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Sidi Bel Abbès : Un wali limoge sa directrice de l’Éducation, après avoir refusé d’arranger le bulletin de notes de

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  • #46
    essalamou 3alaikoum

    le problème, c'est que ces walis ne sont pas des élus.
    S'ils étaient des élus, ils doivent nécessairement être de la région qu'ils représentent.

    l'état algérien devrait se décentraliser et laisser le pouvoir à ceux qui sont dans la proximité.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #47
      le problème, c'est que ces walis ne sont pas des élus.
      effectivement cher Bachi. Je crois que le minimun pour ces parachutes de venir de la region.

      Imagine un Wali originaire de Annaba qui est wali a Biskra. Il s'en fout de la region. Il n'y connait rien. Ni sa Degla, ni sa geographie.

      Et son titre pompeux '' WALI WILAYAT BISKRA''.

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      • #48
        Donc tu n'as rien contre qu'un Arabophone qui ne connait rien a une Daira dans une montagne en Kabylie, parachute en Chef de cette daira?!
        tu confonds commis de l'état et parachuter n'importe qui !

        on a eu un exp ! "bombardier" wali de bejaia a été viré par la population

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        • #49
          on a eu un exp ! "bombardier" wali de bejaia a été viré par la population
          Bravo pour la population. Un Wali doit connaitre et etre de la region. Je trouve cela le minimum. J'ai jamais compris ces walis etrangers qu'on les parachute de wilaya X vers Wilaya Y.

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          • #50
            Une certaine catégorie d'algériens sont avide du sensationnalisme , ils s'efforcent de croire à des ''fausses nouvelles''. Leur cerveaux est si robotisé par ''guel wa ma guel''qu'ils sommeillent toute leur vie. Pourquoi cette meme catégorie d'algeriens ne fasse pas une grève de lire les journaux pendant 1 mois, ne plus aller au café , prier chez sois exception de la prière du vendredi, faire du sport, arrêter de fumer, arrêter de penser à la pensée unique, et laisser ce wali faire son devoir qui de veiller a la bonne gestion de son équipe. Si la directrice a eu des probleme avec le wali qu'elle dépose un plainte aupres des autorités de la justice.
            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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            • #51
              Bonjour a tous le monde, je suis les envenimements de cette histoire.Si c’est la réalité, pourquoi les belabbesien(nes) ne sortent pas en rue pour apporter leurs soutient a cette dame,

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              • #52
                Bel Abbesien!

                Mais les Bel Abbesiens sont parti en 1962.

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                • #53
                  Sidi Bel Abbès - Versions contradictoires autour du limogeage de la directrice de l’éducation

                  Au départ, une info balancée sur les réseaux sociaux : Nadia Edjekouane (54 ans), directrice de l’éducation de Sidi Bel Abbès, est limogée par le wali. La Toile s’emballe à la veille de la rentrée des classes, dont le coup d’envoi a été donné le 6 septembre.

                  Plusieurs sites relayent l’information et crient au «scandale». Selon le site d’information Tout sur l’Algérie (TSA), qui cite une source syndicale, «le wali a limogé la directrice de l’éducation pour avoir refusé d’arranger le bulletin de notes de son fils». «La directrice a été démis de ses fonctions après avoir refusé d’arranger le bulletin scolaire du fils du wali (….) C’est un licenciement abusif. C’est scandaleux», s’indigne cette même source syndicale.

                  C’est ce refus qui aurait provoqué le limogeage de la directrice de l’éducation, est-il encore précisé. Algérie 1, autre site d’information, dénonce le «népotisme et l’abus d’autorité» du wali à qui il impute ce limogeage. Boualem Amoura, secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef), confie à Algérie 1 que «le wali a intimé l’ordre à la directrice de l’éducation d’augmenter les notes de (son) fils pour lui faire franchir la moyenne de 10 sur 20». «La responsable de l’éducation (lui) a alors fait savoir que cela ne relevait pas de ses prérogatives (…).

                  Furieux, le wali a décidé de relever de ses fonctions la directrice de l’éducation», révèle ce site d’information. Mais dans les faits, la décision de fin de fonction signifiée à Nadia Edjekouane remonte au 27 août dernier. Cette décision a été prise dans le cadre d’un mouvement opéré par la ministre de l’Education nationale, Nouria Bengharbit, et ce, conformément aux prérogatives que lui confère la loi. En plus des mutations entre des directeurs d’une dizaine de wilayas, il a été mis fin aux fonctions de quatre directeurs et à la promotion de cadres de l’éducation à des postes supérieurs. Mme Edjekouane fait justement partie des directeurs démis de leurs fonctions dans le cadre de ce mouvement. Elle a été remplacée à ce poste par le directeur de l’éducation de Jijel. Selon le ministère l’Education nationale, ce mouvement partiel a touché 18 directeurs en poste dont 13 ont été mutés dans d’autres wilayas. Contacté hier, Mme Edjekouane s’est abstenue de tout commentaire sur les raisons de ce limogeage, tout en affirmant ne pas être au courant de la vague médiatique suscitée par cette affaire. «Je n’ai aucun commentaire à faire sur cette affaire.

                  Je me réfère, présentement, à la seule appréciation de Madame la ministre», a-t-elle indiqué.
                  Pour le wali de Sidi Bel Abbès, Tahar Hachani, les allégations relayées par certains médias et réseaux sociaux sont «inexactes» et «trompeuses». Contacté jeudi, le wali a d’abord précisé que la décision de fin fonction de la directrice de l’éducation a été prise par sa tutelle. «En ma qualité de premier responsable de la wilaya, il est de mon devoir de veiller au respect des décisions prises par la tutelle, d’autant plus qu’il s’agit d’un secteur très sensible, en l’occurrence celui de l’éducation, qui, de surcroît, a trait à l’avenir de nos enfants», a-t-il ajouté. Selon lui, la directrice de l’éducation a, après son limogeage, fait obstruction à l’installation du nouveau directeur en refusant de libérer le logement de fonction qu’elle occupait. Interrogé sur le refus qu’aurait opposé Mme Edjekouane à une demande d’arrangement du bulletin de notes de son fils, notre interlocuteur a affirmé ne pas vouloir polémiquer sur ce sujet. Et d’ajouter : «Je considère que l’essentiel est d’avoir assuré un déroulement normal de la rentrée scolaire à Sidi Bel Abbès. En ce qui me concerne, les raisons de tout ce remue-ménage sont claires.»

                  Abdelkrim Mammeri
                  El Watan
                  "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                  • #54
                    le niveau ne doit pas voler haut vu par qui et comment les walis sont només ...
                    Mais dans les faits, la décision de fin de fonction signifiée à Nadia Edjekouane remonte au 27 août dernier. Cette décision a été prise dans le cadre d’un mouvement opéré par la ministre de l’Education nationale, Nouria Bengharbit, et ce, conformément aux prérogatives que lui confère la loi.

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                    • #55
                      Alors qui croire, j'ai passer deux semaines a sidi bel abbes (du22Aout au 05Sept17), et pourtant croyez moi, la radio trottoir va vite.rien entendue.

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                      • #56
                        [QUOTE]Alors qui croire, j'ai passer deux semaines a sidi bel abbes (du22Aout au 05Sept17), et pourtant croyez moi, la radio trottoir va vite.rien entendue./QUOTE] Qui est fiable? radio trottoir ou radio officiel? that's the question!
                        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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