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Pauvre Bouteflika

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  • #16
    Pourquoi pauvre?
    Mafhamtsh essujet bessah habba nsharek fih oeilfermé

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    • #17
      fortuna : Il n'y aura pas de 5e mandat.
      J'étais plus sûr que vous au sujet même du 4e mandat. D'autant plus qu'à l'époque, il était tombé malade à l'approche des élections, en plus du contexte sécuritaire régional alarmant produit de la destabilisation de la Libye. Maintenant, je n'ai plus la même assurance et je me dis que le pays n'est plus ce que je pensais. Tant que la France veille au grain, ils peuvent même mettre un chat au pouvoir. Si Boutef part, ça sera par la volonté de la France, la métropole. Et oui, nos Moujahidine peuvent se retourner dans leurs tombes !
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #18
        Les États Unis, première grande puissance mondiale à se prononcer sur la présidentielle algérienne

        Fayçal Metaoui 03 Juil. 2018 à 16:41
        Les États Unis, qui suivent de près la situation au Maghreb pour des considérations stratégiques, se sont ouvertement prononcées sur l’élection présidentielle algérienne de 2019.

        En visite à Alger, jeudi 28 juin, John Sullivan, secrétaire d’État américain adjoint, premier haut responsable américain à se rendre en Algérie depuis l’élection de Donald Trump, a accordé une interview à Echourouk News dans laquelle il a précisé la position de son pays par rapport à plusieurs questions dont le prochain scrutin, prévu dans dix mois.

        « Nous voulons que la volonté populaire des algériens s’exprime à travers une opération démocratique transparente, libre et ouverte. Les États Unis ne soutiennent pas un candidat précis. Les États Unis appuient des élections libres qui garantissent l’expression de la volonté des algériens », a déclaré le numéro 2 du Département d’État.

        Les responsables algériens se sont, selon lui, engagés à soutenir ce processus. « C’est ce qui est important pour nous », a-t-il dit, sans aucune allusion au projet prêté au président Abdelaziz Bouteflika de rempiler pour un 5ème mandat.

        Les États Unis sont la première puissance à s’exprimer sur la présidentielle en Algérie en mettant en avant ce qui peut ressembler à des conditions. Les autres partenaires traditionnels de l’Algérie comme l’Union européenne(UE) adopte l’attitude prudente de l’observation.
        L’UE se préoccupe actuellement de la décision d’Alger de limiter les importations au moment où des experts algériens appellent à revoir totalement l’accord d’Association conclu avec Bruxelles et entré en vigueur en 2005. Un accord défavorable à l’Algérie, selon eux.


        « Coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme »

        En avril 2014, la visite à Alger du John Kerry, alors secrétaire d’État, en plein campagne électorale, avait été perçue, par l’opposition, comme un soutien franc au président Abdelaziz Bouteflika qui se présentait pour un quatrième mandat. À l’époque, une partie de la presse avait parlé même de « maladresse diplomatique ».

        John Kerry avait précisé que sa visite s’inscrivait dans le cadre du renforcement de la coopération dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

        Jeudi 28 juin, John Sullivan, qui a coprésidé avec Abdelkader Messahel, ministre des Affaires Etrangères, la 5ème session du dialogue stratégique entre les deux pays, a également évoqué la nécessité de consolider la coopération sécuritaire.

        « L’Algérie est un partenaire important pour les États Unis. Notre partenariat s’étend à plusieurs questions économiques, sécuritaires et politiques. Notre coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme est un trait important dans notre partenariat. Nous avons travaillé pendant des années ensemble pour affronter des défis lié au terrorisme aux fins de protéger nos pays. L’Algérie et les États Unis ont souffert de ce phénomène. Mais, notre relation est plus large que cela », a-t-il déclaré lors de la même interview à Echourouk News précisant que « la position de l’Algérie dans la politique extérieure des États Unis est particulière ».

        Autrement dit, Washington considère l’Algérie comme un partenaire sûr et fiable dans le domaine de la prévention et de la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, du Maghreb et en Méditerranée.
        « Nous voulons travailler ensemble sur les questions de la sécurité dans la région, de sorte à sauvegarder nos intérêts communs. Il y a une convergence de points de vue à un niveau élevé sur ces questions », a relevé le numéro deux du Département d’État.
        Il a salué le soutien de l’Algérie aux efforts de l’émissaire onusien pour la Libye Ghassan Salamé aux fins de trouver une solution politique à la crise libyenne.

        Dans cette vision, Washington entend travailler avec une Algérie stable quel que soit le prochain candidat à l’élection présidentielle à condition que le choix des algériens, lors de cette consultation, soit libre.
        En 2014, John Kerry avait dit que les États Unis attendaient des élections transparentes et conformes aux normes internationales. « Les États Unis travailleront avec le président que choisira le peuple algérien afin de produire l’avenir que l’Algérie et ses voisins méritent », avait-il souligné. La réélection de Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat n’a pas été suivi de contestation par les États-Unis alors qu’en Algérie des voix avaient dénoncé le déroulement du scrutin


        Washington veut « un marché ouvert » en Algérie

        Autre volet que les États Unis veulent développer dans le futur et qui peut faire l’objet de tractations plus poussées, y compris au niveau politique : la consolidation de la présence des firmes américaines en Algérie.
        « Notre approche est de défendre les intérêts des entreprises américaines qui veulent activer en Algérie. Il est important que le gouvernement algérien connaisse le point de vue des entreprises américaines privées sur l’investissement en Algérie. Il est profitable à nos deux pays que l’Algérie soit un marché ouvert surtout pour les investissements directs étrangers. L’Algérie ambitionne de diversifier son économie en dehors des hydrocarbures. J’ai parlé avec les responsables algériens de la question de faciliter l’entrée des entreprises US dans le marché algérien. Des entreprises américaines ont réussi ici, nous voulons augmenter leurs nombre », a précisé John Sullivan d’une manière claire.

        Le numéro 2 du département d’État a évoqué la présence de Pizza Hut en Algérie, ce qui équivaut à un symbole d’un certain mode de consommation.
        « D’autres entreprises veulent travailler en Algérie comme Honeywell et Boeing. Élargir le partenariat était l’un des points de mes discussions à Alger », a-t-il dit. Fidèle donc à la nouvelle doctrine du donnant-donnant, l’administration américaine pourrait apporter son appui au prochain processus électoral en Algérie en contrepartie de facilités plus grandes pour les entreprises américaines dans tous les domaines y compris sécuritaire.

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        • #19
          Fidèle donc à la nouvelle doctrine du donnant-donnant, l’administration américaine pourrait apporter son appui au prochain processus électoral en Algérie en contrepartie de facilités plus grandes pour les entreprises américaines dans tous les domaines y compris sécuritaire.
          Autrement dit.. les américains ont besoin de la sous-traitance de nos entreprises pour pénétrer et activer l'économie libyenne par la douceur !

          Marché conclu !!.. Pour le bien du Maghreb et de la région .. nous acceptons le deal

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          • #20
            Envoyé par sekrouf
            J'étais plus sûr que vous au sujet même du 4e mandat.
            Sauf que moi je n'ai jamais écarté le 4e mandat, au vu du contexte d'alors. On se rappelle que Toufik et son équipe avaient tenté de se rebiffer (en agitant l'article 88 de la Constitution, le mouvement Barakat, etc.), puis ils ont fini par rentrer dans les rangs.

            Aujourd'hui, nous sommes dans une configuration, à la fois interne et externe, totalement différente. Et cette affaire de la cocaïne est venue à point nommé pour donner un coup de pouce à l'Etat-Major et son Gaïd, au détriment de la Présidence. Et il ne faut pas s'y tromper, les puissances étrangères savent exactement de quoi il retourne. Ils n'hésiteront pas à soutenir le clan vainqueur, quel qu'il soit, pourvu que leurs intérêts soient sauvegardés.

            En tout cas, au regard de la campagne de purges qui s'opère sous nos yeux dans le régime, il n'y a quasiment plus de place au doute pour ma part...
            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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            • #21
              et pourquoi donc ?
              je veut dire que tant que le destin veut qu'il soit encore en vie , je comprend par là que dieu veut qu'il vive encore , faut pas croire que je suis d'accord avec sa politique , loin de là
              Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
              (Paul Eluard)

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              • #22
                Envoyé par acapulco
                je veut dire que tant que le destin veut qu'il soit encore en vie
                tu serais d'accord qu'il rempile ?

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                • #23
                  Diversification économique, approfondissement du processus démocratique et préservation de l'indépendance nationale, sont en dépit de toutes les réalisations accomplies, les nouvelles batailles de l'Algérie, a affirmé mercredi le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
                  Cela ait 20 ans que l'on claironne ce refrain,on connait l’état de l’économie algérienne et surtout le processus démocratique piétiné pendant toute ces années.

                  Je pense que cette déclaration vaut déclaration de candidature pour un 5eme mandat a moins que .......quelqu'un sortira du chapeau comme pour l’élection de chadli.

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                  • #24
                    Pauvre nous, lui Seul Allah connait sa fortune

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                    • #25
                      fortuna : Et cette affaire de la cocaïne est venue à point nommé pour donner un coup de pouce à l'Etat-Major et son Gaïd, au détriment de la Présidence.
                      Permettez-moi de douter fortement de cette histoire de lutte entre l'EM et la présidence. Pour moi, c'est à prêter des ambitions fantaisistes à ce soldat docile qui est Gaid Salah. Il a été d'ailleurs choisi pour cet aspect de lui. C'est fini, l'armée n'est plus ce qu'elle était au temps des Touati, Nezzar, Benyelles et même Chouchen et le MAOL pour ne pas trop remonter dans le temps. L'armée d'aujourd'ui est apolitique et se consacre entièrement à son métier. Ca s'est confirmé dans le 4e mandat et ça va se vérifier dans le prochain mandat quel qu'il soit le candidat du consensus.
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #26
                        tu serais d'accord qu'il rempile ?
                        je ne suis pas dieu , si dieu aurait voulu qu'il parte , il l'aurait rappelé dés le jour où il avait son attaque; pour ce qui est de rempiler ou pas , je l'ai dis je ne suis pas d'accord avec sa politique : trop de voyous, de corruption, de saleté , de laisser-aller, de mauvaise gestion, de hogra ...encore que faut le dire ça commence à disparaitre un peu ces points noirs
                        Dernière modification par ACAPULCO, 05 juillet 2018, 17h41.
                        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                        (Paul Eluard)

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                        • #27
                          Envoyé par Capo
                          Autrement dit.. les américains ont besoin de la sous-traitance de nos entreprises pour pénétrer et activer l'économie libyenne par la douceur !

                          Marché conclu !!.. Pour le bien du Maghreb et de la région .. nous acceptons le deal
                          Les américains n'ont besoin de rien. Ils veulent seulement le gaz de schiste algérien. C'est l'enjeu de 2019 pour les USA et ils misent sur Chakib Khelil pour y arriver.

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                          • #28
                            Envoyé par acapulco
                            je ne suis pas dieu , si dieu aurait voulu qu'il parte , il l'aurait rappelé dés le jour où il avait son attaque

                            Bref, la réponse est OUI

                            Commentaire


                            • #29
                              Bouteflika démontre qu'il a le soutien de TOUS

                              soutien de façade bien sûr même si la liste des présent est particulièrement bien étoffée par rapport aux années passées

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                              • #30
                                Bref, la réponse est OUI
                                pour ce qui est de rempiler ou pas , je l'ai dis je ne suis pas d'accord avec sa politique : trop de voyous, de corruption, de saleté , de laisser-aller, de mauvaise gestion, de hogra ...encore que faut le dire ça commence à disparaitre un peu ces points noirs, peut-être qu'en le gardant en vie et au pouvoir , dieu nous évite le pire de ce qu'on vit
                                Dernière modification par ACAPULCO, 05 juillet 2018, 17h51.
                                Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                                (Paul Eluard)

                                Commentaire

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