Coopération énergétique algéro-russe
Le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil, n’a pas réussi à convaincre les pays Européens que l’Algérie et la Russie n’ont nullement l’intention de monopoliser le marché gazier Européen après l’accord conclu entre Sonatrach et Gazprom. La partie Européenne a renouvelé avant-hier par la voie du Commissaire Européen à l’Energie son inquiétude soulignant qu’elle allait demander aux deux pays de donner des explications autour des objectifs de l’accord gazier.
Lors d’une conférence de presse animée jeudi passé, Andris Piebalgs, Commissaire Européen à l’Energie, a exprimé les craintes des pays Européens après la signature d’un accord gazier entre les deux pays (Algérie et Russie). Il a indiqué, selon l’agence Italienne « Aki », que l’accord signé peut avoir un impact sur le consommateur Européen, plus particulièrement quand on sait que ces deux pays assurent à eux seuls 35% de la consommation de l’Union Européenne.
Le même responsable a affirmé que n’importe quel accord concernant la réduction de la production ou des prix allait affecter le consommateur Européen, soulignant le fait que la source qui approvisionne l’Europe adopte le caractère du monopole.
Par ailleurs, il a annoncé qu’il allait avoir des discussions avec des responsables Algériens et Russes pour s’enquérir des objectifs et des impacts de cet accord sur l’Europe. Il a regretté le fait que l’Union Européenne, qui est le plus important partenaire des deux pays dans le secteur du gaz, n’ait reçu aucun renseignement concernant l’accord en question.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil, n’a pas réussi à convaincre les pays Européens que l’Algérie et la Russie n’ont nullement l’intention de monopoliser le marché gazier Européen après l’accord conclu entre Sonatrach et Gazprom. La partie Européenne a renouvelé avant-hier par la voie du Commissaire Européen à l’Energie son inquiétude soulignant qu’elle allait demander aux deux pays de donner des explications autour des objectifs de l’accord gazier.
Lors d’une conférence de presse animée jeudi passé, Andris Piebalgs, Commissaire Européen à l’Energie, a exprimé les craintes des pays Européens après la signature d’un accord gazier entre les deux pays (Algérie et Russie). Il a indiqué, selon l’agence Italienne « Aki », que l’accord signé peut avoir un impact sur le consommateur Européen, plus particulièrement quand on sait que ces deux pays assurent à eux seuls 35% de la consommation de l’Union Européenne.
Le même responsable a affirmé que n’importe quel accord concernant la réduction de la production ou des prix allait affecter le consommateur Européen, soulignant le fait que la source qui approvisionne l’Europe adopte le caractère du monopole.
Par ailleurs, il a annoncé qu’il allait avoir des discussions avec des responsables Algériens et Russes pour s’enquérir des objectifs et des impacts de cet accord sur l’Europe. Il a regretté le fait que l’Union Européenne, qui est le plus important partenaire des deux pays dans le secteur du gaz, n’ait reçu aucun renseignement concernant l’accord en question.
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