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L'apartheid linguistique d'une députée du FLN à l'APN

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  • #16
    Envoyé par tawenza
    fatalisme de tous les algériens et maghrebins en zénénal
    Non, je ne le crois pas.

    Tamazight est une langue ancestrale qui a des racines profondes dans cette terre. Pour peu qu'il y ait un peu de volonté de part et d'autre, elle pourra facilement retrouver une vigueur.

    Mais je ne crois pas perso que cette renaissance résultera des ridicules guéguerres idéologiques qui ont malheureusement marqué le champ linguistique en Algérie. L'intelligence, c'est justement de passer à une autre étape plus constructive.
    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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    • #17
      Dieu unique, parti unique, pensée unique, langue unique, neurone unique... Sources d'enrichissement, plus ou moins malhonnête, multiples (!) hehe, pas folle la guêpe.

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      • #18
        J'ai dit la majorité et non tous les Algériens. Restons honnêtes dans les quotations svp.
        le modèle a changé...

        chaque député a pour cible sa clientèle électorale..

        le député qui qadam khadamate jalila lil watan c t avant zéroual..

        maintenant, il donnent la chkara pour être candidat et n'hésitent pas à graisser la patte de l'électeur ! du coup que le pays se dote de textes permettant une harmonie linguistique et qui nécessite l'effort de chacun, ils en ont rien à fiche

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        • #19
          Ne mélangeons pas chaâbane avec ramdane !
          Là, on est dans le volet des langues. Restons-y, svp.
          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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          • #20
            effectivement, soyons pas péremptoires..

            reprocher à un député de s'exprimer dans une langue officielle dans son pays en utilisant le prétexte de la prégnance est un essentialisme qui ressemble très bizarrement au discours déjà connu du fln

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            • #21
              Le berbère était plus spontanément une langue de travail et de communication dans les maquis du FLN canal historique.
              À présents que les maquisards ont laissés la place aux vauriens et aux va nu pieds ,le néo FLN 2.0 ne comprends que la langue de bois et le langage de la corruption et de la bêtise.
              Dernière modification par xenon, 24 juin 2017, 11h34.
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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              • #22
                Azul Pomaria

                forcer ainsi la majorité à apprendre le tamazight va plutot creuser le fossé entre algériens, et obligatoirement cabrer les uns contre les autres.

                Est-ce le but ? résolument non !

                donc, c'est bien à l'état et à l'état seule d'assurer cette traduction.
                Cette député se prétend trilingue, si elle a appris des langues étrangères, elle peut apprendre l'une des langues de son pays. La traduction étant assurée pour tous les débats, si elle ne connait pas le fonctionnement de l'APN alors qu'elle en est à son deuxième mandat, ça montre que sa coloration blonde est cohérente avec son réel niveau et intelligence.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #23
                  Envoyé par fortuna
                  Tamazight est une langue ancestrale
                  Je considère que le Kabyle ne possède pas encore toutes les caractéristiques pour etre classée comme une langue .C'est tout au plus un dialecte ancestral utilisé en Kabylie au meme titre que les autres dialectes qui existent dans les différentes régions d'Algérie .
                  On ne peut sérieusement demander aux algériens d'apprendre le Kabyle ,le Chaoui , le Tamacheq (Touaregs ),le mozabite , le Tagargrent (Ouargla ), la Chelha ( ksours du sud )....
                  Meme au niveau de l'ONU ,ne sont utilisées que six langues officielles .IL faudrait laisser l'Algérien s'exprimer en utilisant sa langue maternelle et développer et généraliser les systèmes de traduction spontanés qui font défauts au niveau des chaines de radios et télévisions algériennes et pas seulement à l'APN .
                  Dernière modification par ELKSOURI, 24 juin 2017, 12h17.

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                  • #24
                    Tout à fait conforme au niveau général de cette assemblée. On ne sait pas échanger, discuter, débattre, mais juste brailler et voler

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                    • #25
                      @el ksouri

                      Exact, selon moi chaques regions devraient "académiser", officialiser et enseigner son propre dialecte en priorité, y compris les différentes derja. Ensuite le mieux serait d'apprendre en complément de sa langue maternelle, une langue de science. Personnellement je suis partisan de l'anglais, mais je comprend l'attachement de certains à l'arabe classique, ou au français. Le syndrome de Stockholm peut être. Donc inutile d'enseigner le kabyle aux derijophones, on est d'accord, mais inutile également d'enseigner l'arabe classique aux kabyles.

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                      • #26
                        ElKsouri

                        On ne peut sérieusement demander aux algériens d'apprendre le Kabyle ,le Chaoui , le Tamacheq (Touaregs ),le mozabite , le Tagargrent (Ouargla ), la Chelha ( ksours du sud )....
                        Si tu connais l'un de ses dialectes, tu peux comprendre et dialoguer avec tous les Berbères même au Maroc ou en Tunisie. Ce n'est pas pour rien que les français composaient les harkas d'arabophones, ils ne voulaient pas que la sympathie s'installe entre les harkis et la population berbérophone en majorité jusqu'en 1962.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #27
                          Ce n'est pas pour rien que les français composaient les harkas d'arabophones, ils ne voulaient pas que la sympathie s'installe entre les harkis et la population berbérophone en vumajorité jusqu'en 1962.
                          __________________
                          Pathétique, comme si il n'y avait pas de harkis parmi les kabyles.

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                          • #28
                            Adame

                            Pathétique, comme si il n'y avait pas de harkis parmi les kabyles.
                            Nul n'a dit le contraire mais à la création des harkas, les français avaient choisit des arabophones par la suite la composition a changé avec le ralliement de Kobus, Bellounis et cie.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #29
                              - les français avaient choisit des arabophones par la suite la composition a changé avec le ralliement de Kobus, Bellounis et cie.

                              - Désolé, c'est à mon corps défendant, je voulais pas participer à cette joute mais cette bourde m'a fait sursauter d'horreur. advienne que pourra: belounis, le fils de bordj menaïel est le premier harki, le premier avec boqus à former les premiers éléments harkis recrutés dans sa région d'origine. galek "par la suite" . Parenthèse fermée.

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                              • #30
                                @leftissi

                                Belounis etait sous les ordres de Messali Hadj. Considérer l'un comme harki et l'autre comme le père du nationalisme algérien, c'est un peu fort de café. On peut parler du bachagua Boualem si tu veux, il parait que son clan a participé avec bravoure à toutes les campagnes militaires françaises depuis le milieu du XIXème siècles. Le phénomène des harkis, zouaves, goumiers, etc.. est antérieur à la guerre d'Algérie. Il est même probablement antérieur à la période ottomane. Le mercennariat à toujours existé en Afrique du nord.

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