Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des intellectuels censurés

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Daho Djerbal : la nostalgie de l’époque coloniale est, malheureusement, réelle en Algérie
    L'échec de l'Algérie indépendante joue malheureusement beaucoup en faveur de cette nostalgie ( pour moi très théorique).
    Les Algériens qui périssent en haute mer pour fuir cet échec est là pour attester de cette envie de la France, de l'Europe, de l'occident.

    Mais de vrais nostalgiques, des Algériens ayant connu l'Algérie française, je pense qu'il n'y a que la classe des bourgeois, c'est à dire une frange tellement petite qu'elle est insignifiante, qui puisse vraiment regretter cette Algérie là.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

    Commentaire


    • #17
      Daho Djerbal : la nostalgie de l’époque coloniale est, malheureusement, réelle en Algérie
      des arabsites ou des intégristes ?!

      ça doit être hizb franssa ...qui voit chez les autres la "complotite" et est le premier à voir le complot arabo-islamiste

      Commentaire


      • #18
        familia voici pour aissa kadri





        Aissa Kadri se demande si l'école dans l'algérie coloniale émancipait ??oeilfermé

        normal, venant du directeur de l'institut maghreb-europe sis à paris

        Commentaire


        • #19
          "revisitée"---> réécriture quoi

          aissa kadri



          Soixante ans après « la Toussaint rouge » (1er novembre 1954), date du début de l'insurrection algérienne, l'historiographie connaît un renouvellement des questionnements. Cette dynamique de recherche est globalement portée par une jeune génération d'universitaires et de chercheurs...

          Commentaire


          • #20
            tawenza,

            Je ne comprends pas où tu veux en venir.
            Une convergence d'analyses entre historiens des deux rives n'est pas nouvelle, à quelques - bon gré mal gré - instrumentalisations près (la réhabilitation de Messali, Stora y est pour beaucoup).

            À part les historiens de service et de droite, les Yves Courrière, Vidal-Naquet, Ageron, Julien, Harbi, Meynier, Kaddache n'ont pas connu de divergences de fond. Les jeunes loups de l'histoire semblent un peu plus détachés et encore moins normatifs : Grandmaison, Rahal, Blanchard... Quoique le premier est plus engagé.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

            Commentaire


            • #21
              l'algérie a adoubé einaudi qui est mort paix à son âme.. je ne connais pas les circonstances...

              pour le reste je suis désolé de te dire que tu me surprends..

              mahfoud kaddache et yves courrière n'ont jamais tiré le tabernacle dans le même sens...

              le sujet est fastidieux et nous autres sommes svt dans le bricolage..

              voic l'approche nouvelle à paris

              https://www.dailymotion.com/video/x2akfyq

              Commentaire

              Chargement...
              X