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Guerre d'Algérie : “On a rien fait de mal”, estime Éric Zemmour

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  • #76
    rago

    Vous éludez mes propos en tant fasciste!

    Non je suis un démocrate, et venant de vous cela fait sourire. Citez moi un pays arabe qui est démocratique... Vous n'en trouverez pas. Alors les leçons de démocratie, c'est bon ...

    Vive la France, Vive la république !

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    • #77
      L'OAS : création mars-avril 1961, dissolution mai 1962. Donc un an.

      1200 membres, 2200 victimes. Elle n'a jamais violée des femmes, tuée des enfants, massacré des familles. (sauf dommages collatéraux involontaires)
      Dissoute veut dire qu'elle n'existe plus?Que ces atrocités on disparus?

      La France aussi a violé des femmes tues des enfants massacrés des familles brûlées des villages alors qu'elle a imposé une guerre a un peuple qui ne demandait que son indépendance.
      Bien sûr ça vous ne le comprenait pas et vous ne le comprendraient jamais car vous étés formatés de façon à répéter bêtement ce que les écrits rapportent sans faire une analyse objective.
      Pourquoi dès les premiers attentats la France n'a pas organisé un référendum? cela aurait évité cette tragédie, non?
      Cette analyse est si compliquée pour vous, ou alors vous avez peur qu'elle se retourne contre vous?


      La preuve de l'amnésie,comme si l'histoire de la France commence en 1954:
      Pour remonter jusqu'à Pétain et faut en tenir une sacré couche
      Dernière modification par annabideparis, 16 septembre 2018, 17h54.

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      • #78
        annibaldeparis

        Pourquoi des les premiers attentats la France n'a pas organiser un référendum? cela aurait éviter cette tragédie,non?

        Nous sommes d'accord.

        C'est ce que j'ai toujours dit et même avant les premiers attentats. Comme j'ai toujours dit ici que l'Algérie ne pouvait pas rester Française. Il faut relire mes premiers posts.

        La France aussi a violé des femmes tues des enfants massacrés des familles brûlées des villages alors qu'elle a imposé une guerre a un peuple qui ne demandait que son indépendance.

        Citez moi des faits, des chiffres, des dates. Comme j'ai toujours fait

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        • #79
          " un communiste notoire, ayant pris faits et cause en faveur du FLN, c'est surement pas une référence,"

          Albert Camus n'était-il pas communiste et pourtant, il avait pris fait et cause contre l'indépendance algérienne?

          Quant au 121 français pétitionnaires pour l'indépendance algérienne étaient-il tous des communistes?

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          • #80
            Bon allez ! je vous laisse, pensez ce QUE VOUS VOULEZ

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            • #81
              La bonne foi n'étant pas votre violon d'Ingres, rien d'étonnant que vous vous contentez d'esbrouffes par handicap intellectuel comme Marine Le Pen.
              C'est vrai que votre "bonne foi" est époustouflante.
              Je ne sais pas pourquoi vous revenez sans cesse sur la famille Le Pen. Les phobies obsessionnelles cela se soigne.
              Quant à juger du handicap intellectuel des autres, heureusement que nous vous avons sur ce forum avec votre érudition, votre intelligence et surtout votre modestie reconnue par tous.

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              • #82
                " Bon allez ! je vous laisse, pensez ce QUE VOUS VOULEZ"

                Définitivement? Car ce n'est pas l'unique fois que vous nous faites cette promesse jamais tenue de votre part. Si votre décision est crédible (le doute est permis), alors bon débarras le nostalgérien.

                - En ce qui concerne la France, les résistants étaient des hommes et des femmes de tous âges mais souvent jeunes voire très jeunes. Moins nombreuses que les hommes, les femmes y étaient souvent cantonnées dans des rôles subalternes. Ils étaient issus de toutes les couches sociales. Toutes les sensibilités politiques de gauche comme de droite, toutes les sensibilités philosophiques et religieuses étaient représentées au sein de la résistance.

                Des étrangers ont combattu aux côtés des résistants français : Antifascistes italiens, antinazis allemands et républicains espagnols réfugiés en France; immigrés polonais et arméniens; juifs apatrides.

                Volontaires engagés dans l'action clandestine, les résistants risquaient à tout moment d'être dénoncés, arrêtés, torturés, emprisonnés, exécutés ou déportés. Ils constituaient une toute petite minorité courageuse, qui a suscité à la fin de l'Occupation un mouvement social beaucoup plus vaste, entraînant l'adhésion de la majorité des français-.

                CNDP.fr/ crdp-Reims)

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                • #83
                  Quant au 121 français pétitionnaires pour l'indépendance algérienne étaient-il tous des communistes?
                  Il y a eu un autre manifeste d'intellectuels opposés à l'abandon de l'Algérie.
                  Ce contre-manifeste a bénéficié de soutiens plus nombreux que le Manifeste des 121, puisqu'il réunira en définitive plus de 300 signatures.

                  Commentaire


                  • #84
                    " Je ne sais pas pourquoi vous revenez sans cesse sur la famille Le Pen. Les phobies obsessionnelles cela se soigne."

                    Légitime de votre part de défendre votre "famille" idéologique (donc fasciste). Quant à votre conseil de soigner "des phobies obsessionnelles" en avez-vous déjà subi la thérapie afin de l'encenser à d'autrui?

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                    • #85
                      " Il y a eu un autre manifeste d'intellectuels opposés à l'abandon de l'Algérie.
                      Ce contre-manifeste a bénéficié de soutiens plus nombreux que le Manifeste des 121, puisqu'il réunira en définitive plus de 300 signatures.
                      "

                      Donnez-nous les noms de ces 300 salopards? Tous des fascistes?

                      Commentaire


                      • #86
                        Légitime de votre part de défendre votre "famille" idéologique (donc fasciste). Quant à votre conseil de soigner "des phobies obsessionnelles" en avez-vous déjà subi la thérapie afin de l'encenser à d'autrui?
                        Je ne les défends pas. Je ne les ai jamais cité en référence.
                        Je fais seulement remarquer que vous en faites une fixation.
                        Je n'ai pas suivi cette thérapie, mais je sais reconnaitre les symptômes que vous présentez au sujet de cette pathologie.

                        Commentaire


                        • #87
                          " Je ne les défends pas. Je ne les ai jamais cité en référence."

                          Mais signifiez-nous les noms de ces 300 salopards? Sinon, vous vous complaisez en galimatias puérils!

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                          • #88
                            Mais signifiez-nous les noms de ces 300 salopards? Sinon, vous vous complaisez en galimatias puérils!
                            Je savais bien que vous souffrez d'une pathologie obsessionnelle !


                            Le Manifeste des intellectuels français pour la résistance à l'abandon soutient l'action de la France et de l'armée en Algérie : « L'action de la France consiste, en fait comme en principe, à sauvegarder en Algérie les libertés (...) contre l'installation par la terreur d'un régime de dictature ». Il dénonce le Manifeste des 121 : « C’est une imposture de dire ou d’écrire que la France combat le peuple algérien dressé pour son indépendance. La guerre en Algérie est une lutte imposée à la France par une minorité de rebelles fanatiques, terroristes et racistes, conduits par des chefs armés et soutenus financièrement par l’étranger. C'est une des formes les plus lâches de la trahison que d'empoisonner, jour après jour, la conscience de la France, d'intoxiquer son opinion publique et de faire croire à l'étranger que le pays souhaite l'abandon de l'Algérie et la mutilation du territoire ». Ce manifeste dénie « aux apologistes de la désertion le droit de se poser en représentants de l'intelligence française »3.

                            Le manifeste a été initié par les universitaires et les professeurs du secondaire du Mouvement national universitaire d'action civique (MNUAC), fondé au lendemain de la grève du 30 novembre 1958 par le géographe Jacques Chardonnet, de la faculté des lettres de Dijon, Pierre Grosclaude, Jacques Narbonne, du CNRS, et les professeurs du secondaire Étienne Bougouin, Marcel Deguy, professeur au lycée Buffon de Beauvais, Jean La Hargue et René Sers 4. S'il se veut apolitique et dénonce la politisation des syndicats universitaires et les « propagandes dissolvantes menées par les activistes de certains partis » au sein de l'école et de l'Université5, il est clairement de droite, et est vent debout contre les « défaitistes ». Il a dénoncé en mai 1960 les « propagandes de toutes sortes qui s'exercent sur la jeunesse de France pour l'amener soit à la désertion morale du devoir civique et patriotique, soit à la désertion effective de l'obligation militaire, ainsi que les propagandes de même nature qui sévissent dans les universités pour obscurcir les valeurs morales les plus certaines et dénaturer aux yeux du monde le sens et le but du combat que la France est contrainte de poursuivre en Algérie »6 et taxé en septembre 1960 le manifeste des 121 « d'acte formel de trahison »7. On trouve des membres de son bureau national (Pierre Grosclaude, chargé de recherches au CNRS depuis 1956, son secrétaire général et rédacteur de son périodique L'Université française8, l'historien Gilbert Charles-Picard, professeur à la Sorbonne, le juriste Henri Mazeaud, professeur à la Faculté de droit de Paris9, Jean La Hargue, professeur agrégé de philosophie au lycée Carnot à Paris et futur président-fondateur du SPES en 196110, Étienne Bougouin, professeur au lycée Buffon, René Sers, professeur au lycée Janson de Sailly) et des adhérents (le doyen Jean Lépine (médecin), de l'Institut, le juriste Léon Mazeaud, l'historien Roland Mousnier, le professeur de médecine Charles Richet, Georges Drieu La Rochelle, professeur au lycée Jean-Baptiste Say, futur dirigeant du Cercle Fustel de Coulanges) parmi les signataires du manifeste.


                            Plus de 300 signataires
                            Aux 185 signataires originels se sont ajoutés quelques jours plus tard 150 autres signataires, comprenant des professeurs, des écrivains et des journalistes, tels Jacques Chastenet ou le romancier Jacques Laurent11. Ce contre-manifeste bénéficie de soutiens plus nombreux que le Manifeste des 121, puisqu'il réunira en définitive plus de 300 signatures. Il y en a eu plus de 500 selon Christophe Bident12. Jean-François Sirinelli souligne que le manifeste des 121 est plus célèbre que celui des « intellectuels français » alors qu'il a réuni moins de signataires que d'autres pétitions demandant l'indépendance de l'Algérie, telle celle du périodique de la Fédération de l'Éducation nationale, et que celle le dénonçant, signée aussi bien par de jeunes universitaires que par des académiciens établis, qui a réuni « plusieurs centaines de noms »13.
                            Il est signé par des Académiciens (Henry Bordeaux, Jules Romains, André François-Poncet, Henri Massis, Robert d'Harcourt, Jacques Chastenet) et des personnalités de la droite intellectuelle (Thierry Maulnier, Gabriel Marcel, Pierre Gaxotte, Daniel Halévy) ; par des directeurs de périodiques (Pierre Boutang, William François14, Pierre Guillain de Bénouville, Jean de Fabrègues, Jean Paulhan, rédacteur en chef de la Nouvelle Revue Française) et des journalistes, tels Rémy Roure ou Serge Jeanneret ; par des universitaires comme les professeurs de droit à l'Université de Paris Daniel Villey ou Gaston Leduc, les historiens François Bluche, Guy Fourquin ou Pierre Chaunu, le philosophe René Poirier, l'helléniste Yvonne Vernière, les latinistes Jacques Heurgon et Pierre Boyancé, Charles Picard15, de l'Institut, des professeurs de médecine comme Théophile Alajouanine, Roger Dion, professeur au collège de France, des professeurs de lettres à la Faculté de Bordeaux (Paul Vernière, Auguste Haury, Maurice Braure) ; par les intellectuels qui vont fonder deux mois plus tard L'Esprit public (revue) : les universitaires Raoul Girardet et François Natter, Jules Monnerot, Jacques Perret, André Brissaud, Philippe Héduy, Roland Laudenbach, Jacques Laurent ou Jean Brune ; par des écrivains comme Antoine Blondin, Roger Nimier, Michel Déon, Jean Dutourd, Roland Dorgelès, Michel de Saint Pierre, Louis Pauwels, Pierre Lyautey, François Léger, Henri de Monfreid, Jacques Chabannes, Pierre Nord, Charles Kunstler, de l'Institut, etc. ; par d'autres personnalités comme le maréchal Alphonse Juin, Marie-Madeleine Fourcade, Bernard Lafay, la militante anticommuniste Suzanne Labin : par quatre vice-présidents du Centre d'études politiques et civiques (Louis Salleron, René Gillouin, le colonel Rémy, Victor Berger-Vachon16, professeur de droit à l'Université de Paris) ou encore par des avocats, des médecins, des professeurs du secondaire, etc.
                            Dernière modification par alibigoud, 16 septembre 2018, 18h45.

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                            • #89
                              Et POF ! dans la gueule

                              sonné le juge

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                              • #90
                                Il a dénoncé en mai 1960 les « propagandes de toutes sortes qui s'exercent sur la jeunesse de France pour l'amener soit à la désertion morale du devoir civique et patriotique, soit à la désertion effective de l'obligation militaire, ainsi que les propagandes de même nature qui sévissent dans les universités pour obscurcir les valeurs morales les plus certaines et dénaturer aux yeux du monde le sens et le but du combat que la France est contrainte de poursuivre en Algérie »6 et taxé en septembre 1960 le manifeste des 121 « d'acte formel de trahison »
                                Alger a appris ce louvoiement et fourberies de La France. Notre régime, actuellement, dit de la famille révolutionnaire, use de ce répertoire nauséabond de chercher à faire de l'immoral du moral et de l'injuste du juste.

                                Les appelés ont été envoyés en Algérie se faire tuer, de la chaire à canon, et il était criminel de ne pas les avertir. Il est criminel aussi d'appeler à défendre des idéaux patriotiques au détriment d'un autre peuple qu'on cherche encore à écraser.
                                Très simple: il y avait une grosse, une immense injustice, le juste est du côté de ceux qui luttent pour faire cesser cette injustice.
                                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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