Le général Abdelkader Ouarabi dit «Hassan» a été condamné à 5 ans de prison par le tribunal militaire d’Oran à l’issue du procès ouvert ce jeudi 26 novembre. La défense a décidé de faire appel de ce jugement.
L’ex-patron du contre-espionnage algérien, le général «Hassan», a été reconnu coupable d’au moins deux chefs d’accusation, à savoir «non-respect des consignes militaires» et «destruction de documents militaires».
Le haut galonné, figure du contre-terrorisme algérien, a écopé de 5 ans de prison, dévoile le site d’information en continu,"Algérie 1"
.
Les tracasseries de celui qui était considéré comme le numéro 2 du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), après Mohamed Lamine Mediène, «débarqué» dernièrement par le président Bouteflika, ont commencé en 2012 quand des individus armés arrêtés à un barrage de contrôle au sud du pays avaient avoué être armés par le général «Hassan».
Une accusation qui a été rejetée par la Défense qui a dénoncé un «procès politique», s’inscrivant dans le cadre d’un plan orchestré par le clan présidentiel pour se débarrasser des encombrants lieutenants de l’ex-patron du DRS et, de ce fait, «s’assurer» une succession sans encombre à l’actuel locataire du palais El Mouradia.
Le 360 -Ziad Alami-
L’ex-patron du contre-espionnage algérien, le général «Hassan», a été reconnu coupable d’au moins deux chefs d’accusation, à savoir «non-respect des consignes militaires» et «destruction de documents militaires».
Le haut galonné, figure du contre-terrorisme algérien, a écopé de 5 ans de prison, dévoile le site d’information en continu,"Algérie 1"
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Les tracasseries de celui qui était considéré comme le numéro 2 du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), après Mohamed Lamine Mediène, «débarqué» dernièrement par le président Bouteflika, ont commencé en 2012 quand des individus armés arrêtés à un barrage de contrôle au sud du pays avaient avoué être armés par le général «Hassan».
Une accusation qui a été rejetée par la Défense qui a dénoncé un «procès politique», s’inscrivant dans le cadre d’un plan orchestré par le clan présidentiel pour se débarrasser des encombrants lieutenants de l’ex-patron du DRS et, de ce fait, «s’assurer» une succession sans encombre à l’actuel locataire du palais El Mouradia.
Le 360 -Ziad Alami-
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