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Le pouvoir algérien a jugé "utile" de protéger la statue de l'émir Abdelkader

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  • Trinita ^^

    la france a gané la guerre non pas les armes mais surtout par la psychologie..
    il analysaient les faiblesse et agissent dessus
    s'ul parlait de l'emor c'est uniquement pour montrer aux eleves que tenter une esperience comme celle de l'emir etait vouer a l'echeque..mais l'emir etait morts au combats je ne pense pas qu'ils le citent c'est évidents la meme chose pour les somités arabes y'a aussi ibnou sina que les euorpeens ont changé le nom en avicene pour eloigner le sentiment d'inferiorité de leurs population vis a vis du medecin et medecine arabe...
    meme en france y'a aucun tableau de Pasteur qui ne accroché dans une salle de terminal ou d'université parceque ça rappelle la monarchie
    le republicain en évoquant Pasteur va se sentir démunie devants la monarchie..la republqiue essaye a tout prix d"éviter de superioriser l'adverssaire pire encore l'ennemie qui etait cheikh bouamam plus virulent et moins politque que l'emir c'est le chef sioux qui marqué l'empire anglo saxon
    aux etats unis..
    Oui c'est une théorie qui tient la route .. pour dire que meme s'il a été le héros des algériens, meme s'il a été d'un courage et d'une force et d'un savoir que personne ne peut nier, la france a quand meme réussi à l'avoir et l'envoyer loin du pays de son peuple et des siens .. décédé et inhumé loin de sa terre !

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    • ibnou badis etait consideré comme les al saoud de l'arabie saoudite qui savait ce qui qui se tramait en algerie du point de vue religieux
      le mouvenet du maraboutismes etait une facette de la domination ideologique..donc frapper le maraboutisme en algerie c'est frapper
      l'autorité coloniale
      d'ailleurs la preuve que le maraboutisme etait de creation colonial et entretenue par elle
      une fois les colons partie, le maraboutisme c'est tue en algerie..
      donc les al saoud de l'arabie savaient beaucoup de choses ce qui se passait chez nous car les arabes etaient deja en algerie avant eux..ils ont perdu l'afrique du nords militerement et economiquement parceque je crois qu'ende couvrat l'asie et l'inde les arabes ont laché le maghreb moins ''utiles economiquement trops pauvres'' par arapprt a l'ondonessie l'inde le pakistan la malaisie et l'afrique de l'Est zenzibare .

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      • trinita2

        ta vision du monde est intéressante

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        • aloha -les prisons françaises romanesques - va demander cela a ceux qu'on enfermait a la bastille ...votre emir passait du bon temps au chateau d'amboise avec toute sa famille dans l'attente d'etre expedié a damas -il a negocié la position des siens dans l'algerie coloniale et c'est son combat qui fait qu'aujourd'hui on parle arabe dans l'ecole algerienne et que l'islam occupe la sphere publique.

          je ne dis pas qu'il a pas mené une insurrection contre les français comme d'autre mais des qu'il a senti la defaite il a joué la carte de la reddition pour sauvegarder ses interets et les interets de ses tributs et non l'interet des algeriens.

          Il a ete chassé de kabylie qu'il a voulu soumettre a son autorité -pourquoi s'est il rendu au lieu d'organiser la lutte en kabylie si son patriotisme n'etait pas partisan.

          el mouhim personne n'en sait rien car vos livres nous racontent des bobards et je ne vais pas croire les livres français car le regime a deguisé l'histoire et jusqu'a aujourd'hui chakib khelil n'est pas qualifié de voleur par la france et de deux il etait dans l'interet des français a l'epoque de l'imposer comme leader charismatique pour asseoir son pouvoir en algerie puisqu'il s'est rendu .

          nous ne contestons rien nous demandons a reviter l'histoire de l'algerie de A a Z.

          QUE PENSEZ VOUS DE FERHAT ABBAS ? d'apres les gens du fln c'etait un traitre .

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          • Oui c'est une théorie qui tient la route .. pour dire que meme s'il a été le héros des algériens, meme s'il a été d'un courage et d'une force et d'un savoir que personne ne peut nier, la france a quand meme réussi à l'avoir et l'envoyer loin du pays de son peuple et des siens .. décédé et inhumé loin de sa terre !
            Avec ces fronts et perte jamais la france n'aurait entrer en algerie si les tribus ont suivie l'emir dans sa demarche..donc la guerre pour coloniser l'algerie n'etait pas militaire mais bien psycholoqiue et ideologique
            c'est pourquoi les sectes en algerie s'enteretue a propos de l'ecole..chacun voudra injecter son poison dans le future algerien


            Les pertes humaines des guerres napoléoniennes (1803-1815), directes et indirectes, s'évaluent comme ci-dessous :
            • 371 000 tués au combat[1]
            • 800 000 morts de maladie ou de froid, principalement lors de la désastreuse campagne de Russie (1812)[2]
            • 600 000 civils[2]
            • 65 000 alliés des Français (principalement Polonais)[2]

            Total : 1 800 000 Français et alliés (principalement Allemands et Polonais) tués au combat, morts de maladie ou disparus[1]
            David Gates : au moins 916 000 Français[3].

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            • 'Afwan Masha tout le plaisir est pour moi !
              ceci dit, pour ma part l'histoire algérienne je l'ai fait en tant qu'autodidacte...


              Envoyé par Trinita
              le mouvement du maraboutismes etait une facette de la domination ideologique..donc frapper le maraboutisme en algerie c'est frapper
              l'autorité coloniale
              c'est exactement à cela que cheikh ibnou badis rahimaouLah et l'association des oulama souhaitaient réformer pour combattre l'idéologie des zaouiyate qui était pour la colonisation

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              • c'est exactement à cela que cheikh ibnou badis rahimaouLah et l'association des oulama souhaitaient réformer pour combattre l'idéologie des zaouiyate qui était pour la colonisation
                les zaoyuiate ce n'est pas exatcement le maraboutisme car meme apres l'indepednace les zaoyua continuaent a existaient et si elles etaient dans le maraboutisme le phenomeme serait encore là et entretenue..
                les zaoyia c'est surtout l'ancien circuit de du commerce entre l'orient et l'efarique du nords..C'est des commerçants c'est tout bien sure il ne faut pas toucher a leurs reseaux...les zaouiyate ni religion ni ideologie c'est la marchandise et point c'est tout..
                il ya d'autre ecoles qui sont appelé faussement zaouiyate tu les trouves dans les hameaux dans les hautes montagnes et les quartiers pauvres des villes..ça depend de chaque écoles et tout depend du maitres et a quel sectes ou groupe il appartenait..soit ils enflamme la population contre les envahisseurs ou au contraire les convaincres de les accepter ils sont surtout dans le domaine du discours des cafés..a l'epoque ya vait ni télé ni radio il fallait epparpillé des rumeurs des fausses nouvelles des legendes
                comme le faisiat nos algeriens dans les université a propos de la guerre d'afganisatn ''il disaient ''avec un poignée de sable dans la main le musulman faisait souflé le charre du kouffares sovietiques'' y'en a qui en cru et d'autre qui ont rie
                c'etait la meme choses des maitres d'ecole coranique qui propAgeaient des inepties c'est tout..mais l'essentiel etait la main mise sur le betail des algeriens et sur les plaines le reste N'est QUE conte de mille et une nuit
                y'avait rIENn dans les montagnes kabyles OU CHAOUI comme aussi ya rien dans les montagnes des alpes et des pyrenées..ils vont faire compagne aux alpes pour manger un ours perdus ou chevre qui a vait fait une chute?? 20 militaires autour d'une chevre?? ils vont se manger entre eux avant que de manger la chevre et cette dernière profite de la confusion gerale pour s'enfuire

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                • Il a ete chassé de kabylie qu'il a voulu soumettre a son autorité -pourquoi s'est il rendu au lieu d'organiser la lutte en kabylie si son patriotisme n'etait pas partisan.
                  si tu savais le nombre de kabyles qui ont suivi l'Emir dans son exil en Syrie tu serais surpris... d'ailleurs il y a même un quartier à Damas qui porte le nom de la communauté algérienne qui s'était éxilé à l'époque...

                  tu parles de bobards, ceci dit en mensonges et balivernes le site siwel en sont les champions toutes catégories et sont habitués à poster des torchons du même acabit d'ailleurs en lisant cet article ça se voit qu'ils prennent les gens pour des imbéciles donc si tu aimes être pris pour un crétin, c'est ton problème...

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                  • Le pouvoir algérien a jugé "utile" de protéger la statue de l'émir Abdelkader
                    J’espère qu'il jugera utile de ramasser cette racaille pour la mettre en prison pour vandalisme.
                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                    • et faut savoir encore une chose c'est que la genration de l'emir que soit kabayle ou non kabyle n'avaient pas la notion de pays..la notion de pays a été crée par les clubs en comptitions entre anglais espagnole français
                      en islame y'a pas de pays y'a une administration juridique c'est tout..sur l'afrique du nords les arabes ne faisait que la justice c'est tout..
                      le juge lorsqu'il entre dans un coin une dachra un village une ville
                      ils leurs dzmande deux choses soit vous redeveniez musulmans et vous ne payez pas de jizya soit vous gardez vos croyance et là vous payez la jozya le code musulmans sera appliqué sur tout le monde..pas la peine de se faire justice soit meme déposer des plaintes..
                      la serenité regnait partout parmis les tribus..les kabyles etaient des sauvages razia meutre vengence viol collectif guerre etc..

                      lorsque les othomons sont arrivés l'impot a été decreté sur les algerien et les bachagha collecteur d'impot en faveur de constantinople deuxieme tete de Rome la catholqiue tout ce produisait le kabyle en une année le bachagha le prend par force en une journée ne lui laissant que le foulards sur la tete..ensuite vinrent les français non seulemn t il continuant le programme de constatinople amis rajoute l'eau a l'argile en introduisant l'adminsitration dans chaque crevasse tenue pour emepcher l'eau de bien couler

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                      • Le deplacement de l’Emir en Kabylie
                        Des l’annonce de l’arrivée de l’Emir en Kabylie, El Hadj Ben Zamoum se rendit à sa rencontre ; Abdelkader l’investit aussitôt du titre d’Agha des Flissa, des Maâtka, des Beni Khalfoun, des Nezlyoua, des Guechtoula, des Oulad Aziz et des autres tribus situées sur son territoire. Quant au commandement de Ben Salem, il fut complété par un remaniement opéré par l’Emir ; il détacha l’Aghalik des Béni Slimane du Beylik de Médéa et l’adjoignit au Sebaou puis ces dispositions prises, et après avoir prescrit l’établissement d’un poste a Bordj Sebaou, Abdelkader recommanda encore une fois aux différents aghas d’accorder aide et obéissance à son Khalifa Ben Salem, puis il retourna dans l’Ouest (10).
                        En 1839, Abdelkader visita une seconde fois la Kabylie accompagné de cent cavaliers. Ben Salem le rejoignit à Bordj Hamza où il campait, le conduisit dans sa famille à Bel Karoube et lui offrit l’hospitalité (11). C’est à l’occasion de cette deuxième visite que I’Emir, accompagné par son Khalifa, parcouru de long en large toute la Kabylie, se rendant à l’Est jusqu’à Béjaïa, et à l’Ouest, à Thenia, non loin d’Alger déjà occupée depuis le 5 juillet 1830. De Bel Karoube, Ben Salem accompagna Abdelkader à Bordj Boghni et à Sidi Ali Moussa. « Tous les habitants surent bientôt que l’Emir Abdelkader, le ‘’jeune sultan’’ qui avait fait aux chrétiens une guerre acharnée », était chez eux. La présence d’un tel homme dans leurs montagnes fit une vive sensation, et les Maâtka, les Guechtoula, les Béni Zemenzar, les Beni Abd El Moumen, les Beni Aïssi, et les Flissa vinrent le visiter .... La tente de l’Emir était pressée par les Zouaoua qui le regardaient avec des yeux éton-nés ; aucun d’eux toutefois n’osait y pénétrer ; les moins indiscrets, accroupis à l’entour, en relevaient les bords pour voir sans être vus ....(12). De Sidi Ali Moussa, l’Emir se rendit à Bordj Tizi Ouzou chez les Amraoua où il passa la nuit. Il partit ensuite pour Dellys, accompagné par Sid Abd er Rahman, lieutenant et parent de Ben Salem(13).
                        A Dellys, Abdelkader aurait fait remarquer à son compagnon que la place ne présentait aucune sécurité contre une éventuelle invasion des troupes d’occupation. Daumas rapporte l’anecdote suivante d’une conversation entre l’Emir et Sid Abd er Rahman (14) : « Comment pouvez-vous vous résoudre à habiter une ville du littoral ? Quant à moi, je n’y passerais pas une nuit sans me faire bien garder de crainte d’être surpris par les chrétiens. » Sid-Abder-Rahman répondit qu’il y restait sans inquiétude, parce que, aux dires des gens du pays, deux marabouts, Sidi Soussan et Sidi Abdelkader, protégeaient la ville contre les attaques des infidèles, l’un du côté de la terre, l’autre du côté de la mer.
                        Etiez-vous présent, demanda l’Emir à Sid-Abd-er-Rahman, lorsque ces marabouts firent les promesses sur la foi desquelles vous dormez ?
                        Non.
                        Eh bien, négligez ces propos populaires, puisque rien ne peut s’opposer à la volonté divine. Prenez donc vos précautions. Nous ne devons avoir aucune confiance. La paix ne peut durer. L’Emir aurait ajouté : « Envoyez vos bagages à la montagne, et ne laissez ici que votre famille et votre cheval. » (15). Après son séjour à Dellys, Abdelkader alla visiter le marabout de Bou Berrak, situé dans le pays des Ouled-Si-Omar-el-Cherif ; il y déjeuna et alla passer la nuit à Haouch-el-Nahal, chez les Issers. Les chefs de ces tribus vinrent l’y trouver ; il les engagea à transporter tous leurs effets sur les points culminants, et surtout à ne pas laisser leurs grains dans la plaine, mais à les enfouir dans des silos sauvages. Il donna les mêmes conseils à toutes les tribus qui campaient dans les vallées. « Ne croyez pas, leur disait-il, à la continuation de la paix ; bientôt elle sera rompue. » (16) Lors de sa visite aux Issers, l’Emir se rendit au marabout de Bou-Mendass (Boumerdès ?), auprès d’EI-Djebil. C’était un pic élevé d’où il pouvait découvrir Alger. Il se fit donner sa longue vue et sonda la ville avec soin, s’informant de tous les points et recueillant des observations minutieuses sur le pays qui s’offrait à ses yeux(17).
                        L’Emir continuant son périple, se rendit chez les Béni Aïcha, fraction des Khechna. Il y fut bien reçu et force coups de fusils furent tirés en signe de réjouissance. Comme on pensait qu’il y passerait la nuit, on lui prépara la diffa (repas des invités de marque) mais à la tombée du jour il partit, et alla coucher à Bou-el-Ferad. Le lendemain, on le vit de bonne heure à Tamdiret chez les Flissa où se trouvait le camp de Ben Salem (18). Apres son séjour chez les Flissa où il aurait passé deux jours et deux nuits, il se rendit à Sidi Naâmane, chez les Amraoua. Les gens de l’Oued Neça (Oued Sebaou ?) vinrent lui offrir des présents considérables qui consistaient en figues, huile, cire et savon. Il manifesta ensuite l’intention de se rendre chez les Zouaoua et de pousser ensuite jusque sur les hauteurs de Béjaïa(19). Les chefs des Amraoua et des Flissa l’accompagnèrent à Tamda, près de Ras Oued-el-Neça. De là, il se rendit à Akbou, puis chez les Sidi-Yahya-bou-Hatem, au-dessus des Beni-Ourghlis, ensuite chez les Toudja, de là chez les Tamzalet, patrie de la famille des Ouled-ou-Rabah ; il se rendit ensuite chez les Beni-bou-Messaoud, enfin chez les Sidi Mohammed-ou-Maâmeur, sur la Soummam, en face de Béjaïa (20).
                        Pendant toute la durée de sa visite, l’Emir fut l’objet d’un accueil exceptionnel, fidèle en cela aux coutumes et traditions des peuples de la région. Daumas en donne encore le témoignage suivant : Pendant tout le trajet, Abdelkader fut bien traité ; plus d’une fois il eut à subir une très importune quoique très généreuse hospitalité. A peine arrivé au gîte, de nombreux Kabyles, tête nue et le bâton à la main, venaient lui présenter la diffa de leur pays, énormes plats en terre (djefena) remplis de couscous et parsemés de quelques morceaux de viande sèche et prièrent leur hôte de manger dans leur djefena ; pour ne pas faire de jaloux, Abdelkader fut ainsi forcé de toucher aux plats sans nombre dont il était entouré (21).
                        Après sa visite aux tribus de la Soummam, sur le chemin du retour, Abdelkader se rendit à Khelil-ou-Iguefes et dut coucher chez les Beni-Brahim. La, Ben Salem le quitta après avoir reçu ses instructions et s’en retourna chez lui avec le chef des Flissa, El Hadj Ben Zamoum. L’Emir arriva à Bordj el Bouira, en passant derrière les monts Djurdjura. Il parcourut en longueur et en largeur la plaine de Hamza, et disparut bientôt en s’enfonçant dans le Gharb (22). L’empreinte laissée par l’Emir dans l’esprit des populations de la région durant sa visite ne s’estompa qu’au fil des générations. A la qualité de l’accueil qui lui fut réservé, la dimension humaine, religieuse et militaire de son auguste personne fut reconnue de tous, comme en témoignent des écrits sur cette période héroïque de la résistance nationale. Son autorité fut obéie par l’ensemble des tribus durant ses années de lutte et jusqu’à sa reddition en 1847.

                        Tel fut l’accueil qu’Abdelkader, aux plus beaux jours de sa puissance, reçut dans les montagnes de Kabylie. Pendant ce court trajet, il avait su se faire apprécier des fiers et énergiques montagnards. La simplicité et la pureté de ses mœurs, son affabilité, sa piété, sa science, sa brillante réputation de guerrier, son éloquence de prédicateur, tout en lui saisissait. Aucun de ceux qui purent le voir et l’entendre n’échappèrent à cette influence. Des poètes en firent le sujet de leurs chants

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                        • La Reddition de l’Emir
                          Juste pour comprenne un peu la situation un petit rappel s’impose, la façon dont l’Emir a menait son combat il y avait une nouvelle stratégie et une nouvelle façon de mener les combats qui était qualifié de deplacement de la smala, en somme quand l’emir fasait deplacé ses troupes, c’était tout un village de femmes d’enfants d’ecole ambulante de société ambulante qui se deplacait au gré des du chef des guerriers et de ses troupes, donc lorsque l’Emir se fait assiéger il y a parmi ses troupes des femmes des enfants et des veillards , voyant qu’il était assiégé et trahis de toute part et ne pouvait faire face à l’ennemi il n’avait pas voulu mettre la vie de ses familles en dangers il a préféré se rendre dans ce passage ci-dessous il le dit de lui-même ou il demande la clémence et du temps pour les autres j’ai mis le passage en italique , il est vrai qu’aujourd’hui étant loin de cette terrible épreuve on peut gonfler le torse et se prétendre courageux , j’aurai bien voulu vous voir a cette époque de quel courage cous disposiez, je doute que le courage dont jouissais cet homme et la foi qu’il avait pouvait lui faire peur de mourir, s’il était seul et s’il savait que les siens ne serait pas inquiété je mettrai ma main au feu qu’il serait mort les armes à la main, mais là est un autre débat juste pour comprendre l’attitude héroïque qu’a eu cet homme on se rendant à son oppresseur pour sauver la vie des autres, je vous demanderai de vous revoir la scène de l’opium et le bâton magnifique film sur la révolution algérienne , lorsqu’on fit venir tous le village sur la place le héros Ali défiguré par ses tortionnaires et on ramena sa mere , sa sœur et tous le village pour assister à son exécution, quand le lieutenant dit à Ali tu veux une cigarette ? Ali le regarde et souris pour mieux le défié, alors ce lieutenant jette le paquet par terre et ordonne à Ali de le ramasser, Ali continue à le défié du regard et le narguait avec le sourire, et là le frère de Ali qui était ligoté en sang qui crie à son petit frère « meurt debout mon frère ne t’agenouille pas ne ramasse pas le paquet MOUT WAQEF ALI KHOUYA MOUT WAQEF » et le lieutenant qui le regarde et qui lui dit ramasse sinon je vais tirait sur la foule, là Ali met un genou à terre pour ramasser le paquet, il ne l’a pas fait parce qu’il avait peur de mourir au contraire, on voyait un visage serein qui avait la gloire et la fierté de son pays et de son peuple, s’il avait mis un genou par terre pour ramasser la paquet c’est qu’il savait que ce lieutenant était assez lâche pour tirer sur des femmes , des enfants et des vieillards, il fallait juste comprendre cette symbolique quand un homme comme el merhoum Abdelkader a fait tout ce qu’il avait réalisé, pour son pays avec courage pendant 17 ans si ce n’est plus je doute qu’un tel homme puisse avoir peur de la mort au point de se rendre pour y échapper, bien plus tard les événements nous ont encore une fois montrer son courage, si l’occident et la chretienneté s’est mis à ses pieds et l’a adulé, c’est que malgré , qu’ils l’ont pourchassé exilé de son pays, lorsqu’il étais en Syrie et qu’il avait connaissance qu’un corpuscule de chrétiens s’est fait persécuté et aller se faire exécuter par les syriens il n’avait eu aucune rancœur face a ses oppresseurs qui étaient chrétiens, il a donné l’ordre a ses hommes et ses enfants les mettant en danger de mort pour sauver cette minorité de chrétiens on brandissant son épée contre des musulmans syriens, l’homme avait du respect pour la nature humaine, pour les hommes , et pour leur croyance, il étais humaniste et universel et ne jouait pas dans la cour des clans , il n’était ni régionaliste, ni sectaire, comme certains raciste
                          En cette fin d’année 1847, l’émir, ses troupes et la deïra sont traqués et poursuivis sur la rive gauche de la Moulouya par les unités marocaines pendant que sur la rive droite la colonne Lamoricière attend le franchissement d’Abd El Kader.L’émir est en mesure d’opposer 2000 à 3000 hommes contre les unités marocaines. Il envisage de capturer un des fils de l’empereur pour négocier et monte une opération. Elle ne réussit pas car le secret a été livré aux Marocains.
                          La situation devient difficile pour l’émir d’autant qu’il affronte les troupes de l’empereur.
                          Le 21 décembre, la situation se dégrade :
                          - Les deux frères de l’émir, Sidi-Mustapha et Sidi-Saïd, demandent l’aman au Général de Lamoricière,
                          - Abd El Kader fait franchir la Moulouïa à la deïra et sacrifie pour la protéger la moitié de son infanterie et de ses cavaliers les plus braves.
                          Arrivés sur le sol algérien, l’émir et la deïra traversent la plaine de Taïfa jusqu’au Kiss où se trouve la frontière française et où cesse la poursuite des troupes marocaines d’Abd-er-Rhaman. Abd-El-Kader conseille à tous de se rendre aux Français pendant qu’il part avec un petit détachement vers le Sahara.
                          Lamoricière tient le terrain jusqu’au col de Kerbous. Là se tient le lieutenant Mohammed-bou-Khouïa et son détachement de spahis.
                          Le 22 décembre, à 2h00 du matin, il pleut à torrent. Lamoricière se met en route avec un gros détachement. A mi-parcours, les représentants de la deïra viennent présenter leur soumission. En même temps, des coups de feu claquent entre les spahis et la faible troupe de l’émir. Mais l’échange ne dure pas et les spahis tiennent bon.
                          Deux spahis arrivent au galop pour rendre compte au général de la tentative d’Abd-El-Kader de forcer le col. Peu après, c’est Mohammed-bou-Khouïa qui se présente devant Lamoricière avec deux cavaliers de l’émir. « Abd-El-Kader fait demander l’aman pour lui-même et pour son escorte ; en manière de lettre de créance, ses envoyés apportent l’empreinte de son cachet sur un morceau de papier mouillé par la pluie. Lamoricière les renvoie aussitôt avec la promesse d’aman et, comme gage de sa parole, il fait porter par Mohammed-bou-Khouïa son propre sabre à l’émir… »
                          A l’aube, le colonel Cousin de Montauban part avec six escadrons pour chercher la deïra «…autour de laquelle rôdent les Kabyles du voisinage… » et l’emmener au puits de Sidi-Bou-Djenane. Le colonel de Mac-Mahon s’y trouve avec un bataillon de zouaves et un bataillon du 9e de ligne.
                          Lamoricière y retrouve « … tous les chefs réguliers qui ont survécus au désastre du 21 décembre. Ils le supplient d’accorder deux jours de repos à la deïra encombrée de blessés, de vieillards, de femmes et d’enfants qui succombent de fatigue. Le général y consent et fait porter au colonel de Mac-Mahon l’ordre de prendre son bivouac, non plus à Sidi-bou-Djenane mais aux environs du campement arabe. On sait alors que la deïra comprend encore près de six cents tentes avec une population de cinq à six mille âmes… »
                          Mohammed-bou-Khouïa revient et restitue le sabre au général accompagné d’une lettre d’Abd-El-Kader. « … J’ai reçu le cachet et le sabre que tu m’as fait remettre comme signe que tu avais reçu le blanc-seing que je t’avais envoyé ; l’obscurité de la nuit m’avait empêché de t’écrire. Cette réponse de ta part m’a causé de la joie et du contentement. Cependant, je désire que tu m’envoies une parole française qui ne puisse être ni diminuée ni changée et qui me garantira que vous me ferez transporter soit à Alexandrie soit à Akka (Saint-Jean d’Acre) mais pas autre part… »
                          Lamoricière pense être en mesure de croire et d’accorder ce que demande Abd El Kader et lui répond en ce sens.
                          Le rendez-vous est fixé au 23 septembre et au marabout de Sidi-Brahim.
                          « Le 23 décembre 1847, suivi de quelques serviteurs, Abd-El-Kader traversait le Kiss pour suivre le même chemin qui l’avait conduit à la facile victoire du Kerkour. Arrivé sur le plateau de Sidi-Brahim, sur l’emplacement même du bivouac des chasseurs, au pied du seul palmier de la région, l’Emir s’arrêta cherchant inutilement du regard le général Lamoricière, « le seul chef, disait-il, auquel il consentait à remettre son épée » et, attendit fièrement l’arrivée des deux escadrons de chasseurs d’Afrique que le général avait envoyés pour le recevoir pendant qu’il présidait lui-même à l’internement de la Deïra. »
                          « Le général Lamoricière, qui voulait présider par lui-même à l’internement de la deïra, s’était porté, avec son infanterie, vers le Kis où se trouvait cette deïra, et avait laissé sa cavalerie sur le plateau de Sidi-Brahim. »
                          « En l’absence du général, le colonel de Montauban reçut l’Emir, qui passa sur le front des escadrons
                          Pourtant, ce matin là, « Accablé de tristesse mais plein de dignité, l’Emir passa devant le front des escadrons et se rendit lui et les siens au colonel Cousin de Montauban. » Abd El Kader est accompagné Mustapha-Ben-Tami, de Kadour-ben-Hallal ainsi que de quelques autres chefs fidèles et du lieutenant Mohammed-bou-Khouïa.
                          L’émir demande au colonel de pouvoir faire la 4e prière de la journée (El Asr) au marabout. Cousin de Montauban l’autorise sans difficulté.
                          Dirigé sur Nemours, Abd-El-Kader traversa le champ de bataille de Sidi-Brahim. Arrivés au pied du marabout… » « … les officiers mirent sabre à la main, les chasseurs portèrent les armes, les clairons sonnèrent aux champs, nos fanions s’inclinèrent. « Qu’est cela, dit l’émir ? » On lui répondit : » C’est l’hommage rendu au courage des nôtres, le jour où Dieu te donna la victoire. » De là à Nemours, l’émir ne dit plus un mot… »
                          L’émir « sous l’escorte de quelques chasseurs d’Afrique, arriva le soir à Nemours, où sa famille l’attendait déjà, et où le général Lamoricière arrivait en même temps que lui, escorté par les cavaliers réguliers qui venaient de se rendre… »
                          « A peine rentré, le général de Lamoricière alla rendre visite à l’Emir, qui lui fit présent de son yatagan. »
                          Abd-El-Kader passe sa dernière nuit sur le sol algérien à Djemmâa-Ghazaouet.
                          L’Emir « monta sa dernière jument, blessée comme lui, et s’avança, suivis de quelques serviteurs, vers le logis du duc d’Aumale. Avant d’y arriver, il mit pied à terre et marcha, conduisant sa monture par la bride, comme faisaient les Arabes qui venaient se soumettre. » Et sa soumission se réalise quand Abd-El-Kader offre au duc d’Aumale sa jument.
                          Le 24 décembre 1847, Abd-El-Kader embarque sur l’Asmodée à Oran. Il est avec son entourage, femmes, enfants, vieillards et blessés. C’est-à-dire 90 personnes dont sa mère, Lalla Zohra, ses trois femmes, ses enfants et ses derniers khalifats fidèles.

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                          • Oui tu ne débats pas .; tu insultes seulement
                            aya terbah
                            je n'insulte pas et tu peux le dire tu peux même le crier sur le minaret de ton quartier
                            du moment que je n'insulte jamais personne même les plus tordus ... je n'ai pas dit que tu l'es c'est juste pour t'expliquer encore mais bon.

                            je ne peux par contre pas laisser les hypocrites écraser les autres surtout lorsque le minimum vital de savoir vivre avec les autres n'est pas respecté

                            Le sujet est claire dans ce topic : certains insultent l’Algérie, les algériens peut être tes petits enfants aussi si tu es algérienne et si tu te sens algérienne

                            Je l'ai dit si les kabyles veulent se battre pour n'importe quoi ils peuvent le faire sans cracher sur les autres malheureusement c'est tout ce qu'ils sont capables de faire
                            Je parlent de ceux qui s'attaquent au fondement même du pays

                            voilà tout maintenant si ma réponse ne t'a pas plus peut être que tu ne te sentais pas insultée par ce topic ... c'est tout !

                            mais dire que j'insulte tu peux le dire si tu veux , tu peux le penser,l'écrire sur tous les murs, le dire ... puisque ce que je dis est justement l'inverse

                            Je ne veux pas que l'on insulte les algériens ni ce pays en tant que tel

                            et je considère ce que tu as tenté en disant que j'insulte grave et de l'insolence

                            Voilà des gars qui viennent dire que tout les algériens sont cons de croire que Abdelkader est un grand, tu sèmes le doute en disant des choses approximatives concernant l'homme le plus important pour le pays pour noyer le poisson tu dis que j'insulte

                            mais ça va pas la tête !!!
                            Dernière modification par Aloha, 26 avril 2016, 20h56.

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                            • Bah mon pére qui était enseigné par des français ici en Algérie durant la guerre d'algérie, et donc suivait le programme français se souvient avoir eu un cours sur l'Emir au meme titre que Napolean .. J'avoue que ça m’intrigue ..
                              La conclusion de ce cours consistait à dire que l'Emir etait devenu un grand ami de la France ? Voilà c'etait pas pour l'histoire de l'Algerie !
                              une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

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                              • meme Napoleon ne pese rien en face de lui..Napoleon etait accusé de kidnaping et de rapte et demande rançon par les egyptiens ils a tout volé et l'emmener en europe cela personne ne led dément..
                                Quand on ne connait pas l'histoire il faut éviter de se ridiculiser : il ne s'agit pas de Bonaparte , mais de Napoléon III à qui ton émir a embrasser les pieds ...

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