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Guerre d'Algérie : “On a rien fait de mal”, estime Éric Zemmour

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  • #16
    Il suffit que Macron fasse un coup de com pour que tous les ânes tentent de justifier ou de minimiser les crimes coloniaux.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #17
      Meme 1 c'est déjà trop.
      Effectivement, mais voila qu'il aurait fallut 3750 fois le nombres de victimes de Ben Talha pour que vienne l'indépendance de l'Algérie d’après le chiffre du million cinq...Soit 548 victimes par jour en moyenne du 1er Novembre 54 au 5 Juillet 62 .

      Es ce possible ? ...

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      • #18
        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=429075


        OUI 4 MILLIONS D ALGERIENS EXTERMIBES ENTRE 1830 ET 1962

        DONT 1 MILLION EN KABYLIE
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #19
          Effectivement, mais voila qu'il aurait fallut 3750 fois le nombres de victimes de Ben Talha pour que vienne l'indépendance de l'Algérie d’après le chiffre du million cinq...Soit 548 victimes par jour en moyenne du 1er Novembre 54 au 5 Juillet 62 .

          Es ce possible ? ...
          Comment le savoir ?

          le régime n'a jamais donné de chiffres sérieux. Au contraire, il a toujours été contre toute vérité. Il n'y a avec nos mafieux que la vérité officielle. Or cette vérité, c'est toujours de fumeuses fumisteries.
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #20
            Gallek fumisteries

            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              oui, les vérités officielles du régime mafieux ont toujours été des fumisteries.
              il n'a jamais aidé à réaliser des études sérieuses et crédibles ni sur le nombre de morts, ni de ceux qui ont été tués par un camp ou par l'autre, ni durant la guerre de libération ni durant la décennie noire.
              Le chiffre qu'on répète de 1,5 millions de chahids ne repose sur rien, ca peut être 1,2 millions, 1 million , moins. On ne sait.
              Il y a eu des massacres, des enfumades, de la barbarie, tous les Algériens ont eu de morts parmi les leurs. Le peuple algérien a énormément souffert, énormément sacrifié pour l'indépendance. Qu'en ont fait ceux qui prétendent être les seuls à avoir combatu le joug français? Voilà la question qui compte vraiment actuellement...
              Dernière modification par Bachi, 15 septembre 2018, 23h51.
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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              • #22
                Le chiffre qu'on répète de 1,5 millions de chahids ne repose sur rien, ca peut être 1,2 millions, 1 million , moins. On ne sait.

                Il y a eu des massacres, des enfumades, de la barbarie, tous les Algériens ont eu de morts parmi les leurs. Le peuple algérien a énormément souffert, énormément sacrifié pour l'indépendance
                .
                Et si les comptes se font depuis 1830 ??
                combien ???
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #23
                  Infinite

                  Effectivement, mais voila qu'il aurait fallut 3750 fois le nombres de victimes de Ben Talha pour que vienne l'indépendance de l'Algérie d’après le chiffre du million cinq...Soit 548 victimes par jour en moyenne du 1er Novembre 54 au 5 Juillet 62 .

                  Es ce possible ? ...
                  Comment le savoir ?
                  C'est plus que possible, je dirai même que les chiffres sont largement au dessus des 548 victimes par jour. Entre les interrogatoires, les fusillades, les enfumades et les bombardements, nombre de victimes ne sont pas comptabilisées. Rien que sur la région de Tizi Ouzou, il y avait 77 SAS (services administratifs spécialisés) avec centre de torture intégré, une SAS faisait au minimum une dizaine d'interpellations par jour, ça fait 77*10= 770, tu y rajoutes les fusillades et les bombardements. Si on cesse de faire croire que la guerre d'Algérie a débuté en 1954, alors qu'elle a démarré dès 1830, les chiffres peuvent être revus à la hausse.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Acapulco

                    1 million 500 000 chouhadas Algériens qui ont été torturés , guillotinés , mutilés et tués comme des mouches , il faut que Macron sache que l'Algérie attend toujours les excuses de la part de la France

                    1,5 million de morts
                    Franchement, aucune bonne foi. On pourrait dire qu'à Oran le 5 juillet 1962, il y a eu 50 000 européens de massacrés par le FLN, mais nous on ne le dira pas, nous avons le sens de la vérité. ON une négocie pas avec des morts, c'est Rlam.

                    Et concernant les excuses du gouvernement Algérien pour le massacre d'européens, torturés, violés, Les c... dans la bouche, des femmes violées devant leurs maris, attachés sur une chaise, pas d'excuses là ?

                    décidemment vous ne changerez pas, vous ne changerez jamais, tout est foutu...
                    Dernière modification par BEO777, 16 septembre 2018, 12h35.

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                    • #25
                      incroyable
                      qui a empecher qui conque de faire des études sur les massacre faite par les français et leur chiens de harki

                      c'est bien la france et ses esclaves qui nie les massacre,les tueries et quand tu leur sort de temonages sur des chouhada et témonage des moudjahidine vivant qu'alallh leur donne langue vie alors la il samuse a discuter le nombre
                      c'est bien cette france qui a attendu 60ans rien que pour reconnaitre l'assassinat de seulement 1 personne (le chahid audin) a a baloka pour les millions de crimes des francais durant leur colonisations
                      rien que le nombre de crane des resistant et chouhada algerien du du XIXème siècle qu'ils ont déplacé en france sans parler des autres qu'il n'ont pas déplacé en france


                      aller vas y faites des etudes si vous ets honnete parceque ce n'est pas l'algerie qui vous empêche mais plutot mama franca
                      المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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                      • #26
                        Et là, pas d'excuses, non plus, du fln ?

                        Quelle était la culpabilité des enfants d'El-Halia ?
                        Témoignage de marie-jeanne pusceddu



                        Insoutenable horreur barbare. Quelle était la culpabilité des enfants d'El-Halia ?
                        Je m'appelle Marie-Jeanne Pusceddu, je suis Pieds-Noirs, née à Philippeville en 1938 de parents français, d'origine italienne.

                        Mes parents étaient des ouvriers; toute ma famille, frères, oncles, cousins, travaillait à la mine d'El-Halia, près de Philippeville.

                        Ce petit village d'El-Halia n'était qu'un village de mineurs, d'artisans qui travaillaient dur dans la mine de fer.

                        Il y avait également des ouvriers arabes avec qui nous partagions, au , moment de nos fêtes respectives, nos pâtisseries et notre amitié. Ils avaient leurs coutumes, différentes des nôtres, nous nous respections. Nous étions heureux.

                        Les « événements d'Algérie » ont commencé en 1954. Mais pour nous, la vie était la même, nous ne nous méfions pas de nos amis arabes.

                        Je me suis mariée le 13 août 1955, nous avons fait une belle fête et tous nos amis étaient là, notamment C..., le chauffeur de taxi arabe que nous connaissions bien... Avec mon mari, nous sommes partis en voyage de noces.

                        Le 19 août 1955, avec mon mari André Brandy (ingénieur des mines employé au Bureau de la recherche minière d'Algérie), nous avons pris le taxi de C...pour rentrer à El-Halia.

                        Pendant le trajet, C... nous dit : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande ». Je lui répondis : « Quelle fête ? Il n'y a pas de fête ». Je pensais qu'il plaisantait...

                        Le lendemain, 20 août, tous les hommes étaient au travail à la mine sauf mon mari.
                        Il était juste midi, nous étions à table, quand soudain, des cris stridents, les youyous des mauresques et des coups de feu nous ont surpris.

                        Au même moment, ma belle-soeur Rose, sa petite dernière Bernadette (trois mois) dans les bras arrive, affolée, suivie de ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Nicole 14 ans, Anne-Marie 4 ans. Son aîné Roger, âgé de 17 ans, était à la mine avec son père.

                        Avec ma mère, mon frère Roland de 8 ans, Suzanne ma soeur de 10 ans, Olga mon autre sour de 14 ans et mon mari, nous avons compris qu'il se passait quelque chose de grave. Les cris étaient épouvantables. Ils criaient : « Nous voulons les hommes ». Je dis à mon mari : « Vite, va te cacher dans la buanderie ! ».

                        Nous nous sommes enfermés dans la maison, mais les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coup de hache. À notre grande stupeur, c'était C..., le chauffeur de taxi, « l'ami » qui avait assisté à mon mariage. Je le revois encore comme si c'était hier. Il nous a poursuivis de la chambre à la salle à manger, puis dans la cuisine; nous étions pris au piège. C..., avec son fusil de chasse, nous menaçait.

                        Il a immédiatement tiré sur ma pauvre mère, en pleine poitrine, elle essayait de protéger mon petit frère Roland. Elle est morte sur le coup avec Roland dans ses bras, lui aussi gravement atteint. Ma belle-soeur Rosé a été tuée dans le dos. Elle gardait son bébé contre le mur, ma jeune soeur Olga s'est jetée, dans une crise d'hystérie, sur le fusil, il a tiré à bout portant. la blessant salement. Il nous narguait avec son fusil.
                        Bravement et affolée, je lui dis : « Vas-y ! Tire ! Il ne reste plus que moi ». Il a tiré, j'ai reçu la balle à hauteur de la hanche, je n'ai même pas réalisé et il est parti.



                        J'ai pris les enfants, les ai cachés sous le lit avec moi, mais je souffrais trop et je voulais savoir si mon mari était toujours vivant. Je suis allée dans la buanderie et me suis cachée avec lui derrière la volière. Les fellaghas, les fils de C..., sont revenus. Ils se dirigeaient vers nous en entendant un bruit, mais l'un d'eux a dit en arabe : « C'est rien, c'est les oiseaux ». Et nous sommes restés, apeurés, désemparés, sans bouger jusqu'à cinq heures de l'après-midi.

                        Les cris, le youyous stridents, la fumée, le feu, quel cauchemar !...

                        Un avion de tourisme est passé au-dessus du village et a donné l'alerte.

                        L'armée est arrivée à dix-sept heures. Et là, nous sommes rentrés dans la maison pour constater l'horreur.

                        Mon petit frère Roland respirait encore; il est reste cinq jours dans le coma et nous l'avons sauvé.
                        Malheureusement, ma sour Olga a été violée et assassinée. Ma soeur Suzanne, blessée à la tête, elle en porte encore la marque.

                        Puis l'armée nous a regroupés.

                        Ma famille Azeï, tous massacrés au couteau, la soeur de ma mère, son mari, ses deux filles dont l'une était paralysée, l'une des filles qui était en vacances avec son bébé a été, elle aussi assassinée à coups de couteau (c'est la fiancée de son frère, qui s'était cachée, qui a tout vu et nous l'a raconté).

                        Le bébé avait été éclaté contre le mur.

                        Puis, mon cousin a été tué à coups de fourchette au restaurant de la mine, le frère de ma mère.
                        Pierrot Scarfoto a été, lui aussi massacré, en voulant sauver ses enfants, à coups de couteau, les parties enfoncées dans la bouche, ainsi que mon neveu Roger, âgé de 17 ans.

                        Mon père, sourd de naissance, blessé à coups de couteau, s'était réfugié dans une galerie abandonnée. Il n'a pas entendu l'armée, on ne l'a retrouvé que quinze jours plus tard, mort à la suite de ses blessures. Il a dû souffrir le martyre. Mon jeune frère Julien a été également massacré.

                        Treize membres de ma famille ont ainsi été martyrisés, massacrés par le F.L.N.

                        Je suis restée à l'hôpital près de trois mois, j'avais fait une hémorragie interne avec infection, car les balles fabriquées étaient bourrées de poils, de bris de lames de rasoir.

                        Nous avions échappé à la mort, mais pas à la souffrance. Mon mari fut muté à Bougie, mais le chantier ayant subi une attaque, il a dû fermer; puis à Ampère, près de Sétif, et finalement au Sahara. Mais les femmes n'étaient pas admises.

                        J'ai été recueillie avec mes deux frères à Lacaune-les-Bains, chez les soeurs de Saint-Vincent-de-Faul, j'y étais déjà venue plus jeune.

                        Le fellagha meurtrier de ma famille a été arrêté, j'ai dû venir témoigner pendant trois ans en Algérie, car j'étais le seul témoin.




                        Mon témoignage fut mis en doute, du moins la façon dont les miens ont été massacrés. Ils ont déterré ma mère pour voir si je disais la vérité, je n'en pouvais plus. On a retiré plusieurs balles et la seule chose de positive dans tout ce cauchemar, c'est le collier qu'elle portait et que l'on m'a remis; collier dont je ne me séparerai jamais.



                        Marie-Jeanne Pusceddu

                        Crédit L'Algérianiste N° 94 _juin 2001
                        Revue culturelle
                        BP 213

                        PS: C'est ça les fiers moudjahidines, ne tuant que des civils, plutôt que de s'en prendre à l'armée Française, quel courage ! n'avez vous pas honte ?
                        Dernière modification par BEO777, 16 septembre 2018, 12h56.

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                        • #27
                          Et concernant les excuses du gouvernement Algérien pour le massacre d'européens, torturés, violés, Les c... dans la bouche, des femmes violées devant leurs maris, attachés sur une chaise, pas d'excuses là ?
                          Et encore une inversion des crimes sauf que le procès de Djamila Boupacha démontre qui pratiquait le viol systématique sur les prisonnières.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #28
                            Hocine Aït Ahmed reconnaissait le rôle positif de la colonisation, réfugié en Suisse. Il déclarait, dans le numéro de juin 2005 de la revue Ensemble, organe de l’Association culturelle d’éducation populaire : « Chasser les pieds-noirs a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale. » Il ajoutait : « N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les pieds-noirs et leur dynamisme – je dis bien les pieds-noirs et non les Français -, l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne. Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les pieds-noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens. » « Du temps de la France, l’Algérie, c’était le paradis ! »
                            Dernière modification par BEO777, 16 septembre 2018, 13h04.

                            Commentaire


                            • #29
                              Zwina

                              Et encore une inversion des crimes sauf que le procès de Djamila Boupacha démontre qui pratiquait le viol systématique sur les prisonnières.

                              Il n'y a pas d'inversion, il n'y a que des crimes, de part et d'autre. Un meurtre barbare ne peut en justifier un autre. Un viol ne peut justifier un autre viol. Que l'Algérie, donne l'exemple et fasse des excuses pour les atrocités, le mot est faible, commises par le FLN envers des européens civils, innocents, désarmés, et ensuite nous verrons.

                              Oui je sais, la vérité vraie est dure à entendre pour certains d'entre vous. Quelque part vous me faites de la peine, quelle déception pour vous ! Enfin pour certains d'entre vous
                              Dernière modification par BEO777, 16 septembre 2018, 13h13.

                              Commentaire


                              • #30
                                Beo

                                Lorsque vous ferez des excuses aux nazis et cesserez d'inverser les rôles, vous viendrez donner des leçons. Vous ne voudriez pas aussi la condamnation et les excuses de De Gaulle et Leclerc qui avaient choisi Alger comme capitale de la Résistance plutôt que Paris ? Vous semblez occulter que la France collabora avec les nazis et qu'elle n'a pas condamné la plupart des collaborateurs de ses administrations, pas plus que les militaires ou les policiers qui participèrent aux rafles et à la déportation vers les camps de la mort. C'est très exactement les mêmes collaborateurs des nazis qui commanditèrent la plupart des crimes en Algérie. Papon par exemple qui devint préfet à Oran puis à Paris après 1945. C'est Papon qui assiste au massacre des algériens en octobre 1961 et qui laisse faire alors que les policiers jettent des algériens dans la Seine devant la préfecture de Paris. Le FLN n'a jamais ordonné de jeter dans la Méditerranée des centaines d'européens.
                                Dernière modification par zwina, 16 septembre 2018, 14h48.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                                Commentaire

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