Bonsoir
El Khabar
Abdellah Tamine, responsable de l’information au ministère des Affaires Religieuses, a révélé que trois hadjis (Musulman effectuant le pèlerinage aux lieux saints de l’Islam) algériens sont morts à cause de leur âge et de leur état de santé. Il a indiqué que les familles évitent de faire part de l’état de santé des hadjis craignant que les autorités les empêchent d’effectuer le pèlerinage.
Il a déclaré à El Khabar hier que deux d’entre eux se trouvaient à la Mecque et le troisième à Médine, affirmant qu’ils étaient tous âgés de plus de 80 ans et souffraient de diabète et d’insuffisance rénale, l’un d’entre eux est décédé des suites d’une attaque cardiaque. Il a ajouté à ce sujet rapportant le mécontentement des hadjis Algériens : « nous avons découverts que plusieurs hadjis étaient atteints de maladies chroniques et dangereuses, il s’est avéré que leurs proches évitent de faire part de la maladie, croyant que ce genre d’initiative priverait le hadji d’accomplir le devoir sacré, dans plusieurs cas les familles, et même les concernés, souhaitent que la mort survienne là bas ».
La même source a ajouté que les familles ont été informées par la branche consulaire présente sur place en coordination avec les autorités Saoudiennes et la délégation médicale qui s’est déplacée d’Algérie. Il a précisé que la majorité des hadjis sont âgés et malades, ils ont toutes les peines du monde à s’adapter à la nouvelle situation en Arabie Saoudite, à cause du décalage horaire et du climat chaud et humide, soulignant que le taux de mortalité chez les hadjis Algériens atteint les 50 hadjis chaque année. Tamine a annoncé qu’environ 814 hadjis se sont perdus à la Mecque et 300 autres à Médine depuis le début de la saison.
El Khabar
Abdellah Tamine, responsable de l’information au ministère des Affaires Religieuses, a révélé que trois hadjis (Musulman effectuant le pèlerinage aux lieux saints de l’Islam) algériens sont morts à cause de leur âge et de leur état de santé. Il a indiqué que les familles évitent de faire part de l’état de santé des hadjis craignant que les autorités les empêchent d’effectuer le pèlerinage.
Il a déclaré à El Khabar hier que deux d’entre eux se trouvaient à la Mecque et le troisième à Médine, affirmant qu’ils étaient tous âgés de plus de 80 ans et souffraient de diabète et d’insuffisance rénale, l’un d’entre eux est décédé des suites d’une attaque cardiaque. Il a ajouté à ce sujet rapportant le mécontentement des hadjis Algériens : « nous avons découverts que plusieurs hadjis étaient atteints de maladies chroniques et dangereuses, il s’est avéré que leurs proches évitent de faire part de la maladie, croyant que ce genre d’initiative priverait le hadji d’accomplir le devoir sacré, dans plusieurs cas les familles, et même les concernés, souhaitent que la mort survienne là bas ».
La même source a ajouté que les familles ont été informées par la branche consulaire présente sur place en coordination avec les autorités Saoudiennes et la délégation médicale qui s’est déplacée d’Algérie. Il a précisé que la majorité des hadjis sont âgés et malades, ils ont toutes les peines du monde à s’adapter à la nouvelle situation en Arabie Saoudite, à cause du décalage horaire et du climat chaud et humide, soulignant que le taux de mortalité chez les hadjis Algériens atteint les 50 hadjis chaque année. Tamine a annoncé qu’environ 814 hadjis se sont perdus à la Mecque et 300 autres à Médine depuis le début de la saison.
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