Franchement, mettre notre échec sur le dos du choix la langue arabe comme langue de travail, c'est confirmer son ignorance et la décadence même qui nous hante. L'échec est celui des hommes et non pas des outils.
Le monde d’aujourd’hui est régi par la technologie et donc la science, et plus par la religion.
Peut on faire de la science avec l'Arabe la réponse est évidemment NON. A moins de se contenter de faire de la traduction.
Un changement de langue brutal crée des problèmes INSOLUBLES.
On a décidé d'arabiser des classes entières, le gars arrive au Bac et ensuite le chaos.
Les hommes en Algérie ne sont pas plus bêtes qu'ailleurs. Seulement sous développés et rajouter à la marmite des problèmes de langue enfonce un peu plus à ce sous développement.
Franchement avait on besoin de ça?
Quand l’arabisant borné de Boumedienne en avait décidé il ne se souciait guère des conséquences désastreuses.
Le débat aujourd’hui n'a plus rien de rationnel. Ceux qui ont gouté à l'arabe ne peuvent se permettre de remettre en question ce choix, ne serait ce qu'admettre l'évidence d'un échec .
ça ressemble plus à un bébé à qui on enlève son biberon.
Ainsi va l'Algérie qui navigue à vue, Pauvre Algérie.
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