Les parlementaires du Front des forces socialistes (FFS) gèlent toutes leurs activités dans les deux Chambres du Parlement pour dénoncer l’illégitimité de cette institution législative.
Dans une déclaration rendue publique à la fin des travaux de la conférence nationale des élus, hier à Zéralda, les parlementaires du FFS, qui disent avoir longuement débattu de la situation prévalant à l’APN, relèvent le flou ayant entouré la gestion de la crise qui a secoué cette institution législative.
Tout en restant attentifs à l’évolution de la situation au sein de l’APN, les parlementaires du FFS disent préférer redoubler d’activités sur le terrain à travers les différentes wilayas «pour rencontrer les citoyens, être à leur écoute et se solidariser avec les syndicalistes, les militants des droits de l’homme, les militants victimes de harcèlements et de poursuites judiciaires d’une manière abusive».
Parmi ces militants, il y a le responsable du parti à la fédération de Laghouat, condamné à deux années de prison pour «troubles à l’ordre public».
Les parlementaires du FFS s’engagent dans ce sillage à poursuivre «la lutte pour la construction d’un Etat de droit qui garantira les droits et les libertés des citoyens et qui consacrera le principe d’alternance au pouvoir».
Les parlementaires du FFS expliquent leur attitude durant toute la crise qui a secoué l’APN, précisant s’être comportés «avec la loi du fait accompli». Ils considèrent que l’Assemblée est illégitime dans toutes ses instances, y compris sa présidence, depuis son installation en 2017.
Les parlementaires du FFS soulignent qu’ils se sont démarqués de l’ancien président de l’Assemblée et qu’ils se démarqueront de l’actuel, tous les deux illégitimes. Ils rappellent qu’ils se sont toujours comportés comme «un groupe parlementaire élu par le peuple, représentant du peuple et de ses préoccupations». Le groupe parlementaire du FFS assure qu’il n’était issu ni d’un quota ni de la fraude électorale.
Il rappelle avoir à maintes reprises dénoncé la «mainmise du pouvoir exécutif sur le législatif». Les parlementaires du plus vieux parti de l’opposition disent aussi avoir dénoncé la transformation de l’APN en comité de soutien «aux politiques défaillantes qui ont mis en péril l’avenir du pays et hypothéqué tous les espoirs de changement».
Les députés du FFS ont également souligné avoir protesté contre «le comportement des présidents des deux Chambres à l’égard de l’opposition, en l’accusant de semer le désespoir et le doute». Pour eux, ce qui s’est passé récemment à l’APN a eu le mérite de mettre à nu le système.
Cela a permis, selon ce parti, à l’opinion publique de découvrir que «c’est bien la majorité usurpée, sur insinuation du système corrompu, qui constitue la menace et un danger réel sur la stabilité des institutions et du pays».
Les députés du FFS, faut-il le rappeler, ont boycotté la séance dédiée à l’élection du nouveau président de l’APN.
El Watan
Dans une déclaration rendue publique à la fin des travaux de la conférence nationale des élus, hier à Zéralda, les parlementaires du FFS, qui disent avoir longuement débattu de la situation prévalant à l’APN, relèvent le flou ayant entouré la gestion de la crise qui a secoué cette institution législative.
Tout en restant attentifs à l’évolution de la situation au sein de l’APN, les parlementaires du FFS disent préférer redoubler d’activités sur le terrain à travers les différentes wilayas «pour rencontrer les citoyens, être à leur écoute et se solidariser avec les syndicalistes, les militants des droits de l’homme, les militants victimes de harcèlements et de poursuites judiciaires d’une manière abusive».
Parmi ces militants, il y a le responsable du parti à la fédération de Laghouat, condamné à deux années de prison pour «troubles à l’ordre public».
Les parlementaires du FFS s’engagent dans ce sillage à poursuivre «la lutte pour la construction d’un Etat de droit qui garantira les droits et les libertés des citoyens et qui consacrera le principe d’alternance au pouvoir».
Les parlementaires du FFS expliquent leur attitude durant toute la crise qui a secoué l’APN, précisant s’être comportés «avec la loi du fait accompli». Ils considèrent que l’Assemblée est illégitime dans toutes ses instances, y compris sa présidence, depuis son installation en 2017.
Les parlementaires du FFS soulignent qu’ils se sont démarqués de l’ancien président de l’Assemblée et qu’ils se démarqueront de l’actuel, tous les deux illégitimes. Ils rappellent qu’ils se sont toujours comportés comme «un groupe parlementaire élu par le peuple, représentant du peuple et de ses préoccupations». Le groupe parlementaire du FFS assure qu’il n’était issu ni d’un quota ni de la fraude électorale.
Il rappelle avoir à maintes reprises dénoncé la «mainmise du pouvoir exécutif sur le législatif». Les parlementaires du plus vieux parti de l’opposition disent aussi avoir dénoncé la transformation de l’APN en comité de soutien «aux politiques défaillantes qui ont mis en péril l’avenir du pays et hypothéqué tous les espoirs de changement».
Les députés du FFS ont également souligné avoir protesté contre «le comportement des présidents des deux Chambres à l’égard de l’opposition, en l’accusant de semer le désespoir et le doute». Pour eux, ce qui s’est passé récemment à l’APN a eu le mérite de mettre à nu le système.
Cela a permis, selon ce parti, à l’opinion publique de découvrir que «c’est bien la majorité usurpée, sur insinuation du système corrompu, qui constitue la menace et un danger réel sur la stabilité des institutions et du pays».
Les députés du FFS, faut-il le rappeler, ont boycotté la séance dédiée à l’élection du nouveau président de l’APN.
El Watan