Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Belkhadem demande officiellement un remaniment gouvernemental

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Belkhadem demande officiellement un remaniment gouvernemental

    Lors d'une interview a la radio nationale Belkhadem dit avoir demandé par écrit au président un remaniment gouvernemental.
    ==========
    Source agence chine nouvelle :
    ALGÉRIE - 4 janvier 2007 - XINHUA
    Le chef du gouvernement algérien Abdelaziz Belkhadem a émis le souhait de voir, lors d'un entretien jeudi avec la Radio nationale, un remaniement au sein de son équipe formée depuis mai 2006.
    M. Belkhadem, également secrétaire général du Front de libération nationale (FLN, ex-parti unique en Algérie), a affirmé avoir fait part de son souhait au président algérien Abdelaziz Bouteflika par écrit.
    La Constitution de l'Algérie, qui lui confère le droit de proposer l'équipe gouvernementale, stipule que la décision de ce changement est de la seule prérogative du chef de l'Etat, a-t-il fait remarquer.
    "Le président de la République est le chef de l'exécutif et c'est lui qui décide s'il y a lieu de remanier, de changer ou de modifier" le gouvernement, a-t-il ajouté.
    M. Belkhadem a succédé en mai 2006 à l'ancien chef du gouvernement algérien Ahmed Ouyahia, après un mini-remaniement, avec la nomination de Hachemi Djiar au poste de ministre de la Communication, un poste qui restait vacant pendant un certain temps.
    let the right be done

  • #2
    kif kif

    Moussa El-Hadj, El-Hadj Moussa

    Commentaire


    • #3
      Le sujet est récurrent.

      Voir: http://www.elwatan.com/spip.php?page..._article=47808

      Commentaire


      • #4
        Un retour de Abdelatif Benachenhou ferait beaucoup de bien !
        No peace without Justice !

        Commentaire


        • #5
          Il y a tout le temps des changements sans que l'on sache le pourquoi. Et les remaniments sont toujours précédés de longues périodes de folles rumeurs.
          let the right be done

          Commentaire


          • #6
            Certains ne font plus l'affaire et il faut aussi trouver des coupables à certains échecs l'ami.
            No peace without Justice !

            Commentaire


            • #7
              Dans la mesure où la tête du ministre des mines et hydraucarbures (Khélil?) tombe; qu'importe d'autres remaniements.

              Il semberait que Khalida Messaoudi-Toumi serait aussi sur un siège éjectable dans la mesure où Louisa Hanoune daigne prendre un poste au gouvernement.

              Commentaire


              • #8
                Pour la mettre où Louisa ? A la culture ? Les conseils des ministres risquent d'être enflammées.
                No peace without Justice !

                Commentaire


                • #9
                  Ce qui est étrange cé que beaucoup dans la presse parlait du départ de Belkhadem lui même pour garantir la neutralité de l'administration lors des prochaines elections alors que maintenant cé lui qui demande le remaniment...
                  let the right be done

                  Commentaire


                  • #10
                    Il y a tout le temps des changements sans que l'on sache le pourquoi.
                    Je crois que pour certains c'est une façon de s'enrichir puisque un ex-ministre gardera le même salaire qu'un ministre.
                    (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

                    Commentaire


                    • #11
                      La politique algérienne restera toujours une grande inconnue dans sa manière d'application.
                      __________________________________

                      Remaniement ministériel

                      Il aura lieu après la tripartite

                      Plusieurs ministres, jugés peu en phase avec les orientations et le programme du président, notamment depuis sa fameuse rencontre avec les walis, devraient tirer leur révérence.

                      C’est désormais quasi officiel. De nombreuses sources, tout aussi crédibles que recoupées, font état de l’intention du président de la République d’aller vers un assez important remaniement ministériel dès la prochaine rentrée sociale. Celui-ci, nous indique-t-on de mêmes sources, devrait intervenir immédiatement après la tripartite. Celle-ci, croit-on savoir, devrait se tenir les 19 et 20 septembre prochain. Le remaniement en question, qui devrait toucher environ une dizaine de départements, répond à la nécessité impérieuse de donner un bon coup d’accélérateur aussi bien aux réformes qu’au plan d’aide à la relance économique, second du nom. Nos sources, qui semblent très au fait de ce dossier, ajoutent ainsi que «de nombreuses carences, dans différents secteurs d’activités, ont été constatées à la faveur de la fameuse réunion qui avait eu lieu entre le gouvernement et les walis sous la présidence du chef de l’Etat .

                      A cette occasion, il faut le souligner, Bouteflika avait eu l’occasion de rappeler à l’ordre de nombreux ministres, notamment Hamid Temmar, Chakib Khellil et Mourad Medelci, décidant par là même d’attribuer plus de prérogatives aux walis dans le cadre de la distribution des enveloppes budgétaires destinées au plan d’aide à la relance, mais aussi à l’élaboration des projets entrant dans ce cadre précis. Temmar avait ainsi été rappelé à l’ordre aussi bien pour son refus de voir les walis endosser des responsabilités presque aussi importantes que celles des ministres, que d’avoir en quelque sorte failli dans sa mission de redressement des entreprises publiques nationales.

                      Temmar avait déjà été «placé au vert» en 2002, à la suite de profonds désaccords intervenus entre lui et la Centrale UGTA. L’éventualité d’un second départ, une fois constaté l’échec de la politique de privatisations tous azimuts, en dépit des nombreuses tournées effectuées un peu partout dans le monde, n’est donc pas écartée par nos sources. La décision d’octroyer plus de prérogatives aux walis, faut-il le relever, conforte grandement le pouvoir et les prérogatives de l’un des hommes les plus proches du président, Yazid Zerhouni en l’occurrence. Les walis, en effet, se trouvent placés sous son autorité. Le ministre de l’Intérieur, il faut le relever également, s’était également vu attribuer d’importants pouvoirs dans le domaine sécuritaire en général, et la lutte contre le terrorisme en particulier. Mourad Medelci, lui aussi, avait été rappelé à l’ordre avec cette précieuse précision selon laquelle notre embellie financière tout aussi exceptionnelle qu’historique est uniquement due aux cours mondiaux du pétrole, et n’ont donc absolument rien à voir avec quelque éventuelle performance du premier argentier du pays.

                      Nos sources, qui relèvent aussi au passage le très grand recul enregistré dans le cadre de l’application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures,
                      «imposée de l’extérieur», selon les propres termes du président, désormais assez fort pour se rebiffer sans craindre de subir «le même sort que celui de l’Irak», précisent que ce texte tenait particulièrement à cœur de l’actuel ministre de l’Energie et des Mines. Le départ de Chakib Khellil, sur sa demande, nous est ainsi annoncé. Cette nouvelle aurait de quoi conforter l’équipe gouvernementale et renforcer sa cohésion. Pour rappel, une bonne partie des ministres, et non des moindres, puisqu’il faut convenir que l’équipe Belkhadem est divisée en «collèges», s’était farouchement opposée à cette loi, exprimant clairement sa position lors d’un mémorable conseil des ministres dont des échos assez détaillés nous sont parvenus par la suite. C’est Mourad Medelci, l’actuel ministre des Finances, qui devrait remplacer Khelil à la tête de l’Energie. Cela laisse la voie libre face à l’éventuel retour en force d’un outsider que beaucoup auraient tort de sous-estimer, à savoir le RND. Un des principaux conseillers d’Ahmed Ouyahia, dont le bilan à la tête du gouvernement est des plus positifs, le député Abdelkrim Harchaoui en l’occurrence, est ainsi pressenti pour occuper de nouveau le poste de premier argentier du pays. Nos sources évoquent également d’autres secteurs liés au domaine économique, tels que les petites et moyennes entreprises, pour y annoncer également des changements.

                      Des missions de très haute précision seront par la suite fixées aux ministres. Ils seront de la sorte tenus d’appliquer les accords qui émaneront de la tripartite, notamment le pacte économique et social ainsi que les hausses des salaires dans le domaine économique. De même qu’ils devront gérer la phase de «l’après-terrorisme», puisque le délai d’application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale expire à la fin du mois courant. La fameuse étape de l’après-pétrole, à laquelle notre pays n’est pas du tout préparé, de l’aveu même du chef de l’Etat, devrait également être préparée durant cette deuxième moitié du second mandat présidentiel grâce, notamment, à la mise en place d’une économie forte, concurrentielle et adaptée aux besoins et aux mutations mondiales. Il sera également question de se préparer activement pour le référendum relatif à la révision constitutionnelle, avec tous les grands changements qui en sont attendus et dont il sera question dans une prochaine édition.


                      Source:Le jour d'Algérie 7/7/2006

                      Commentaire

                      Chargement...
                      X