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Hommage à Said Mekbel

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  • Hommage à Said Mekbel

    Le 3 décembre 1994 tombait sous les balles des barbares,, le journaliste Said Mekbal dit "mesmar djeha"

    une priére pour lui et, une pensée pour sa famille .

    Aucun journal algérien n'a relevé cette date anniversaire .

    Allah yarham echouhadda .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Que Dieu l'enveloppe de sa sainte miséricorde et l'accueille dans son vaste paradis

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    • #3
      Allah ire7mou

      Je m'en souviens comme si c'était hier...

      Comme je me souviens du visage angélique et de la voix rassurante de Smail YEFSAH quand il disait à la fin de son JT, "Atamanna lakoum laylatan hadi'a"

      Et tant de visages, d'hommes, de femmes, jeunes et moins jeunes, fauchés par la barbarie...

      Qu'ils reposent tous en paix, allah yer7emhoum, jamais nous ne les oublierons
      Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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      • #4
        Le meilleur hommage qu'on puisse rendre à feu Saïd Mekbel est de lire les révélations qu'il a faites, avant sa mort, à la journaliste allemande Monika Bergmann, où il accuse nommément le général Toufik d'être à l'origine de ce qu'il appelle le "terrorisme pédagogique", qui a vu disparaître nombre de nos intellectuels et hommes politiques.

        Le témoignage, conservé sous la forme d'un enregistrement audio, a été publié sous la forme d'un livre portant le titre Une mort à la lettre, [Ed. Téraèdre/Dar al-Jadeed, Paris/Beyrouth]. En cherchant bien, on peut toujours trouver une version PDF sur le net.
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #5
          Enfin un journal qui parle de Said Mekbel .

          Il n'est jamais trop tard pour bien faire ;



          HOMMAGE À SAÏD MEKBEL

          Marche et sit-in nocturnes des étudiants à Béjaïa

          Les étudiants des facultés de Béjaïa n’ont pas omis de commémorer la disparition, il y a 21 ans, du journaliste et chroniqueur Saïd Mekbel, alias El-Ghoul et Mesmar Djeha.

          L’action a été décidée par un collectif d’étudiants, qui militent dans des associations et autres comités de cité. L’important pour eux étant de se rappeler le combat de cet homme juste, assassiné par une horde de sauvages, car il était journaliste. Il avait le tort d’exercer un métier noble, que ceux qui ont la mémoire courte tentent de clochardiser.

          Aussi, par respect à cette profession, qui a payé un lourd tribut, les étudiants de Béjaïa ont initié cette action, qui a véritablement un double objectif. Un, rendre hommage à celui qui a donné au journalisme algérien ses lettres de noblesse ; il a été le digne héritier de la presse nationaliste et indépendantiste durant le mouvement national et la lutte de Libération nationale, mais aussi d’Alger Républicain, qui a formé des générations de journalistes. Sur les réseaux sociaux où il est particulièrement actif, Nazim Mekbel, le fils du journaliste assassiné, écrira : “Cette nuit du 3 décembre 2015 : Veillée d’étudiants à la place Saïd-Mekbel de Béjaïa en hommage à Mesmar Djeha, assassiné il y a 21 ans par l'islamisme alors conquérant.”

          Deux, la marche suivie d’un sit-in à la Place de la liberté d’expression Saïd-Mekbel se voulait aussi un message clair à ceux qui espèrent interdire aux étudiants d’aujourd’hui et de demain de militer et de faire de la politique à l’université, censée être le temple du débat contradictoire. Le vice-président de la Ligue algérienne de la défense des droits de l’Homme, Saïd Salhi, réagira, lui, pour dire : “L’université ne peut être en dehors de la politique, bien au contraire. Elle a toujours été à l’avant-garde des luttes politiques. Plus encore, l’une de ses missions est d’éclairer la société.”


          M. O

          Liberté
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #6
            Qu'il repose en paix.

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            • #7
              Allah yerham Saïd Makbel. Ses billets dans le journal le matin de l'époque étaient un rayon de soleil alors que tous les jours il y avait des 100aines de morts, bcp de peur, Mesmar Djeha nous faisait prendre conscience et nous faisait sourire/rire aussi.... étudiants, nous nous sentions concernés par les affaires de notre pays.

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