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Hocine Aït Ahmed (dont le fils Jurgurtha (jurnaliste peu brillant) fut une connaissance) a eu appartenu au trio cairois (du Caire) que nommaient Krim Belkacem "de révolutionnaires de palaces".
Hocine Aït-Ahmed a combattu farouchement durant un demi siècle le pouvoir des militaires en Algérie, après avoir été l'un des pères de l'indépendance. Né le le 20 août 1926 à Aïn El-Hammam, en Kabylie, une région montagneuse à l'est d'Alger, il était le dernier survivant des neuf «fils de la Toussaint» qui ont déclenché la guerre d'indépendance contre la France, le 1er novembre 1954.
Descendant d'une famille maraboutique, ce militant indépendantiste adhère à 17 ans au Parti du peuple algérien (PPA) du charismatique Messali Hadj et prône dès 1948 la nécessité de la lutte armée contre les troupes françaises.
Il est désigné pour diriger l'Organisation spéciale (OS), paramilitaire et clandestine dont l'ossature donnera par la suite naissance à l'Armée de libération nationale (ALN) en 1954. Il en est écarté en 1949 sous l'accusation de «berbérisme» et est remplacé par Ahmed Ben Bella. En 1950, l'OS est démantelée par la police française.
Il rejoint le FLN
Condamné par contumace, il gagne Le Caire en 1951. Il rejoint ensuite le Front de libération nationale (FLN) et participe au déclenchement de la guerre d'indépendance le 1er novembre 1954. Le 22 octobre 1956, il est arrêté à Alger dans l'avion arraisonné par les Français alors qu'il se rendait au Maroc en compagnie d'Ahmed Ben Bella, Mohamed Boudiaf, Mohamed Khider et Mustapha Lacheraf.
Libéré en 1962 après le cessez-le-feu, Aït-Ahmed est élu député de la première Assemblée nationale, mais il s'oppose à Ben Bella, devenu président, et crée en 1963 le Front des forces socialistes (FFS) et des maquis armés en Kabylie. Après l'indépendance, il ne cessera alors de s'opposer au pouvoir qui a été confisqué par les militaires.
Condamné à mort puis gracié
Arrêté en 1964, il est condamné à mort puis gracié. Il s'évade en avril 1966. Il s'installe alors à Lausanne, d'où il rentrera à Alger en décembre 1989, après 23 ans d'exil, suite à la reconnaissance du FFS par les autorités.
Après l'annulation par le pouvoir des élections législatives de 1991 après le premier tour, craignant une victoire du Front islamique du salut (FIS), Aït-Ahmed dénonce un «coup d'Etat» et demande la poursuite du processus électoral. Une position qui lui vaudra des accusations de «pro-islamiste».
En juillet 1992, il repart de nouveau en exil, quelques semaines après l'assassinat d'un autre «fils de la Toussaint»: le président Mohamed Boudiaf, autre opposant radical qui avait répondu à l'appel des militaires pour rentrer de son exil au Maroc. Il a avait alors pris la direction d'une présidence collégiale chargée de mener à son terme le mandat du président Chadli Bendjedid forcé à la démission.
Aït-Ahmed signe en janvier 1995 l'accord de Sant'Egidio, à Rome, avec des partis algériens dont le FIS (dissous), demandant au pouvoir d'ouvrir des négociations pour mettre fin à la guerre civile qui fera 200'000 morts.
Candidat à la présidentielle
Candidat à l'élection présidentielle en avril 1999 sous les couleurs du FFS, il se retire avec cinq autres candidats pour dénoncer une fraude annoncée, selon eux, en faveur de Abdelaziz Bouteflika, élu chef de l'Etat.
En mai 2013, il démissionne de la présidence de son parti à Alger, passant le flambeau à une direction collégiale de cinq membres.
Le FFS, éloigné des urnes durant une dizaine d'années, est revenu dans l'arène politique à l'occasion des élections législatives de mai 2012, en remportant 27 sièges sur 462. Et il a opté pour le «ni boycott, ni soutien» du scrutin d'avril 2014 que Abdelaziz Bouteflika, --77 ans, 15 ans de pouvoir--, devait remporter pour la 4e fois.
Svelte, élégant, habillé sobrement mais avec recherche, le nez aquilin et les cheveux poivre et sel, Aït Ahmed cultivait l'image d'un homme calme, posé et de grande culture.
Docteur en droit, il a publié plusieurs ouvrages: «Les Droits de l'Homme en Afrique», les «Mémoires d'un combattant» (1983) et «l'affaire Mécili» (1989), du nom de son collaborateur assassiné en 1987 à Paris.
Il faut se rappeler que lors du Congrès de la Soumamm, il fut décidé l'emprise de "l'intérieur" (le duo Abane-Belkacem (Krim) contre l'extérieur du trio (Ahmed Ben Bella, Mohamed Krim, Hocine Aït-Ahmed) qui se pavanaient dans de palaces cairois en "révolutionnaires bourgeois" (dixit Krim Belkacem)
Bien sûr allah irahmou, c'est ce qu'on dit dans ces circonstances dites tragiques ! mais il ne faut pas oublier sa couardise et tous ses méfaits, toujours de loin ....... du bord du lac Léman où il pût vivre grâce au vol, notamment du trésor du FLN ,!!!
DDa lho, am kecc am medden a ddin uqavac ha !!
Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
Ina lillahi wa inaileyhi radji'oun, Allah yerahmou wa yeghferlou
mais il ne faut pas oublier sa couardise et tous ses méfaits, toujours de loin ....... du bord du lac Léman où il pût vivre grâce au vol, notamment du trésor du FLN ,!!!
DDa lho, am kecc am medden a ddin uqavac ha !!
T'aurai pu attendre....la dernière pelleté.....le recouvrant...
Pas du tout....c'est juste une question de....civisme...après son enterrement tu peux....ouvrir un topic....et étaler tes.....preuves si t'en as....sinon mieux vaut ....s'abstenir...
Tous les patriotes Algeriens se souviendront qu'Ait Ahmed a été le grand apôtre du "qui tue qui"en Algerie durant toute la decenie noire. Toujours à blanchir les terroristes de leurs crimes et à les imputer aux forces de securité Algeriennes. Personnellement je n'oublierai jamais cela et je ne lui pardonnerai surtout pas.
"L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand
Tous les patriotes Algeriens se souviendront qu'Ait Ahmed a été le grand apôtre du "qui tue qui"en Algerie durant toute la decenie noire. Toujours à blanchir les terroristes de leurs crimes et à les imputer aux forces de securité Algeriennes. Personnellement je n'oublierai jamais cela et je ne lui pardonnerai surtout pas.
il devait avoir des informations dont vous ne disposiez pas ....d'ailleurs quand vous voyez madani mezrag se balader a alger et tous les opposants democrates a l'etranger comme ait hamed ou hors jeu comme said saidi - et la moitié des electeurs democrates algeriens en exil - vous pouvez assez facilement faire des deductions sur le sujet.
vous pouvez aussi trouver des reponses en visionant d'etranges rencontres entre les chefs terros et certains elements du drs sur youtube et d'autres temoignages troublants d'elements ayant quitté les services du drs .
vous n'avez pas acces aux archives et il n'y a pas eu d'enquete donc vous ne pouvez pas juger juste supposer.
Tous les patriotes Algeriens se souviendront qu'Ait Ahmed a été le grand apôtre du "qui tue qui"en Algerie durant toute la decenie noire. Toujours à blanchir les terroristes de leurs crimes et à les imputer aux forces de securité Algeriennes. Personnellement je n'oublierai jamais cela et je ne lui pardonnerai surtout pas.
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Que tu sois au grade de General de l’armée ou un Juge, je dois te rappeler qu'il n’est plus de ton ressort de juger pour pardonner ou condamner, selon ton humeur ici-bas ! Quoi que tu dises, l’Histoire honnête est intransigeante, et la Justice Divine au jour dernier est incorruptible. " اللَّهُمَّ اغْفِرْ لحَيِّنَا وَمَيِّتِنَا وَشَاهِدِنَا وَغَائِبِنَا وَصَغِيرِنَا وَكَبِيرِنَا وَذَكَرِنَا وَأُنْثَانَا " . وَحَدَّثَ بِهَؤُلاءِ الكَلِمَاتِ وَزَادَ مَعَهُنَّ : " اللَّهُمَّ مَنْ أَحْيَيْتَهُ مِنَّا ، فَأَحْيِهِ عَلَى الإِسْلامِ ، وَمَنْ تَوَفَّيْتَهُ مِنَّا فَتَوَفَّهُ عَلَى الإِيمَانِ "
"نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA
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