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Saisie record de plus de 7 tonnes de kif traité à Touggourt

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  • #61
    État-voyou selon les critères évoqués.

    Jawzia
    Lesquels ? Les tiens !!

    Donne nous des EXEMPLES où l'ODUNC (Office des Nations Unis contre la drogue et le crime)considère le Maroc comme un État-voyou.

    Un "état-voyou" ne mobilise pas 1,2 milliards de dirhams pour réduire de 65% la surface des cultures conformément aux normes édictées par l’ONUDC et ce malgré la forte demande extérieure qui a explosé suite à la dépénalisation du cannabis par de nombreux pays et à cause d'un pays mafieux voisin qui ne contrôle pas ses frontières quant il n'est pas derrière ce trafic.....

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    • #62
      @SERPICO

      L OR VERT ( dixit Serpico )

      Pourquoi l or vert ???
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #63
        Le Rif marocain et la culture du KIF ..

        Le Rif marocain et la culture du KIF ..

        @ Serpico

        L état voyou : les habitants du Rif traité de « racaille » (awbach dixit le Roi HII )

        ça se confirme que le Makhzen protege la culture du KIF dans la region " De la racaille , dixit le Roi HII )


        Dans la petite localité de Senada .

        tous les habitants cultivent le kif, seul moyen de subsistance dans une région marquée par la pauvreté et le racket. Saïd est l’un d’eux.

        L’introduction du kif à Senada date de 1985, après une rude période de sécheresse. « La localité s’était vidée de ses habitants.

        La majorité a émigré, seuls quelques-uns sont restés pour surveiller les propriétés en cas de retour à Senada des propriétaires.

        A ce moment, un des notables de la région avait donné son feu vert aux paysans pour introduire la culture du kif », rapporte Mohamed Bounab, entre deux gorgées de thé.

        A cette époque, le Rif sort d’une période de tension, les émeutes du Rif ont eu lieu un an auparavant, la rupture entre la région et Hassan II est consommée.

        Le père de Mohammed VI avait, dans un discours adressé à la nation, traité les habitants du Rif de « racaille » (awbach dans le texte), vivant « du vol et de la contrebande ».

        C’est ce qui explique, selon Mohamed Bounab, que « la culture de cannabis ait alors été encouragée par l’État pour éviter à la région de nouveaux soulèvements ».

        Par TelQuel.ma
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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