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L’Algérie est «dos au mur»

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  • #16
    Salam

    Ah ouais, et le clown dit ça quand...
    Il y a des années que l'Algérie vit sur la rente pétrolière, que cette dernière a plus profité aux uns qu'aux autres, que les algériens ont fait les autruches depuis des décennies, qu'ils ont soutenu des régimes corrompus depuis leur soi-disante indépendance...
    Depuis ce jour-là, ils ont cautionné plus ou moins consciemment le joug que leurs ont imposé leurs frères, formés par mama frança, donc des traitres originels qui ont trait l'Algérie en bramant leur fierté d'ex-esclaves...
    Ils ont néanmoins gardé leurs complexes de colonisés en singeant, mais pas pour le bien des populations...
    L'Algérie est à la traine dans bien des domaines, santé, logement, économie, etc...
    Elle désigne des boucs émissaires, ceux qui critiquent le pouvoir des généraux renégats, ceux qui ont sucé la richesse de l'Algérie...

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    • #17
      D'ailleurs Sellal, bien que moins futé mais très honnête, a juré ''ouksim billah l'Algérie ne tombera jamais, quoi qu'en disent les oiseaux de malheur'' .
      Je ne vois pas comment sellal peut connaitre le future au point de jurer sur l avenir de Algérie ...

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      • #18
        James

        Je ne vois pas comment sellal peut connaitre le future au point de jurer sur l avenir de Algérie ...
        Gouverner c'est prévoir!!!!!! :22:
        Il faut le croire puisqu'il en jure

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        • #19
          le problème c'est que même un baril de 100$/baril ne pourra pas nourrir les 40 millions d’algérien, meme pour un pétrole inépuisable

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          • #20
            Asmaa31
            Gouverner c'est prévoir!!!!!! :22:
            Il faut le croire puisqu'il en jure
            Pour moi quand tu jures c est que tu es sur de toi a 100 % aucune marge d erreur .
            l avenir de Algérie ne dépend pas uniquement de Algérie mais aussi élément extérieure .... avec tout ses instabilité que connait le monde .
            il aurait du dire Inchallah ne tombera jamais ... après tout dieu seul connait notre avenir (point vu musulman )
            je sais que les chiffre et la situation macroéconomique ... peuvent te donner une idée sur l avenir mais la a jurer

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            • #21
              le problème c'est que même un baril de 100$/baril ne pourra pas nourrir les 40 millions d’algérien, meme pour un pétrole inépuisable
              Il faut un changement de mentalité sur la démographie, car après ça ne sera pas gérable!! ils doivent relancer l'agriculture et développer le tourisme qui est inexistant dans ce beau pays!!

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              • #22
                Pour moi quand tu jures c est que tu es sur de toi a 100 % aucune marge d erreur .
                l avenir de Algérie ne dépend pas uniquement de Algérie mais aussi élément extérieure .... avec tout ses instabilité que connait le monde .
                il aurait du dire Inchallah ne tombera jamais ... après tout dieu seul connait notre avenir (point vu musulman )
                je sais que les chiffre et la situation macroéconomique ... peuvent te donner une idée sur l avenir mais la a jurer
                J'adhère James!! mais va le dire à slilou!!

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                • #23
                  Chaque fois que quelqu’un fait une analyse objective sur l'avenir sombre de l'Algérie les partisans de l'immobilisme crient à l'ingérence et considèrent celle ci comme une citadelle assiégée , jalousée par la main étrangère ...

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                  • #24
                    Les prix du pétrole sont entrain de remontrer, il est à presque 40 dollars

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                    • #25
                      Dans 60 dollars, ça va le faire...

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                      • #26
                        Le pétrole a chuté : l'occident paie moins chère l'essence maintenant tandis que chez nous elle a augmenté.

                        Le pouvoir accuse le peuple de ne pas travailler et le peuple accuse le pouvoir d'être corrompu. La vérité est dans les deux affirmations. Le premier est un pouvoir totalitaire depuis l'indépendance dont les acteurs sont des anciens moujahidines (combattants) du FLN qui font en sorte de plaire toujours au peuple pour rester au pouvoir mais ils n'ont pas le savoir-faire d'améliorer l'économie et de diriger avec rigueur. Les lois devraient être appliquées à tout individu, hors ce n'est pas le cas. Les riches en Algérie deviennent plus riches et la pauvreté se sent dans les régions rurales. Certains Algériens ont créé un état dans l’état. Un exemple ? Abdelmoumen Khalifa, un simple pharmacien, a créé un état pour lui-même et à sa fin, il a écopé de 8 ans de prison. Et où sont partis les milliards qu'il a pillés? Bien évidemment ils ne seront pas remboursés à l'état.

                        C’est un pouvoir qui gouverne avec une politique de voyous et dirige un peuple avec une mentalité de voyous. Chacun accuse l'autre car il n'y a pas le savoir-faire.

                        Tout à fait d’accord avec la majorité des analyses. Dernièrement, on a appris qu’un ancien général s’est permis un appartement sur la place des Ternes à Paris alors que normalement il devait percevoir une retraite ne dépassant pas 800 euros. Durant ces 20 dernières années, il y a eu plus de 200 milliards de dollars qui ont été volés au peuple algérien dont le tiers a été réinvesti en France. Corrompre la classe politique d’un pays a toujours été l’atout entre les mains des occidentaux pour appliquer leurs politiques sur nos pays en humiliant les peuples.
                        Dernière modification par choucha, 18 mars 2016, 20h25.

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                        • #27
                          Salam

                          Oui, l'Algérie est dans une situation difficile, cette situation n'est pas nouvelle et si les algériens ont le sentiment de s'appauvrir pendant que la classe dirigeante et la haute bourgeoisie s'enrichissent, on retrouve la même chose dans les pays européens...
                          Quelque soit le régime, démocratie, zaama, et dictature, la situation économique des pays dépend, découle de la mondialisation...

                          Le patronat, plutôt que d'investir et développer la production locale, a choisi de délocaliser ou d'aller acheter les produits dans les pays où la main d'oeuvre est moins chère pour gagner le maximum...

                          Les problèmes auxquels l'Algérie doit faire face ne date pas d'hier, les nouvelles technologies ne font qu'accélérer la prise de conscience...

                          Si le pouvoir algérien abuse, c'est aussi parce que les algériens pensent que leur destin est de prier, de s'en remettre à Dieu, lah ghaleb, el-mektoub...

                          Ils ont mis au point des stratégies d'évitements, des combines, ah le système D dont ils sont si fiers...

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                          • #28
                            Ah l'Algérie a manqué au petit monarchiste d'extreme droite. _______

                            Jawzia
                            Et celui là c'est AUSSI un monarchiste d’extrême droite ?


                            Comme l’a récemment déclaré Sid-Ahmed Ghozali, ancien ministre et président-directeur général de la Sonatrach de 1966 à 1979: « Je crains un effondrement. Il est inéluctable (…) Après 53 ans d’indépendance, notre société vit par la grâce d’une richesse épuisable et unique, de surcroît non créée par nous (…) l’Algérie est l’un des rares pays, sinon le seul, à se retrouver dans cette si grande et si dangereuse précarité : 99% de nos importations, y compris le blé de notre pain quotidien, sont payées par les revenus des hydrocarbures ! (…) Qui est responsable de cet état de choses ? Un pouvoir vautré dans l’économie de la rente » (el Watan, 28 septembre 2015).
                            Jusqu'à quand tu vas continuer à chercher à cacher le soleil avec un tamis.

                            Cette situation est une évidence même pour un gosse de 10 ans..

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                            • #29
                              etre dos au mur me parait mieux qu'etre visage contre ce mur position qu'envie les adorateurs de .....

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                              • #30
                                L’Algérie n’a plus le choix que de s’endetter désormais.
                                En définitive, la réponse a été donnée par le représentant du FMI en visite à Alger, Jean-François Dauphin qui a déclaré : "L’endettement de l’Algérie est non seulement souhaitable, mais aussi inévitable pour financer tous les défis qui l’attendent !". Le gouvernement le sait, en l’absence d’un relèvement miraculeux des cours du pétrole, il ne dispose plus que de deux options pour pouvoir disposer de ressources financières conséquentes :
                                • recourir à l’endettement intérieur (bancarisation de l’argent de l’informel et lancement de l’emprunt obligataire)
                                • faire le choix d’emprunter à nouveau le périlleux chemin de l’endettement extérieur

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