Cette rentrée sera marquée par la vulgarisation de l’enseignement de la langue amazighe, qui passera de 11 à 20 wilayas, a déclaré Mme Benghebrit.
«L’élargissement de l’éducation préscolaire est à même de consacrer le concept d’équité sur lequel mise le ministère, en ce sens que l’élève qui bénéficie de cette éducation a plus de chance de réussir au primaire», a précisé la ministre.
Élargissement du préscolaire
«L’élargissement de l’éducation préscolaire est à même de résoudre le problème des inscriptions dérogatoires, l’enfant à l’âge de 5 ans étant enclin à apprendre en jouant et son inscription en première année du primaire ne constitue pas une solution pédagogique», a fait savoir la ministre. Dans ce contexte, Mme Benghebrit a souligné que «l’élargissement de l’éducation préscolaire est une mission qui incombe à tous les secteurs, en tête desquels les ministères de l’Intérieur, de la Solidarité et des Affaires religieuses ainsi que les grandes entreprises économiques».
Enfants aux besoins spécifiques : ouverture de nouvelles classes
Par ailleurs, en vue de garantir la scolarisation des enfants aux besoins spécifiques, le ministère de l’Education envisage d’augmenter, en collaboration avec le ministère de la Solidarité nationale, le nombre de classes spéciales pour les enfants aux besoins spécifiques, en particulier les autistes et les malentendants. Mme Benghebrit a souligné que 142 établissements scolaires dans 22 wilayas du pays avaient ouvert des classes au profit de cette catégorie et que le nombre d’enfants scolarisés atteints d’autisme était de 1236. Le ministère vise, à travers l’ouverture de ces classes spéciales au sein des établissements scolaires, «l’intégration de cette catégorie avec les enfants normaux pour favoriser leur réussite».
Pas de réforme du Bac dans l’immédiat
Sur un autre volet, la ministre a déclaré dans un entretien à l’APS qu’aucun changement ne sera opéré dans le système du baccalauréat sans l’aval du gouvernement.
Le ministère de l’Education s’attelait à réunir les propositions issues de cette conférence en vue de les soumettre au gouvernement avant la fin septembre. Les participants à la conférence avaient préconisé une réduction du volume horaire des épreuves du baccalauréat et l’organisation de deux sessions du bac, la première devant sanctionner la deuxième année secondaire et la seconde au terme de la troisième année secondaire. Pour Mme Benghebrit, l’introduction d’une première session en deuxième année secondaire requiert une autre proposition consistant en la fiche d’évaluation continue pour garantir l’assiduité des élèves.
Nadir Iddir
el watan
«L’élargissement de l’éducation préscolaire est à même de consacrer le concept d’équité sur lequel mise le ministère, en ce sens que l’élève qui bénéficie de cette éducation a plus de chance de réussir au primaire», a précisé la ministre.
Élargissement du préscolaire
«L’élargissement de l’éducation préscolaire est à même de résoudre le problème des inscriptions dérogatoires, l’enfant à l’âge de 5 ans étant enclin à apprendre en jouant et son inscription en première année du primaire ne constitue pas une solution pédagogique», a fait savoir la ministre. Dans ce contexte, Mme Benghebrit a souligné que «l’élargissement de l’éducation préscolaire est une mission qui incombe à tous les secteurs, en tête desquels les ministères de l’Intérieur, de la Solidarité et des Affaires religieuses ainsi que les grandes entreprises économiques».
Enfants aux besoins spécifiques : ouverture de nouvelles classes
Par ailleurs, en vue de garantir la scolarisation des enfants aux besoins spécifiques, le ministère de l’Education envisage d’augmenter, en collaboration avec le ministère de la Solidarité nationale, le nombre de classes spéciales pour les enfants aux besoins spécifiques, en particulier les autistes et les malentendants. Mme Benghebrit a souligné que 142 établissements scolaires dans 22 wilayas du pays avaient ouvert des classes au profit de cette catégorie et que le nombre d’enfants scolarisés atteints d’autisme était de 1236. Le ministère vise, à travers l’ouverture de ces classes spéciales au sein des établissements scolaires, «l’intégration de cette catégorie avec les enfants normaux pour favoriser leur réussite».
Pas de réforme du Bac dans l’immédiat
Sur un autre volet, la ministre a déclaré dans un entretien à l’APS qu’aucun changement ne sera opéré dans le système du baccalauréat sans l’aval du gouvernement.
Le ministère de l’Education s’attelait à réunir les propositions issues de cette conférence en vue de les soumettre au gouvernement avant la fin septembre. Les participants à la conférence avaient préconisé une réduction du volume horaire des épreuves du baccalauréat et l’organisation de deux sessions du bac, la première devant sanctionner la deuxième année secondaire et la seconde au terme de la troisième année secondaire. Pour Mme Benghebrit, l’introduction d’une première session en deuxième année secondaire requiert une autre proposition consistant en la fiche d’évaluation continue pour garantir l’assiduité des élèves.
Nadir Iddir
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