche puisque il a La BMW )

    parcontre l'autre celui de la bicyclette il dois parcourir chaque fois des centains de kilometre et il aura chaque fois de la defficulté pour les faire
    Pourquoi .?
    ( c'est un zawali peut etre il même pas assez d'argent pour acheter des vetement classique pour un entretien de travail car son but est de retrouvé un travail pour qu'il puisse s'offrir des truc )

    a la fin il trouve toujours des gens qui on des BMW qui arrivent avant lui !

    il se dit ((ca se repete a chaque fois alors c'est pas une coincidence ! ))

    il commance a en avoir marre


    Il craque


    ca c'est une vireté ... on vie en algerie on est les mieu placé pour decrire cela ... en + on est des licencié


    je balance des mots codés j'espere que vous pouvez les comprendre

    c'est la raison qui donne envie de quité le pays .... parceque ceux qui l'on fait savent trés bien qu'il ya pas espoir en algerie , ni une bonne avenir .... ni rien ... juste la survie defficile

    vous pouvez regarder ya pliens d'algeriens ( algeriennes ) en : france, italie, espagne, allemagne , canada , angleterre ..........



    Ps : Please forgive me for my wicked ways!
    Dernière modification par Makaveli2034, 15 décembre 2006, 11h13.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    algerian 78 je ne vis peut etre pas en ce moment en algerie mais je l'ai quitter y a 3ans!!!!!!!! et moi aussi g des freres ingenieurs !!!!
    avec un bac+5 ds ma regions on ne trouve du boulot que ds des cyber café des tabla de doukhane !!!
    et bien evidement je connais aussi des expetion des amis des cousins qui sont devenu policiers , enseignants, medecin , informaticien ,g meme une amie qui a ete diplomé en juin et qui a trouvé un boulot en septembre etc etc etc mais voila c t a alger (encore heureux qu'elle ait une tante qui a pu l'acceuillir sinon elle aurait ete obligé de rester ds notre ville puisque de tte facon un fille en algerie ne pe ni louer un studio ni vivre seule!!!!!!)
    et heureusement qu'ils existent!!!!! mais moi je te parle de la majorité des algeriens !!!
    alors bien evidement je ne demande pas a ce que tt l'argent du petrole me revienne (koi ke lol) mais l'algerie est un pays immense ou il y a ennormement de chose a faire je trouve ca ridicule de developper une ou deux ville!!!!!!!!
    que fait on des autres?????
    tu dis que l'algerien devrait travailler saha !!! mais ds koi???? franchement un ingenieur ne peut etre vendeur ds un souk ou travailler ds un cyber café ou flashé les carte de tps!!!!!!!!!!!!! alors tu vois je parle meme des jeunes qui n'ont pas de diplome ceux la tzageutte aalihoum

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    bonsoir,

    peut etre que tu dis vrais chikita, mais laisse moi te dire que tu exagère un peu. mes deux frères travaillent apres avoir finis leurs etudes et ils n'ont ni maarfi ni sidi zakri, tout mes amis qui ont etudier avec moi en algerie travaillent (TOUS) et ont de bon poste, ils n'ont pas tous almaarifa ... arrêtons de peindre tout en noir, tu ne vis pas en algérie, la situation du pays s'améliore et s'améliore beaucoup, reste beaucoup de chose à faire mais le changement n'arrive pas dans une seule nuit, il faut donner du temps au gouvernement et aussi l'appuyer dans sa démarche. Je n'entend que des phrases comme, on a 100 milliards de dollars mais on est pauvre !!! vous voulez quoi? que le gouvernement divise 100 milliards par 30 millions de citoyen wa nafrgou alaarss? soyant serieux, le citoyen algerien devrait travailler et oublier que l'etat lui doit de l'argent ...

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  • cyberch
    a répondu
    Il ne s'agit pas de se voiler la face mais non plus "jeté le bébé avec l'eau". Des problèmes exigent en Algérie comme dans la totalité des pays africains et sud-américains.

    Or, nous sommes pas une majorité d'Algérien-ne.s à vivre à l'étranger, de sorte que nous devons être solidaires avec nos compatriotes vivants dans le pays et qui plus est, à l'étranger, tout ressortissant(e) algérien (ne) est ambassadeur de cette nation (dixit Bouteflika).

    Bien à toi

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    je defendrais tjrs mon pays coute que coute aussi
    mais llah ghaleb la situation actuel m'a obligé a quitter mon pays je serais bien rester chez mes parents avec mes amis la famille!!!!! pouquoi partir a l'etranger ? parceque rien n'est fait pour nous tt simplement!

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  • cyberch
    a répondu
    Coûte que coûte, nous défendrons notre pays et plus particulièrement son peuple...peuple le plus rebelle au monde!

    Il y a-t-il des détracteurs, si oui..allons-y va!

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    cyberch c facile de ne ire que du bien de l'algerie quand on en est loin ou quand on y est au bon endroit!!!!!!!!!!

    comme l'ont dis les autres d tours a alger ca ne sert pas au peuple!!! que boutef se soigne a l'etranger qu'il ramene des mercedes qu'il y est des discotheques des hotels grand luxe ne servent a rien au petit peuple!!!!!!!!!
    ca ne creer pas d'emploi car seul les pistoné y travaillent ca ne nourit personne ca n'eduque personne !!! bref c inutile

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  • cyberch
    a répondu
    Il ne faudrait pas oublier que l'Algérie sort de 12 ans de guerre civile. Or, déjà elle occupe le second rang économique de l'Afrique derrière l'Afrique du Sud. Ce n'est un mince exploit et aucune autre nation africaine ne pourrait se targuer d'un avenir si prometteur.

    _________________________________


    «Peu de pays au monde peuvent afficher de telles perspectives»

    «L'Hexagone est devenu le premier client de l'Algérie, confirme, la mine réjouie, François Loos, ministre délégué au Commerce extérieur. Mieux encore, en 2003, les importations françaises se sont montées à plus de 3 milliards d'euros, soit une progression de 13% par rapport à 2002!» Autre exemple de cette embellie bilatérale: le succès de l'édition 2004 de la Foire internationale d'Alger. Très longtemps désertée par les entreprises françaises, elle a rassemblé cette année pas moins de 350 d'entre elles, trois fois plus qu'en 1999.

    «Cela fait vingt ans que je fais des affaires en Algérie et je n'ai jamais autant vu d'investisseurs étrangers ici, lance en écho Pierre Legay, patron de BS Coating, l'un des leaders français de la protection des gazoducs et des oléoducs. Américains, Chinois, Français... depuis deux ans, les investisseurs de toute nationalité débarquent en rangs serrés. Elle est bien loin, l'époque où j'étais le seul Européen dans l'avion, calfeutré dans mon hôtel ou à faire la queue devant les ministères et les administrations du pays...» Car les entreprises françaises ont bien compris les atouts du pays. Au premier rang desquels une croissance annuelle de 6,8% en 2003 - du jamais-vu en quinze ans. S'y ajoutent pêle-mêle une aisance financière inédite pour cause de flambée des prix du pétrole; une population de 30 millions d'habitants, dont plus de 60% a moins de 30 ans; une proximité géographique avec l'Europe (Alger est à deux heures d'avion de Paris et à une heure de Marseille); une volonté politique d'attirer les investisseurs et surtout la fin d'une guerre civile qui a ravagé l'économie algérienne durant plus d'une décennie. «Nous avons décidé de nous installer en Algérie progressivement en rachetant notre distributeur local en 2002, raconte Eric de Poncins, responsable de la stratégie du groupe Bel. Mais, face au succès que rencontrent nos produits, nous avons accéléré notre phase de développement en construisant une usine à Blida, à une quarantaine de kilomètres d'Alger. A présent, nos investissements se montent à 12 millions d'euros. Et ce n'est qu'un début!»


    http://www.lexpress.fr/info/monde/do...asp?ida=430625

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