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Redha Malek n’est plus : L’intraitable républicain- Un engagement sans faille contre l’intégrisme

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  • #16
    Le mot « jugement » n’est pas approprié ici.. le terme exact, à mon avis, c’est « analyse ».
    Peut-être que Boudiaf était un peu naïf en faisant confiance aux DAFs.. mais je pense que Rédha Malek était plus engagé idéologiquement contre le projet d’une idéologie adverse.. tellement engagé qu’il n’avait pas d’objections à s’associer à ces traitres de DAFs malgré qu’il a vu ce qu’ils ont fait à son prédécesseur feu Boudiaf..

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    • #17
      Oui, bon, "analyse" si l'on veut. Mais, apparemment, on y est toujours avec, ce qui n'arrange rien, des arguments péremptoires à l'emporte-pièce.

      Donc, on revient à la case départ.
      Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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      • #18
        Ath yerhem Rabi.

        Tout n'est pas noir ou blanc.

        Il a pris la seule décision raisonnable à ce moment là.

        Ali Belhadj avait déclaré qu'une fois au pouvoir, il ne le lâcherait plus et qu'il se transformerait en khmer rouge (ou plutôt vert).

        Il a promis de massacrer 3 millions d'Algeriens s'il le fallait. Un général a répondu qu'il ferait la même chose pour l'en empêcher.

        Qui a dit ça le premier : on s'en fout.

        Le fait que des pourris du système ont profité de l'interruption du processus pour se maintenir n'annule en rien le fait que c'était la seule disponible.

        Comme je l'ai dit ailleurs, sur 13 millions d'électeurs, il y a eu une abstention monstre. Les fissistes étaient au maximum de 1 à 1,5 millions maximum si l'on tient compte du fait qu'ils étaient les seuls à s'être déplacé et qu'ils ont voté également pour leur femme et leurs parents analphabètes.

        L'armée n'aurait jamais pris le risque de soutenir l'arrêt du processus si l'écrasante majorité du pays ne l'avait pas soutenue.

        Le pays était face à une subversion sans précédent.

        Une subversion notamment soutenue par Mitterrand à l'époque qui dénonçait cet arrêt du processus électoral.

        Avec ça, les hizb frança n'étaient pas ceux que l'on croit. Anouar haddam revendiquait les meurtres des USA, Rabah KEBIR finançait à partir de l'Allemagne, Londres était une plaque tournante pour le recrutement, Paris était un soutien politique et de désolait hypocritement de l'arrêt du processus.

        François GEZE et compagnie passaient leur temps à vomir sur le pays.

        Il faut être aveugle, pour ne pas comprendre les enjeux.

        l'Algérie était à ce moment là dans la même situation que la Libye. Les soit disant "islamistes" libyens qui ont appliqué les fetwas sionistes de BHL et Sarkozy.

        Tous les algériens savent qui est venu les tuer la nuit tombée.

        Ce n'est sûrement pas Redha MALEK Allah yerhem.

        Mais des mercenaires idiots utiles qui ont tentés (manipulés ou pas) de faire un sale boulot pour des intérêts extérieurs à l'Algérie.

        L'excuse de la religion était un prétexte pour une jeunesse désoeuvrée et facilement malléables.

        Svp arrêter de défendre des gens qui ont enlevé, violé, éventré des femmes, massacré à tour de bras.

        Ceux qui ont vécu cette période savent très bien qui a fait quoi.

        Ce n'est pas en répétant des mensonges même lors du décès d'un homme qu'ils deviendront vérités.
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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