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ALGER (AP) - Les autorités algériennes ont donné samedi le coup d'envoi de la formation d'un corps de 55 inspecteurs de police aux nouvelles techniques d'investigation contre les crimes financiers et économiques. Le directeur général de la Sûreté nationale, Ali Tounsi, a indiqué que cette formation permettra d'"élever le niveau des enquêteurs économiques en Algérie et de monter des brigades d'enquêtes économiques et financières qui oeuvreront, en appoint avec la justice, afin de trancher plus vite et de prévenir contre toute sorte de décadence de la gestion économique et financière des biens de l'Etat". Faisant état de l'"ampleur et la gravité des crimes qui ont touché les biens de l'Etat, telle que l'affaire Khalifa Bank" qui "peut être due à une absence de contrôle et d'inspection", M. Tounsi a estimé qu'"il est temps pour nous de lutter contre ce genre de crime dans le souci de protéger l'économie du pays". Il a ajouté que par cette formation, la justice aura désormais, la possibilité de solliciter ces enquêteurs afin de mener des "investigations financières compliquées et des expertises dans les domaines économique et financier, pour mener à bien les procédures judiciaires et contribuer d'une manière efficace à mettre fin à ce genre de crimes". Pour sa part, le directeur de la PJ, Rabah Ladj, a indiqué que la mission des enquêteurs, après leur formation, consistera en la recherche et la détection des irrégularités dans la passation des marchés publics ainsi que la lutte contre le blanchiment d'argent et la corruption. AP ham/mw
ALGER (AP) - Les autorités algériennes ont donné samedi le coup d'envoi de la formation d'un corps de 55 inspecteurs de police aux nouvelles techniques d'investigation contre les crimes financiers et économiques. Le directeur général de la Sûreté nationale, Ali Tounsi, a indiqué que cette formation permettra d'"élever le niveau des enquêteurs économiques en Algérie et de monter des brigades d'enquêtes économiques et financières qui oeuvreront, en appoint avec la justice, afin de trancher plus vite et de prévenir contre toute sorte de décadence de la gestion économique et financière des biens de l'Etat". Faisant état de l'"ampleur et la gravité des crimes qui ont touché les biens de l'Etat, telle que l'affaire Khalifa Bank" qui "peut être due à une absence de contrôle et d'inspection", M. Tounsi a estimé qu'"il est temps pour nous de lutter contre ce genre de crime dans le souci de protéger l'économie du pays". Il a ajouté que par cette formation, la justice aura désormais, la possibilité de solliciter ces enquêteurs afin de mener des "investigations financières compliquées et des expertises dans les domaines économique et financier, pour mener à bien les procédures judiciaires et contribuer d'une manière efficace à mettre fin à ce genre de crimes". Pour sa part, le directeur de la PJ, Rabah Ladj, a indiqué que la mission des enquêteurs, après leur formation, consistera en la recherche et la détection des irrégularités dans la passation des marchés publics ainsi que la lutte contre le blanchiment d'argent et la corruption. AP ham/mw
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