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Le combat de la Femme algérienne : Un exemple pour l’humanité

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  • #31
    Azul Brume

    Pourquoi pas femme tout court?…J’ai juste rappelé que ceux qui sont atteints de voilomanie peuvent s’en donner à cœur joie. L’homme aussi peut se voiler, si le voile est si important pour lui. Peut-être même qu’il contribuera à le placer sur un trône, puisque apparemment l'habit est plus important que la tête de celui qui le porte
    Ceux atteints de voilomanie aiguë semble très souvent oublier que logiquement une femme dans un pays véritablement musulman ne devrait pas avoir besoin de se couvrir. Si tous les musulmans adoptaient le bon comportement, les femmes seraient en sécurité et nul homme n'aurait de mauvaises pensées. Ce sont les hommes pas très sur de maîtriser leurs pulsions et leurs neurones qui font la plupart du temps une fixation sur le voile, ce n'est pas la femme qu'ils veulent protéger mais eux.

    une femme comme nos Moudjahidas qui montrent bien que chacun doit rester à sa place et que l'Algérie n'est pas le Yemen ou la Syrie. Exemple parfait avec cette photo historique :
    Le contexte est très différent. Les moudjahidate se battaient pour une même cause très noble et avaient les mêmes convictions et les mêmes ardeurs qui décuplaient leurs forces, pour atteindre le même but. À mon avis, se tourner constamment vers le passé ne fait pas avancer.
    Le passé permet de trouver les clés qui expliquent les événements d'aujourd'hui. Si certains ont tout fait pour écarter et museler les Moudjahidas ce n'est pas pour rien. Tout peuple a besoin de références pour comprendre que rien ne se donne mais tout se gagne. Nos Moudjahidas ont aussi lutter pour la dignité et le respect des Femmes Algériennes. Voilée ou pas, peu leur importait, l'important était de montrer que malgré la propagande coloniale qui les décrivaient comme sales, vulgaires et incultes, elles étaient pour la majorité totalement l'opposé du portrait qu'ils voulaient montrer. Il ne faut pas croire qu'aujourd'hui les mentalités ont changé, la plupart des occidentaux dit intellectuels les pensent soumises et incapables de réfléchir par elles mêmes. Une première ministre en Algérie serait une onde de choc dans le monde entier pour montrer que les algériens ne sont pas aussi stupides et arriérés qu'ils le supposent. Avec l'islamophobie qui se répand en Europe, il faut des actions fortes pour montrer que l'Algérie n'a de leçons à recevoir de personne.
    Dernière modification par zwina, 17 novembre 2017, 19h20.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #32
      en l'attente d'un avis franc sur la question, je vous tien aussi compagnie alors.

      rani djebt chouiya rafitayma

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      • #33
        GLP
        Dans ce cas, une voilée qui ne l'imposerait à personne (pour simplifier) ne doit pas poser de problème à quiconque ?!
        Tant que son régime n’est pas dictatorial, pourquoi pas? Mais comme tous les dirigeants dans tous les pays du monde, elle ne fera jamais l'unanimité. Cela va de soi...

        zwina,
        la plupart des occidentaux dit intellectuels les pensent soumises et incapables de réfléchir par elles mêmes. Une première ministre en Algérie serait une onde de choc dans le monde entier pour montrer que les algériens ne sont pas aussi stupides et arriérés qu'ils le supposent
        Désolée zwina de ne pas partager ton exaltation…et ta fougue à vouloir prouver…. ce que tu veux prouver. Perso, je me fiche éperdument de ce que pense l’occident de l’Algérie, et l’Algérie, n’a rien à prouver à personne ou à n'importe quel autre pays, qu’à elle-même…
        Bonne soirée...

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        • #34
          Envoyé par brune
          Tant que son régime n’est pas dictatorial, pourquoi pas
          C'est alors une question de ce qu'elle présente et aspire à mener à terme comme chantier (de gouvernance ou autre) et non de voile. et c'est ce qui doit être considéré par les concernés électeurs.

          Si tout le monde ne bloquait pas sur le bout de tissu, on aura permis déjà à beaucoup de potentiel de s'exprimer dans notre "sort".

          beslama.
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          • #35
            Pourquoi pas Benghabrit au poste de PM en 2019.
            Avec Khalil ils formeront un equipe tres distinguée.
            ...et maintenant?

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            • #36
              dans un pays véritablement musulman ne devrait pas avoir besoin de se couvrir. Si tous les musulmans adoptaient le bon comportement, les femmes seraient en sécurité et nul homme n'aurait de mauvaises pensées.
              Orwelien.
              ...et maintenant?

              Commentaire


              • #37
                hiemsal:
                Envoyé par hiemsal
                Envoyé par GLP
                C'est alors une question de ce qu'elle présente et aspire à mener à terme comme chantier (de gouvernance ou autre) et non de voile. et c'est ce qui doit être considéré par les concernés électeurs.
                Pourquoi pas Benghabrit au poste de PM en 2019.
                Dont le chantier serait.... ? et n'hésite pas à en décrire les grands points concrètement et surtout comment les mener à terme.
                Avec Khalil ils formeront un equipe tres distinguée.
                Si ça avait de la valeur, on garderait notre Boutef pour sure, il est si ... distingué que je mettrai mon petit déj en jeu qu'on me trouve un de comparable actuellement.

                Envoyé par hiemsal
                dans un pays véritablement musulman ne devrait pas avoir besoin de se couvrir. Si tous les musulmans adoptaient le bon comportement, les femmes seraient en sécurité et nul homme n'aurait de mauvaises pensées.
                Ca aurait été parfait comme raisonnement, si ce n'est le minuscule grain de sable d'oublier qu'il n'est nullement dit en Islam que le/la musulman(e) soit un Ange, ma3ssoum mina al khataâ (معصوم من الخطأ, infaillible). D'ailleurs, il n'est nullement demandé aux anges de se voiler ni de baisser le regard. S'il en fallait une preuve que l'Islam prend bien nos moindres spécificités humaines en considération.

                comme quoi....
                orwellien, orwellienne. Relatif à G. Orwell ; qui évoque la surveillance généralisée des individus et l'univers totalitaire de son roman 1984.
                Comme quoi il ne suffit pas d'y raisonner avec un processeur aussi parfait puisse t il être, il faut de bonnes données complètes sur le sujet.

                Il ne respecte pas ses propres principes fondant sa parfaite mécanique, sa surveillance généralisée et son totalitarisme souffrent de tels trous que l'engrenage se retrouve bloqué par de misérables grains de sable qu'un écolier d'une école Coranique le lui aurait évité s'il était neutre dans son intérêt au sujet, et ce, sans avoir besoin de la panoplie d'outils de la Haute Pensé, mais de simple bon sens et une simple ardoise et craie. C'est devant ce genre d'anecdotes que je me rappel à quel point je suis fondamentalement convaincu de la valeur de ces écoles.
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                • #38
                  Bonjour GLP,

                  revois un peu ton poste 37 et tu trouveras des erreurs par rapport aux citaions. Tu me fais ecrire ce que je n'ai pas ecris mon ami. priere de revoir.

                  Citation:
                  dans un pays véritablement musulman ne devrait pas avoir besoin de se couvrir. Si tous les musulmans adoptaient le bon comportement, les femmes seraient en sécurité et nul homme n'aurait de mauvaises pensées.
                  Orwelien.
                  seul le mot en gras m'a fait pensé a G.Orwell.
                  ...et maintenant?

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                  • #39
                    Bonjour,

                    En effet hiemsal, il y a eu confusion du fait qu'on néglige de citer l auteur, c est un des aléas d un échange par écris et je m en excuse.

                    Je souligne juste ce que j'y ai mentionné, qu'indépendamment des auteurs, c'est le raisonnement que je commente.

                    En tous cas je suis ravi par ta suggestion (Orwell), j'y ai découvert un personnage assez intéressant a lire par certain aspects, merci.

                    Excellente journée a toi.
                    Dernière modification par GLP, 18 novembre 2017, 07h58.
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                    Commentaire


                    • #40
                      Brume

                      Désolée zwina de ne pas partager ton exaltation…et ta fougue à vouloir prouver…. ce que tu veux prouver. Perso, je me fiche éperdument de ce que pense l’occident de l’Algérie, et l’Algérie, n’a rien à prouver à personne ou à n'importe quel autre pays, qu’à elle-même…
                      Tu t'en fiche parce que tu ne te rends pas compte du poids de l'opinion internationale dans l'avenir de l'Algérie. Sans le soutien international l'indépendance de l'Algérie n'aurait jamais eu lieu, dans tout projet politique il faut de la stratégie pour attirer les bons alliés et faire reculer les loups et les requins qui profitent de la moindre faille d'un système. Le combat des femmes Algériennes peut être un atout puissant pour éloigner les vautours et les nostalgiques des colonies. Zohra Drif Bitat, par exemple, a réalisé de nombreuses interventions à l'étranger pour expliquer la réalité du combat des femmes Algériennes, à chaque fois c'est le puissant lobby colonial qu'elle affrontait, ils la calomniaient et tentaient de faire interdire ses conférences. L'Occident a besoin d'entendre certaines vérités pour éviter que l'Histoire se répète. Et l'Algérie a besoin d'atouts forts pour ne plus se préoccuper que des algériens plutôt que subir des pressions d'un lobby qui utilise la moindre faiblesse.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #41
                        Le combat de la Femme algérienne : Un exemple pour l’humanité
                        je confirme,mais ce combat a été étouffé dans l’œuf depuis 62 par le masochisme algérien.

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                        • #42
                          Le combat de la Femme algérienne : Un exemple pour l’humanité
                          peut-on nous donner quelques exemples sur ce combats que la femme algérienne a exercer qui mérite bien l'internationalisation? vous allez nous retiré ce disque rouillé de la moujahidate?

                          il y'a des exemples fou qu'aucune femme arabe ne peut se mesuré sauf par exception la femme palestinien.


                          -pour s'opposé a une décision de couper une arbre très ancienne une américaine a passé deux ans sur cette arbre pour exprimé son refus a cette décision jusqu'a ce qu'elle a obtenu une réponse satisfaisante de renoncerr a l'arrachement de cette arbre,qu'elle a décidé de descendre.


                          -une jeune fille américaine agé de 26 ans a été écrasé par un bulldozer sioniste par ce qu'elle s'est placé au millieu de son chemin pour l'interdire de détruire une maison d'une famille palestinienne. ca c'est du l’internationalisme elle aurait peut vivre sa vie la d'ou elle vient paix a son ame
                          L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                          Albert Einstein

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                          • #43
                            dentdesagesse

                            un exemple parmi des milliers :

                            À peine adolescente, Djamila ouvre les yeux sur la politique. « J’avais rencontré Kheira Aboubakr, une enseignante de français qui m’avait sensibilisée sur le mouvement national. Elle était une militante de l’UDMA, le parti créé par Ferhat Abbas en 1946, son père était PPA. Mais mon père ne voulait pas que je m’engage, estimant que les femmes n’avaient pas leur place dans ce combat, se justifiant par les pesanteurs traditionnelles… mais malgré ça, je suis rentrée à l’UDMA. En 1950, mon père avait hébergé à la maison le savant Mahmoud Bouzouzou, apparenté à ma mère, qui me conseillait lorsque le soir j’effectuais mes devoirs. Je n’ai jamais deviné l’objet de sa présence chez nous. Lorsque la Révolution a éclaté, c’est Souidani Boudjemaâ qui a contacté notre famille. C’est ainsi que mon frère, Djamel Eddine, s’est engagé à Dely Ibrahim. Il n’y avait que des colons, tous ultras – seulement cinq familles algériennes ».

                            Les ultras opteront par la suite pour l’équipée suicidaire de l’OAS. Djamila enrageait, elle voulait aller au combat quoi qu’il en coûtait. Mais pour qu’un cri existe, il faut une oreille pour l’entendre. Et Djamila a dû utiliser un stratagème pour atteindre son objectif. « Un jour, j’avais entendu mon frère Djamel Eddine parler à sa femme, lui signifiant qu’il avait un besoin pressant d’argent, qu’il était à plat. Je lui ai proposé mes économies, mais à une condition, celle de me faire rentrer dans le nidham. Il en a discuté avec Mustapha Chelha, responsable du FLN, qui a accepté. ‘‘On va l’engager, car elle ressemble à une Italienne’’ avait-il commenté. C’est comme ça que j’ai commencé avec Abdelkrim ‘‘mon frère’’, Djamel Eddine et les familles Cherifi, Hafiz, Zenagui… Au départ, on était trois postulantes. Nadia Hafiz, Nassiba Malki et moi-même. Le nidham n’avait besoin que de deux et misait sur une fille connaissant parfaitement La Casbah. Par chance, je remplissais cette condition, car sous la responsabilité de Chelha, j’y allais souvent, notamment chez Zoubir, délégué des Habous, et responsable du bureau de bienfaisance musulman. Je faisais des enquêtes pour aider les nécessiteux. En vérité, c’était une couverture, j’activais directement. Malheureusement, Mustapha, monté au maquis, avait été tué par le groupe de Kobus ».

                            L’engrenage de la guerre

                            « Après la grève des 8 jours, La Casbah et Alger étaient décimées. La bleuite faisait rage. Pour réorganiser, il fallait trouver des gens sûrs. J’ai milité aux côtés du frère de Nassiba Malki et de Rabah Doukh. Avec ce dernier, je m’occupais à distribuer l’argent aux familles de chouhada ou celles dont les parents étaient au maquis ou en prison. J’ai ensuite activé avec Sid-Ahmed Malki pendant une année. Je dois rendre hommage, au passage, à la famille Karabagli d’El Biar qui nous avait hébergés pendant 8 jours. »

                            En 1958, Djamila qui activait dans le Sahel est au maquis dans la zone 1 de la Wilaya IV, du côté de Corso. Mais cela ne dura pas, car c’était difficile et les femmes étaient facilement reconnaissables par les indics, « alors on m’a proposé le Maroc ou la Tunisie pour un repli stratégique. J’ai refusé en arguant que la lutte était ici en Algérie et nulle part ailleurs ».

                            Djamila renoue avec la ville et cherche un contact qu’elle trouvera en la personne de Khelil Boudjemaâ. Elle reprend de plus belle avec Si Djamel Bennaï, Boualem la France, Si El Madani… On passera sur les détails de sa longue militance, à son corps défendant, le péril aux aguets. Cette fille, désormais adulte, n’a envie de rien et besoin d’Algérie. Alors elle s’engage pour un gros coup. Elle est chargée de poser une bombe à la brasserie des Facultés d’Alger. « C’était en septembre 1960, j’avais choisi l’endroit le plus fréquenté – œil pour œil, dent pour dent.

                            Les images des enfants algériens déchiquetés, des familles entières endeuillées, du napalm et de la mort qui rôde à chaque coin m’étaient revenues, alors on n’avait pas à réfléchir. Et puis, c’était la guerre. C’est Khelil qui m’avait ramené la bombe. Je m’attable et je commande une boisson. Je mets mon sac sur la chaise et je le couvre d’un foulard, ayant au préalable mis tous mes effets personnels dans une pochette que j’avais pris la précaution de ramener. Je demande à aller aux toilettes, je traverse le bar, pochette en main. Je donne l’impression d’aller vraiment aux toilettes, je ne m’attarde pas. Je sors et je prends la ruelle adjacente à la fac. Khelil m’avait prévenu que la déflagration n’allait pas dépasser le quart d’heure. Je suis restée en attente à l’arrêt du bus du tunnel, le délai imparti largement dépassé.

                            Quand j’ai entendu les sirènes des ambulances, j’avais compris. Les artificiers, venus en trombe, avaient réussi à désamorcer l’engin non sans secouer les environs d’un bruit sourd qui a ébranlé tout le monde. Je devais prendre le bus, mais j’ai renoncé. Trop dangereux en cas de contrôle, alors j’ai marché jusqu’à El Biar. Je ne peux oublier ce jour. Quelques jours après, un maquisard a été arrêté, torturé. Il ne pouvait plus supporter les atrocités, alors il a été contraint de donner des informations. Notre maison à Dely Ibrahim allait être minée. C’est le garde champêtre, avec lequel nous avions de bonnes relations et qui ne soupçonnait guère nos activités qui a dissuadé les militaires dans leur tentative de faire sauter notre demeure. J’ai été arrêtée avec mon père, mon beau-frère. J’ai été amenée à la villa des tortures d’El Biar en face de l’église, transférée à la caserne du Génie à Hussein Dey, un véritable mouroir, puis à Serkadji, enfin en France. »

                            Avec son père et son beau-frère, ils subiront durant des semaines les pires atrocités, des tortures abominables et interminables. « Ça dépassait l’entendement, c’était insupportable parce qu’inhumaines ». La réaction des intellectuels français de gauche ne s’est pas fait attendre. Son avocate, Gisèle Halimi, lancera l’alerte. Un comité est créé en France avec des sommités comme Jean-Paul Sartre, Louis Aragon, Elsa Triolet, Geneviève de Gaulle, Germaine Tillon. A la suite des pressions et surtout de la lettre de Simone de Beauvoir dans Le Monde qui a fait un boom, les choses avaient changé. « La torture ? C’est abject. Les hommes étaient brûlés au chalumeau, des fois on mettait des barres de fer rougies par le feu sur leurs yeux. Pire que les sauvages, je n’oublierai jamais. De même que je n’omettrai pas de rendre hommage aux Français qui étaient à nos côtés, qui ont été dignes, qui nous ont aidés sans contrepartie. Ceux-là, il faut leur tirer chapeau bas… Je pense à Steiner Annie, aux Chaulet, au Cardinal Duval, à Gringaud et aux autres. »

                            Le 7 mai 1962, en application du décret d’amnistie, Djamila, qui avait comparu une année avant à Caen, est amnistiée à l’instar d’autres détenus politiques. Elle qui s’est indignée autrement qu’en paroles en mettant sa peau au bout de ses idées se retire complètement de la politique au lendemain de l’indépendance. Et lorsqu’on l’interroge sur son silence, elle répond qu’elle n’a fait que son devoir de patriote. N’empêche, sa personnalité attachante, méditative, affectueuse sera mise entre parenthèses. Ce qui est sûr, c’est que son parcours ne sera jamais effacé, d’autant que le grand peintre espagnol Pablo Picasso lui a dressé un joli portrait qui restera pour la postérité.

                            ...
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #44
                              zwina

                              se focaliser sur l'histoire de combat des femmes algérienne contre l'occupant francais sans ce donner la peine de consulté en parallèle l'histoire archivé de ce qu'elles ont du subir les femmes combattantes dans le monde,en particulier les asiatiques,spécifiquement les femmes chinoise et russes lors de la guerres mondiale,nous offres des constatations erroné. disant plutot que la femme algérienne a su ce procurer une placer parmi les femmes exemplaire dans le monde ,sans qu'elle soit pour autant une leader un exemple pour l'humanité,c'est très exagérant.


                              en dehors de l'histoire de colonisation,les exemples que j'avais avancé,révèlent un vrai exemple d'un combat pour l'humanité que ces femmes ont opéré .et ce n'est qu'une goute d'eau dans une mer.
                              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                              Albert Einstein

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                              • #45
                                dentdesagesse:
                                se focaliser sur l'histoire de combat des femmes algérienne contre l'occupant francais sans ce donner la peine de consulté en parallèle l'histoire archivé de ce qu'elles ont du subir les femmes combattantes dans le monde,en particulier les asiatiques,spécifiquement les femmes chinoise et russes lors de la guerres mondiale,nous offres des constatations erroné
                                pourquoi s’efforce tu à y voir un quelconque rapport de concurrence -et donc d'exclusivité- dans les exemples à considérer ? on peut très bien avoir plusieurs exemples et la considération de l'un n'exclue pas les autres. c'est le départ de ta posture à ce sujet depuis le début.

                                C'est ainsi que se produit le constat erroné, mais à ton niveau, et par plus d'un aspects, car tu forces la conclusion à :
                                a su ce procurer une placer parmi les femmes exemplaire dans le monde ,sans qu'elle soit pour autant une leader un exemple pour l'humanité,c'est très exagérant.
                                relativiser leurs exploits sans qu'il n y ait besoin pertinent ni une quelconque raison objectivement motivée, mais en plus:
                                en dehors de l'histoire de colonisation,les exemples que j'avais avancé,révèlent un vrai exemple d'un combat pour l'humanité que ces femmes ont opéré
                                tu renies par là aux femmes algériennes la véracité et l’authenticité de leur combat à elles en le confrontant à d'autres, et tu refuses qu'on puisse le prendre pour un model universel à ce titre et à juste titre.

                                donc, revenons à l'origine de cette fausseté, pourquoi ?

                                Je te rappel que tu voulais des exemples :
                                peut-on nous donner quelques exemples sur ce combats que la femme algérienne a exercer qui mérite bien l'internationalisation?
                                et le mérite vient de l'appréciation neutre et objective, c'est à dire qu'on ne doit n'ont pas user de l'arbitraire comparaison/confrontation/concurrence à d'autre, car en faisant, on tire vers le jugement relative du "meilleur que" et non du propre "mérite".
                                Dernière modification par GLP, 19 novembre 2017, 12h11.
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