Les deux courriers datent l’un du 2 décembre 2014 (accusé de réception daté du 21 décembre 2014) et l’autre du 17 février 2015, à titre de rappel. “Quand on a l’intention de frauder, on n’a surtout pas à l’écrire !”, a ironisé M. Rebrab. “Je n’ai obtenu aucune réponse, ni au premier ni au second courrier”,
“C’est pour cela que j’ai tenu à dénoncer ce décalage entre le discours du gouvernement et ses actes”, a-t-il ajouté. Mais, au-delà de ces préjudices financiers causés à l’investisseur et, par-delà, à l’économie nationale, c’est cette accusation sous-entendue de tentative de transfert illégal de devises qui peine le plus le patron de Cevital. “Si c’était le cas, pourquoi le ministre n’a-t-il pas engagé une procédure devant les tribunaux ?”, s’est-il interrogé
Cevital restait un “patrimoine national” qui, propriété des Algériens, n’est pas à vendre.
Commentaire