Ah.. ces ONG.. elles adorent la politique
Toujours sur Algerie Focus :
Faudrait que l'état songe à accorder des subventions à cette association !!... ça la calmera
Toujours sur Algerie Focus :
L’association ADDRA rejette les législatives
«Nous tenons à informer l’ensemble de la communauté algérienne en France que l’association ne prendra pas part à cette élection que nous pensons inutile et jouée d’avance», indique l’association dans un communiqué dont nous détenons une copie.
L’association dénonce l’immobilisme de l’État algérien qui est resté impassible face à la détresse de la communauté algérienne en France. Pour l’ADDRA, l’absence des autorités algériennes dans les moments les plus difficiles auxquels font face les Algériens de France n’incitent pas à la bienveillance vis-à-vis de ce scrutin.
«L’année dernière, l’association a été une des premières à s’être insurgée contre la réforme de la constitution algérienne et son article 51 devenu 63 qui exclut les binationaux de certains postes et fonctions au sein de l’état », précise le même communiqué avant de s’interroger: « Comment cautionner aujourd’hui une élection pour constituer une assemblée de députés qui a voté à la très grande majorité une constitution discriminatoire vis-à-vis d’une partie de la population algérienne? Pourquoi donner une légitimité à des parlementaires qui sont loin des problèmes rencontrés par la communauté?»
26 février 2017
«Nous tenons à informer l’ensemble de la communauté algérienne en France que l’association ne prendra pas part à cette élection que nous pensons inutile et jouée d’avance», indique l’association dans un communiqué dont nous détenons une copie.
L’association dénonce l’immobilisme de l’État algérien qui est resté impassible face à la détresse de la communauté algérienne en France. Pour l’ADDRA, l’absence des autorités algériennes dans les moments les plus difficiles auxquels font face les Algériens de France n’incitent pas à la bienveillance vis-à-vis de ce scrutin.
«L’année dernière, l’association a été une des premières à s’être insurgée contre la réforme de la constitution algérienne et son article 51 devenu 63 qui exclut les binationaux de certains postes et fonctions au sein de l’état », précise le même communiqué avant de s’interroger: « Comment cautionner aujourd’hui une élection pour constituer une assemblée de députés qui a voté à la très grande majorité une constitution discriminatoire vis-à-vis d’une partie de la population algérienne? Pourquoi donner une légitimité à des parlementaires qui sont loin des problèmes rencontrés par la communauté?»
26 février 2017
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