Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le « FIS » participera-t-il aux prochaines élections législatives prévues 2007

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le « FIS » participera-t-il aux prochaines élections législatives prévues 2007

    Madani Mezrag, ancien émir de l’Armé Islamique du Salut (AIS), a annoncé au nom du groupe de Rabah Kebir la préparation des listes de candidats du Front Islamique du Salut (FIS), pour les prochaines élections législatives et locales prévues pour 2007.
    Il a indiqué que la participation allait se faire dans le cadre d’un petit parti Islamique, il a parlé d’un « certificat d’existence politique », que le reste du FIS allait obtenir après les échéances.

    Mezrag a indiqué que l’équipe qui active politiquement avec Rabah Kebir, responsable du « bureau exécutif du FIS », allait révéler officiellement la participation aux élections dans une conférence de presse très prochainement. L’ex-chef de l’AIS a promis aux militants du parti un retour en force du courant pour les échéances de 2012, en déclarant « des wilayas ont été choisies pour faire office de fiefs pour nos éléments, cinq ans après l’adaptation avec le climat politique... notre représentation sera plus importante ».

    El Khabar a interrogé Mezrag sur la manière par laquelle son groupe allait faire face à la détermination du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Nourredine Yazid Zehrouni, de s’interposer à la candidature des éléments du FIS, il a déclaré « si le pouvoir refuse un de nos candidats, nous n’allons pas rentrer en conflit avec lui, la position du ministre ne lui convient pas, il a porté atteinte à l’Etat et a laissé les gens penser qu’il n’y avait ni Etat ni loi ».

    La même source a ajouté que « Zehrouni est un combattant, il a rendu des services à l’Etat, sa présence à l’Intérieur a évité des catastrophes mais prendre en otage l’avenir de la nation c’est un erreur »

  • #2
    moi citoyen , je suis contre la présence de ce groupuscule à une quelconque partcipation politique , comment un parti responsable de la décennie noire puisse encore existé ?

    Un peu de respect à toutes les victimes .
    Mr NOUBAT

    Commentaire


    • #3
      Ben si ils y participent va falloir allez voté...

      Commentaire


      • #4
        J'espère qu'ils n'y participeront pas

        Commentaire


        • #5
          a partir de quel age on peut voter en Algerie?

          Commentaire


          • #6
            Le « FIS » participera-t-il aux prochaines élections législatives prévues 2007
            c'est la preuve flagrante que la réconciliation n'était pas le bon remede, ils sont de retour, et croyez moi il y en a parmi les algériens qui ont de la sympathie pour ceux-là, l'avenir s'annonce sombre.
            Ainsi va le monde

            Commentaire


            • #7
              Je ne crois pas à un vote FIS au sein de la population. S’ils participent aux élections, ca sera peut être, l'occasion pour le peuple algérien de leurs montrer qu’il n’a aucune sympathie pour eux et de se débarrasser d’eux une fois pour toute.
              (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

              Commentaire


              • #8
                azul
                le fis n'existe plus grace au president BOUDIAF et nous algeriens nous avons apris la lecon
                L'homme ne peut vivre s'il ne s'accepte tel qu'il est, s'il ne se sent pas accepté par la société où il vit, s'il ne peut avouer son nom
                jean amrouche

                Commentaire


                • #9
                  IL Y A DOUZE ANS, L’ATTENTAT DU BOULEVARD AMIROUCHE
                  Quand Haddam revendiquait le crime
                  30 janvier 2007 - Page : 6

                  C’était, tout d’abord, la nuit du mois sacré de Ramadhan et, ensuite, une journée qui marquera à jamais la mémoire des Algériens.

                  Qui pourrait oublier le lâche attentat terroriste, perpétré il y a douze ans, jour pour jour, contre le commissariat central du boulevard Amirouche? Un lundi pas comme les autres. C’était, tout d’abord, la nuit du mois sacré de Ramadhan et, ensuite, une journée qui marquera à jamais la mémoire des Algériens ayant combattu l’intégrisme terroriste à huis clos pendant plusieurs années.
                  Il y a douze ans déjà, depuis ce lundi 30 janvier 1995. L’attentat des plus terribles et effroyables du boulevard Amirouche a fait 40 morts et 286 blessés. Une nouvelle liste d’innoncents sacrifiés dans la lutte contre les ennemis de la République.
                  Ces derniers, le doigt à la gâchette, ont tenté, des années durant, de mettre l’Algérie à genoux. Mais, en dépit des énormes sacrifices, le pays est resté debout, grâce à tous ceux ayant résisté, dans le sang et le feu, contre l’islamisme aveugle. Il était 15h30, la rue était bondée de monde. Des automobilistes, des piétons, mais surtout, un bus «bourré» de voyageurs qui livra les premiers martyrs du lâche attentat de ce 30 janvier 1995 lorsqu’un qu’un jeune, à bord d’une voiture, fonça droit sur le commissariat central et se fit exploser. C’était l’horreur! Le sang partout, des corps carbonisés, l’odeur de chair brûlée, feu géant et fumée noire, véhicules embrasés. Quelques heures plus tard, et alors que le sang des victimes n’avait pas encore séché, Anouar Haddam, revendique l’attentat à partir des Etats-Unis d’Amérique. Douze ans après le lâche attentat, le sieur Haddam retrouve la nostalgie du pays, voulant profiter des avantages de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Il feint d’oublier que cette «charte» exclut les commanditaires, les violeurs et tous ceux ayant les mains entachées du sang des Algériens, ainsi que les personnes à l’origine de la crise.
                  La zone rouge de la «charte» ne peut être franchie au détriment de la mémoire et au détriment des martyrs d’Amirouche, de Djelfa, de Blida et de toute l’Algérie. Car, cette même «charte» a clairement prôné le devoir de mémoire que ces terroristes tentent d’enterrer. Ces derniers ont tenté aussi de caresser le rêve de retrouver les tribunes politiques. Une requête que ni les victimes et encore moins le peuple algérien ne sont en mesure de cautionner. Un nouvel hommage à rendre, une nouvelle larme à verser dans cette affligeante journée et une prière du souvenir. Il y a douze ans, les martyrs du boulevard Amirouche ont retrouvé leurs compagnons de la première heure.

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X