Bonsoir
ALGER (AP) - Les services de sécurité algériens demandent l'aide des citoyens face au terrorisme: des affiches placardées sur les murs de plusieurs villes les appellent à contribuer à la lutte contre les groupes islamistes armés encore en activité.
"L'évolution de ton pays et sa prospérité dépendent fondamentalement de sa stabilité et de sa sécurité qui sont un devoir pour tous les Algériennes et Algériens, indépendamment de leur différence d'opinion", proclame cette affiche observée vendredi par l'Associated Press, dans la ville de Ain El Hammam en Kabylie (150km à l'est d'Alger).
Trois numéros de téléphone sont indiqués sur ces affiches dans lesquelles est demandé aux Algériennes et Algériens "de fournir toutes les informations en leur possession concernant les mouvements, les actions et les endroits où se trouvent les terroristes qui refusent la réconciliation nationale plébiscitée par tous les Algériens en toute souveraineté".
Ces appels à l'aide en directions des citoyens sont placardés dans les régions où le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) continuent de perpétrer des actes de violence, notamment dans l'est et le centre du pays.
Les services de sécurité algériens avaient eu déjà recours à ce procédé de communication sous l'ère du président Liamine Zeroual, au lendemain de l'adoption par le parlement de sa politique de la Rahma "pardon" en 1996. Une période pendant laquelle le Groupe armé islamiste (GIA) perpétrait des massacres collectifs en Algérie.
Il y a deux semaines, le président Bouteflika avait renouvelé son offre de réconciliation aux groupes islamistes armés en affirmant "notre coeur reste ouvert" à tous ceux qui renoncent à la violence.
Une offre rejetée juste après par Abdelmalek Droudkel dit Abou Mossab Abdel Wadoud, le chef du GSPC qui a renouvelé l'allégeance de son organisation terroriste à Oussama ben Laden "notre émir bien aimé". AP
ALGER (AP) - Les services de sécurité algériens demandent l'aide des citoyens face au terrorisme: des affiches placardées sur les murs de plusieurs villes les appellent à contribuer à la lutte contre les groupes islamistes armés encore en activité.
"L'évolution de ton pays et sa prospérité dépendent fondamentalement de sa stabilité et de sa sécurité qui sont un devoir pour tous les Algériennes et Algériens, indépendamment de leur différence d'opinion", proclame cette affiche observée vendredi par l'Associated Press, dans la ville de Ain El Hammam en Kabylie (150km à l'est d'Alger).
Trois numéros de téléphone sont indiqués sur ces affiches dans lesquelles est demandé aux Algériennes et Algériens "de fournir toutes les informations en leur possession concernant les mouvements, les actions et les endroits où se trouvent les terroristes qui refusent la réconciliation nationale plébiscitée par tous les Algériens en toute souveraineté".
Ces appels à l'aide en directions des citoyens sont placardés dans les régions où le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) continuent de perpétrer des actes de violence, notamment dans l'est et le centre du pays.
Les services de sécurité algériens avaient eu déjà recours à ce procédé de communication sous l'ère du président Liamine Zeroual, au lendemain de l'adoption par le parlement de sa politique de la Rahma "pardon" en 1996. Une période pendant laquelle le Groupe armé islamiste (GIA) perpétrait des massacres collectifs en Algérie.
Il y a deux semaines, le président Bouteflika avait renouvelé son offre de réconciliation aux groupes islamistes armés en affirmant "notre coeur reste ouvert" à tous ceux qui renoncent à la violence.
Une offre rejetée juste après par Abdelmalek Droudkel dit Abou Mossab Abdel Wadoud, le chef du GSPC qui a renouvelé l'allégeance de son organisation terroriste à Oussama ben Laden "notre émir bien aimé". AP
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