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Il violait sa nièce dans la mosquée/ Un imam pédophile arrêté à Batna
Voici un article ********* avec El watan comme source datant du 1 er juin dernier qui parle des enfants maltraités et de l'inceste entre autres maltraitances en Algérie.
Tout cela évoqué par l'observatioire des droits de l'enfant NADA qui a mis en place une cellule d'écoute et un numéro vert (je suppose, mais je ne sais pas si ca s'appelle comme ca aussi en Algérie) pour les victimes, c'est le 3033, je le note pour info on ne sait jamais si cela peut rendre service.
Je trouve que c'est une très bonne chose que les langues se dénouent enfin et qu'on pense enfin à l'intérêt des enfants avant de vouloir préserver les apparences des adultes.
Voici l'article:
La Journée internationale de l’enfant, le 1er juin, est fêtée annuellement par l’Algérie. Le réseau Nada a tenu à cette occasion une conférence pour faire le bilan des avancées et des lacunes concernant les droits de l’enfant.
A l’instar de tous les pays du monde, l’Algérie célèbre aujourd’hui la Journée internationale de l’enfant. Mais dans quelle situation a lieu cette célébration ? Telle est la question à laquelle a tenu à répondre le Réseau algérien pour la défense des droits de l’enfant Nada, lors d’une conférence, hier, au siège de son centre d’écoute.
Le bilan du programme «Je t’écoute» lancé essentiellement via le numéro vert 3033 fait état d’une situation très délicate de ces petits Algériens, dont les droits font l’objet d’abus au quotidien. En effet, les éléments du Réseau Nada ont recensé quelque 20 917 appels durant l’année 2016 et les premiers mois de l’année en cours. Sur ce chiffre, 5171 enfants ont appelé pour dénoncer une maltraitance physique et morale. Les agressions et violences physiques ont représenté quelque 934 appels.
Les cas d’enfants victimes de consommation de drogue ont, quant à eux, totalisés 330 appels. Quelque 876 enfants ont appelé à l’aide le Réseau Nada pour agression et violence en milieu scolaire, 55 autres pour inceste et 575 provenant d’enfants réfugiés ou demandant l’asile. Le bilan du numéro vert du Réseau Nada fait état également de 8765 appels d’enfants impliqués dans des conflits familiaux et des divorces, 321 autres appels d’enfants victimes de mariages coutumiers ou «orfi», 121 appels d’enfants nés sous X, de mères célibataires ou en kafala.
Parmi les cas les plus touchants cités lors de cette conférence, celui d’une mineure victime d’inceste dont l’auteur n’est autre que son frère et dont les parents ont refusé d’agir pour la protéger. Cette jeune fille, qui sombrait dans une dépression majeure, a fait une tentative de suicide au sein même d’une cellule d’écoute sociale.
L’intervention immédiate d’une psychologue et d’un médecin a pu éviter le pire à cette jeune fille en détresse. Un autre cas tout aussi touchant est celui d’un petit garçon qui a été victime d’une tentative d’abus sexuel par son voisin paraissant pourtant «pieux» et en qui il avait entièrement confiance. Le drame de cet enfant ne s’arrête pas là, puisqu’après avoir fui ce malfrat et sous le choc, ce petit perd la mémoire durant plusieurs mois.
Pour Abderrahmane Arar, président de ce réseau, la situation est grave et nécessite des actions ciblées à grande échelle pour mieux protéger cette frange fragile de la société. «Les cas sont tous aussi choquants. Il est complètement inconcevable de tolérer la violence sous quelle que forme qu’elle soit, encore plus lorsqu’elle est perpétrée par les personnes qui sont censées être les premiers responsables de la protection de l’enfant.
Je vise par ceci les parents ou les proches de la famille qui sont souvent impliqués dans les violences physiques et morales très sérieuses sur l’enfant», déclare-t-il avant d’annoncer le programme d’action du Réseau Nada pour l’année en cours, et ce, jusqu’en 2022. «Notre programme repose sur trois principaux axes.
Le premier est la vulgarisation des textes régissant les droits de l’enfant au sein des 150 associations formant notre réseau et déployées sur 15 régions du pays, ainsi que la sensibilisation de nos partenaires sociaux et juridiques quant au respect de la décision de l’enfant. Notre deuxième axe est l’amélioration de la qualité de la protection sociale et judiciaire de l’enfant. Justement dans ce sens, nous demandons que l’âge de responsabilité juridique de l’enfant soit repoussé de 10 jusqu’à 13 ans et que tout l’appareil juridique soit également spécialisé dans les droits de l’enfant dont le procureur et l’avocat», explique M. Arar.
Le troisième axe est le renforcement du réseau Nada par une restructuration sur les plans organisationnel et fonctionnel. «Partant de cette année déjà entamée, et ce, jusqu’à 2022, nous voulons atteindre plusieurs objectifs, dont, essentiellement, la diminution jusqu’à 40% des violences sur les enfants, la formation et l’implication dans les droits de l’enfant de 150 groupes de parents par an, ainsi que la mise en place d’un système de signalement renforcé et surtout efficace», ajoute notre interlocuteur.
Concrètement, le Réseau Nada compte durant cette période lutter pour l’amendement de la loi 09-02 du 9 mai 2002 relative à la protection des personnes en situation de handicap, surtout les enfants, apporter des modifications à la loi de travail notamment concernant l’exploitation économique des enfants dans le marché parallèle et le code pénal dans son volet sur la responsabilité juridique des enfants.
Asma Bersali
Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"
el watan raconte n importe quoi,proteger des enfants ne necessite pas de moyens financiers,c est le role des parents de proteger leur enfants sinon qui le fera ,meme dans les pays sous-developpes on protege les enfants.
il y a une perte des valeurs morales dans ce pays,c est ca le drame.
Sabahe On a eu des températures à 44 et 47 ici à Alger ces derniers jours
Et crois moi tu ne peux pas imaginer comment tu suffoques
C'est ça qui leur faut quotidiennement oeilfermé
Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument ..
La peur ne se fuit pas, elle se surmonte ..
L'amour ne se crie pas, il se prouve.
Ou la castration purement et simplement !
Il faut surveiller et enquêter sur ces lieux où les enfants sont confrontés aux adultes . La confiance aveugle sans contrôle des parents et des autorités doit être bannie , la fonction d'Imam ou d'instituteur ne doit pas être confiée à une personne sans un préalable examen de moralité et un permanent contrôle dans ces lieux qui échappent à la vigilance des autorités compétentes.
Les religieux ont tendance à camoufler ces crimes et à amenuiser les effets sur les enfants.
Jamais plus la confiance aveugle.
Ce ne son plus des prisons mais des airs de repos ou la racailles ressort avec quelque kilos de plus , et des "affaires" qui marche toujours . J'en connais meme qui on eu droit au logement social alors qu'il etait en prison pour un enieme delit .
Vivement les anciennes methodes .
Hacha wled Batna echaouia lahrar, cet Imam pervers ne les représente pas et jamais il ne salira l'honneur de cette terre berbère.
Comme si on avait besoin que tu le precise .
Ce pervers , si pervers ya , ne represente personne , ni sa region , ni les siens , ni la fonction qu'il occupe .
Je le précise quand même pour signifier aux batneens de ne pas faire confiance aux religieux dans les mosquées et les lieux d'apprentissage du coran.
Je le précise pour signifier aux islamistes de contrôler dans ces lieux où des enfants sont menacés et non pas venir dans les plages pour protéger des adultes qui peuvent se défendre.
Les adultes n'ont pas besoin de protection morale, ce sont les enfants qu'on devrait défendre et protéger.
Ici , l'imam salit beaucoup plus la religion et la fonction que la région ou la famille.
Je ne comprends pas cette histoire des gens qui salissent tel ou tel religion ou idéologie. Ceux avec des petits cerveaux qui jugent une idéologie sur la base des actes d'une personne ou deux comptés parmi ses adeptes , ne doivent pas ête retenus comme reference et leurs avis ne valent pas un fifrelin.
Pour les non musulmans, l'image de l'islam est deja sale. Sinon ils auraient du croire le prophète et son message.
Pour ma part je m'en fiche ce qu'on dit sur nous. S'ils veulent connaitre l'islam, alors ses references sont connus, publiés et diffusés partout. Ce n'est pas une histoire d'un pervers de chez nous qui va rajouter quoi que ce soit à l'équation.
La religion n'est pas seulement apprendre par coeur le coran ou ce qui est diffusé et publié, la religion n'est pas l'accoutrement vestimentaire ou l'apparence hypocrite , ce sont des valeurs qui doivent habiter les croyants et des responsabilités vis à vis des faibles et des enfants.
La religion n'est pas douter des crimes perpétrés par des soit disant religieux qui soit violent des enfants ou endoctrinent des adolescents pour les envoyer comme chair à canon. La religion c'est ne pas justifier de tels actes par des traditions ancestrale du moyen âge , quant la fille devient femme des ses premières règles ou ses premières transformations physionomiques. Il faut une réactualisation de l'âge de l'enfance dans l'esprit des musulmans et une meilleure protection morale.
Cet acte n'est pas isolé ou rare , chaque fois ce sont ceux qu'on ne soupçonne pas qui nous surprennent et nous étonnent par leur perversité et leur férocité anomale.
Il ne s'agit plus d'un acte isolé mais dune tendance religieuse perverse.
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