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Issad Rebrab : "J’ai l’Algérie dans mes tripes"

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  • #46
    EDF, Areva, Total, BP, France Telecom... Areva bénéficie de subventions publiques et de faveurs alors que la société est considérée comme déficitaire et qu'elle active en Afrique en étant sécurisée par des dispositifs sensés protéger les populations. BNP a été épinglé pour ses divers manquements et ses irrégularités par la justice américaine jamais par la française. On pourrait aussi parler d'Arcelor Mittal ou de Alsthom et même de la Société Générale ou de Lafarge impliqué dans le financement de Daech et toujours pas condamné. Toutes ces sociétés sont actives en Algérie, difficile de croire qu'elles n'y agissent pas de la même manière qu'ailleurs dans le monde.
    Madame, permettez moi de vous dire que vous divaguez... Il ne s'agit pas de savoir comment un état protège ses sociétés, il s'agit de savoir comment des lois sont pondus pour favoriser 1 seul opérateur, ce qui dans une démocratie n'est pas acceptable, et moins acceptable dans tout autre régime politique... Vos informations sont pour certaines approximatives, et pour d'autres fausses...

    Il faudrait l'expliquer à l'Union Européenne dont les subventions inondent des sociétés européennes ainsi que des ONG sensés créer de l'emploi et des partenariats avec les pays dit sous développés. Surtout qu' il semblerait que les ivoiriens pas plus que les nigériens ou les maliens n'aient jamais vu la couleur de ces subventions. Les agriculteurs européens bénéficient de subventions tout comme les asiatiques pourtant la plupart des fermes agricoles sont en faillite. Les opérateurs économiques algériens ont besoin du soutien de l'état puisque dans le monde entier le système est ainsi fait. Difficile d'affronter la concurrence sans le soutien gouvernemental qui peut peser dans des négociations souvent ardues.
    J'arrête de vous accompagner dans vos tentatives acharnées à justifier l'injustifiable... Pour élever le débat, voici une petite contribution publiée sur Maghreb Emergent :

    Subventions : Outils de politique publique et conséquences économiques

    Othmane Benzaghou – le 07 novembre 2015

    Les subventions publiques constituent l’un des instruments économiques et sociaux que détient l’état pour asseoir une politique publique dans divers domaines, que ce soit pour garantir un niveau de service publique, une politique économique et sectorielle, une politique de soutien sociale, une politique culturelle… L’outil des subventions est tout aussi au cœur des enjeux politiques, guidés par les grandes théories politiques ou économiques collectivistes ou libérales. C’est dire l’étendu d’un sujet qu’on ne peut aborder succinctement qu’à travers certains angles et d’éluder quelques mécanismes et leurs impacts souhaités et moins souhaités sur le plan économique et social, particulièrement dans le contexte algérien. Dans ce cadre, il ne s’agira donc pas de s’attarder sur les politiques sociales de l’état, notamment le filet social, sensés soutenir les moins favorisés, mais tenter une analyse des conséquences économiques de ces transferts sociaux, et des différents dispositifs de subventions économiques qui ont atteint en 2014 selon le CNES 30% du PIB, soit la bagatelle de 6000 milliards de dinars (60B$)

    L’Algérie a constitué dès son indépendance un modèle de développement fortement étatiste, collectiviste, qui a vu un état en constitution s’approprier des pans entiers de prérogatives régaliennes, et autres services publiques, mais aussi économiques et sociales. L’état a collectivisé des pans entiers de l’économie, allant de l’agriculture, à l’industrie, les finances, l’énergie, la grande distribution et le commerce extérieur… Une politique socialiste volontariste qui ne se souciait que subsidiairement de la réalité du marché, des prix de marché, et qui fixait administrativement les modèles économiques des agents économiques sous sa tutelle. L’exemple de la criée, mode universel de fixation des prix pour la vente du poisson fraîchement péché devenu une vente silencieuse, de bouche à oreille en Algérie est très parlante des mécanismes de prix fixes imposés par un état omniprésent malgré des millénaires de traditions commerciales. Dans ce cadre, il est difficile de parler de subventions, mais de prix fixés par des autorités de tutelles, sur un modèle de rentabilité économique, de calcul économique extrêmement lourd et complexe, sous la tutelle d’échanges administrés déconnectés des réalités de marché.

    La difficulté d’aborder le sujet des subventions en Algérie trouve ses racines dans l’histoire de l’économie algérienne administrée, d’un étatisme colbertiste omniprésent, omnipotent, qui à force de s’occuper de tout, n’est même plus capable d’assumer convenablement ses missions régaliennes, des missions dont la définition même devient un enjeu éminemment politique, suscitant débats et tergiversations. C’est dans ce contexte qu’il est difficile d’assumer une politique économique et sociale qui tire les leçons du passé, qui est capable d’analyser les différents modèles de subventions à travers le monde, allant de la libérale USA, de la social-démocratie européenne, au socialisme de marché chinois, pour tenter d’identifier les modèles de développement, les stratégies économiques volontaristes et les conséquences attendues et moins attendues d’un des instruments de politique publique, les subventions, qui irriguent des pans entiers de l’économie algérienne.

    Il est nécessaire de ce fait de distinguer divers types de subventions, en termes de cible, de secteurs, de finalité et d’effets recherchés. On peut distinguer le soutien aux prix de produits finis, de consommation, de subventions d’équipements ou de financement, de subventions d’exploitation voir d’équilibres et de différentes dispositions fiscales assimilées à des subventions indirectes.

    1 – Soutien aux prix

    Le soutien aux prix a pour vocation première de permettre un accès le plus large aux produits jugés de première nécessité. Il s’articule en Algérie autour de quelques produits alimentaires : blé, lait, huile, sucre et des produits énergétiques et autres utilités. Une partie de ces produits sont importés et les autres sont issus de filières locales bénéficiant du soutien direct ou indirect de l’état. Le soutien direct aux prix consiste en une subvention d’équilibre, comblant les déficits des organismes publiques qui revendent les produits aux prix subventionnés. Le soutien indirect consiste entre autres exonérations fiscales et de droits de douanes sur les produits semi finis qui ont permis à une industrie de transformation d’irriguer en produits subventionnés un marché porteur, couvrant une large consommation se situant dans le top des classements internationaux de consommation. Une large consommation dopée par les prix, favorisant gaspillage et contrebande. Ce soutien aux prix a aussi permis à une industrie agro-alimentaire d’émerger et de se développer, mais a aussi empêché d’investir certaines filiales de production, tant la rentabilité y est hypothétique. Elles ont aussi grévé des sociétés publiques de ressources financières vitales pour leurs développement national et international.

    Par ces effets, outre le coût exorbitant pour le budget de l’état, il semble nécessaire de mieux cibler les produits subventionnés par un soutien direct aux foyers qu’à un soutien massif qui irrigue des étendues économiques bien vastes avec des effets largement indésirables.

    2 – Subventions d’équipements et de financement

    Des subventions dédiées à favoriser l’investissement par un soutien direct ou indirect à l’investissement économique. Des dispositifs directs d’aide à l’investissement, par le soutien par exemple au foncier industriel, du financement direct à travers des fonds d’investissement publiques, des bonifications de taux d’intérêts de crédits bancaires, ainsi que des dispositifs indirects d’exonération fiscales aux premières années d’activité, d’exonération en droits de douanes sur les équipements industriels…

    Autant de dispositifs souhaités sensés permettre de favoriser l’acte d’investir, permettant d’autre part de réduire les barrières à l’entrée pouvant favoriser l’émergence d’une concurrence, à condition d’être transparentes au risque d’être dévoués pour favoriser le clientélisme et engendrer encore plus de barrières à l’entée. Cependant, ces dispositifs publiques, notamment en terme de financement peuvent, si elles deviennent généralisées, entraver l’émergence d’un marché financier concurrentiel, capable de favoriser une allocation plus efficiente des ressources financières privées et institutionnelles. Elles s’avèrent autant d’entraves à l’émergence d’un marché de capitaux capable de financer l’économie, favorisant l’émergence de bulles spéculatives d’une épargne qui peine à se diriger vers les actifs les plus profitables à l’économie nationale. Des immobilisations constituants des bulles spéculatives, dans l’immobilier, actif d’épargne traditionnel préféré posant de réels problèmes en terme d’accessibilité et de fluidité du marché immobilier, et en terme de liquidités. Une fluidité entravée du marché financier qui ne favorise pas l’émergence de formes de financement plus sophistiquées, allant d’émission de dette, d’émission de titres, le capital risque, et autres dispositifs de financements permettant de s’adresser à des projets plus risqués, à haute valeur ajoutée, tant les banques naturellement averses au risque préféreraient des engagements offrant un rapport risque/rendement plus avantageux, au détriment de l’intérêt économique. La faiblesse financière et la pauvreté de produits financiers attractifs et adaptés aux besoins d’épargne privés et institutionnels n’ont pas favorisé une bancarisation suffisante de ressources qui adoptent d’autres circuits bien loin de l’intérêt économique. Par ailleurs, le financement publique des TPE est un dispositif de subvention qui peut favoriser l’émergence d’un tissu d’entreprises susceptibles de grandir, à condition d’accompagner leur croissance par des dispositifs de financement de marché plus matures adaptés à des sociétés sorties des couveuses.

    3 – Subventions d’exploitation et d’équilibres

    Ces subventions constituent une aide directe à des entreprises publiques et autres services publiques permettant de compenser des déficits issus d’activités non rentables, ou contraintes par des obligations de service publique. Des missions de service publique qu’il est devenu délicat de définir, tant la responsabilité économique des pouvoirs publiques porte à débat, son volontarisme est souvent confondu chez beaucoup avec des missions de service publique. Le soutien inconditionnel du budget de l’état à des entreprises publiques et autres services publiques, a généré une errance comptable et financière telle, qu’il devient titanesque l’effort d’en faire un suivi analytique suffisant pour en maîtriser l’investissement, puis le fonctionnement et son efficience opérationnelle et financière. Encore plus délicat dans ce contexte d’en définir des modèles de rentabilité qui les rend susceptibles d’être assumés sous contrats de partenariat publique privé (PPP), pouvant permettre une meilleures efficacité.

    D’autres part, un soutien inconditionnel aux entreprises publiques peuvent constituer de véritables entraves à émergences d’acteurs concurrentiels, tant il est vain de concurrencer un secteur publique bénéficiant de privilèges d’accès à une panoplie d’avantages, allant de la commande publique, un accès facilité à l’investissement, et d’un financement privilégié bénéficiant de garantis en termes de qualité de signature que seules quelques rares entreprises au monde peuvent afficher. L’intervention publique volontariste doit se limiter à des investissements sur des projets à hauts risques ou à lourds investissements, sur des secteurs jugés stratégiques, ou il est illusoire de voir l’émergence de plusieurs acteurs concurrentiels au vu de la configuration actuelle de l’économie algérienne, sauf à attirer des référents internationaux, stratégie qui peut s’avérer nécessaire sur des produits finis à fort contenu en innovation, ou dont l’accessibilité des marchés internationaux est considéré aléatoire.

    Les subventions restent un instrument privilégié à utiliser avec parcimonie, pour garantir l’accès à des produits de large consommation, garantir l’accessibilité et la disponibilité de services publiques, et peut permettre de favoriser une politique économique. Cependant, il faut être attentif aux grands équilibres financiers et ne pas engager des subventions qui peuvent s’avérer anti-économiques, tant elles peuvent constituer un obstacle à la vérité des prix, à la concurrence et à l’efficience économique.
    Dernière modification par ott, 12 novembre 2018, 21h09.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #47
      Ott

      Vos informations sont pour certaines approximatives, et pour d'autres fausses...
      Approximatives parce que les irrégularités de ces sociétés sont tellement nombreuses qu'il faudrait des pages pour toutes les écrire. Mais c'est bien l'argent public qui permet à ces sociétés d'engranger des dividendes et des salaires pour leurs dirigeants toujours proches des gouvernements.

      Concernant Orano, la recapitalisation du groupe nucléaire par l'État, décidée sous François Hollande, a majoré le déficit notifié de 2,5 milliards d'euros en 2017, selon l'organisme public. Au total, l'État a injecté 4,8 milliards d'euros en 2017 dans la restructuration d'Areva.
      Les subventions restent un instrument privilégié à utiliser avec parcimonie, pour garantir l’accès à des produits de large consommation, garantir l’accessibilité et la disponibilité de services publiques, et peut permettre de favoriser une politique économique. Cependant, il faut être attentif aux grands équilibres financiers et ne pas engager des subventions qui peuvent s’avérer anti-économiques, tant elles peuvent constituer un obstacle à la vérité des prix, à la concurrence et à l’efficience économique.
      Rebrab les utilise avec parcimonie et crée des emplois. Rebrab a démontré que ses concurrents ont été les seuls et principaux bénéficiaires des subventions dont le montant a dépassé les 90 millions d’euros entre 2011 et 2015 (bien en dessous d'Areva qui bénéficie de milliards d'euros d'argent public) . Un rapport du ministère du Commerce prouve que Cogral, Afia international et COGB La Belle, les concurrents de Cevital en Algérie, ont bénéficié de toutes ces subventions. Ces subventions représentent une compensation, allouée pour la prise en charge de la hausse des prix du sucre roux et de l’huile brute de soja en vue de garantir le maintien des prix plafonds puisque le sucre et l’huile sont considérés en Algérie comme des produits de première nécessité.
      Dernière modification par zwina, 13 novembre 2018, 08h43.
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #48
        bonjour Ott

        tu connais le proverbe algerien ?

        حماري ولا عود الناس



        rebrab est kabyle, et ceci c'est l'essentiel pour l'historienne du khorti and co.

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        • #49
          rebrab est kabyle
          Il serait chaoui ou oranais, j'aurai tout autant un grand respect du travail accompli. Tout entrepreneur algérien connait les difficultés pour réussir au pays, quand j'en vois un qui passe les obstacles et parvient à créer des emplois, je ne peux qu'applaudir et espérer que mon destin sera aussi prometteur. Je ne jalouse pas ceux qui réussissent en Algérie, je sais trop bien à quel point c'est difficile, souvent à cause de quelques rageux qui sèment les embûches pour empêcher des algériens de réussir. Rebrab est optimiste et il redonne confiance à la jeunesse en proposant des projets ambitieux. Il a du talent, il est compétent et il a de l'endurance, il peut être un exemple salutaire pour tous.

          “Il faut être confiant. Nous avons beaucoup d’atouts. Tout peut être maîtrisé si on le veut. Il faut être persistant et en même temps ordonné ; j’admire beaucoup les Américains qui, eux, voient les choses en grand. Pour moi, dans un monde où on est constamment confronté à une guerre économique, il faut toujours voir grand, même si parfois on est obligé de commencer petit.” Cette ambition, cette soif de réussite, cette résilience ne sont pas d’une quelconque bénédiction divine ou d’un quelconque coup de pouce. Au contraire, Issad Rebrab a montré qu’il était résilient, tenace, sûr de son bon droit mais, comme tout capitaine d’industrie, il se bat sans état d’âme avec les plus grands. Certes, ce ne sont pas tous les jours des victoires, mais il donne l’impression que les défaites conjoncturelles, les batailles perdues le stimulent encore plus.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #50
            rebrab est kabyle, et ceci c'est l'essentiel pour l'historienne du khorti and co.
            C'est ^pratiquement du racisme .

            Je ne suis pas kabyle je suis du Sud, et j'admire cet homme.

            C'est un Algérien comme moi, comme toi ( peut-être) .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #51
              rabrab : j'ai l'algerie dans les tripes
              C'est plutot les richesses de l'Algérie et partant du peuple algérien que tu as dans les tripes et que tu es en train d'expatrier "naharane jaharane" à l'étranger.
              Dernière modification par leftissi, 13 novembre 2018, 18h47.

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              • #52
                Issad Rebrab a reçu une invitation officielle du ministre de l’Industrie et des Mines, M. Youcef Yousfi. Des pourparlers ont eu lieu au ministère sur le projet d’Issad Rebrab en partenariat avec le constructeur automobile japonais Toyota.

                Selon les mêmes sources, une délégation du ministère algérien de l’Industrie et des Mines, a fait le déplacement à l’archipel pour rencontrer leurs homologues japonnais et promouvoir les opportunités qu’offrent l’Algérie au prestigieux constructeur japonnais.

                Issad Rebrab de son côté, a entamé depuis plusieurs mois les négociations avec Toyota pour l’implantation d’une usine en Algérie. Il a posé comme condition une intégration industrielle graduelle de 100% avec une usine de production et non de montage. Le PDG de Cevital veut une nouvelle fois se distinguer des usines de montages implantées un peu partout en Algérie ces dernières années.
                ObservAlgerie
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #53
                  Approximatives parce que les irrégularités de ces sociétés sont tellement nombreuses qu'il faudrait des pages pour toutes les écrire. Mais c'est bien l'argent public qui permet à ces sociétés d'engranger des dividendes et des salaires pour leurs dirigeants toujours proches des gouvernements.
                  Madame, vous parlez de sujets que vous ne connaissez vraisemblablement pas. Areva et EDF sont des entreprises à majorité publiques. C'est tellement approximatif qu'en effet, ça permet de tirer n'importe quelle conclusion grossière... je note seulement que d'un coté vous semblez justifier la nécessité de subventions, puisque ce serait comme ça en France, et vous dites ensuite que Rabrab n'en n'a pas bénéficié mais ses concurrents... faut savoir ce que vous voulez finalement... le dispositif de subvention aux entrants a été remis à plat en fin des années 2000, il me semble 2011. ça faisait juste 15 ans qu'il en avait bénéficié. L'énergie, 30% du coût de production du sucre n'en parlons pas, et beaucoup en profitent en Algérie...

                  Le fait de bénéficier des subventions ne me gêne pas, si ça permet de couver certaines entreprises pour leur permettre une taille critique, de devenir adulte. Le problème chez nous, c'est que nous sommes tellement drogués aux subventions, qu'on en demande toujours plus... une fois la taille critique atteinte, on ne devrait plus avoir de problèmes de financement pour faire progresser ses investissements, et plus besoin de subventions... Les blocages qu'il vit sont scandaleux, mais je tiens à les mettre en perspective avec d'autres blocages que ses concurrents ont subit à l'époque où il régnait sur les affaires... le système de prébendes et de passes droits qui a fait Rabrab, dont il a usé et abusé, est le même qu'il dénonce aujourd'hui, une fois qu'il s'est retourné contre lui.

                  Il est temps de changer de modèle de gouvernance de l'économie nationale, et d'assurer un état de droit qui garantisse à tout un chacun qu'aucun dispositif ne peut être fait sur mesure pour 1 opérateur, et que chacun peut recourir en justice en cas de litige commercial. Le conseil/autorité de la concurrence doit avoir un rôle dans le contrôle des dispositifs réglementaires pour s'assurer que le lobbying ne puisse permettre des abus de position dominantes, en amont des dispositifs réglementaires...
                  Othmane BENZAGHOU

                  Commentaire


                  • #54
                    iska



                    J'acclame Rebrab parce qu'il investit en Algérie, parce qu'il a créé des milliers d'emplois, ce que n'ont pas fait et le patron du patronnat et ses proches .

                    Eux sortent leur argent et achetent des villas des immeubles àl'étranger .

                    J'ai toujours dit que si Rabrab à volé ,a corrompu, il investit en Algérie .
                    Il investit en France, en Italie .

                    UNE LUEUR dans la grisaille algérienne .

                    Ceux qui ne l'aiment pas, soutiennent le patron du FCE.
                    Celui là même qui hélas se pavanent avec les dirigeants , et qui a tant de projet payés par notre argent, et qui ne sont jamais terminés



                    +1

                    Commentaire


                    • #55
                      Ott

                      Il est temps de changer de modèle de gouvernance de l'économie nationale, et d'assurer un état de droit qui garantisse à tout un chacun qu'aucun dispositif ne peut être fait sur mesure pour 1 opérateur, et que chacun peut recourir en justice en cas de litige commercial. Le conseil/autorité de la concurrence doit avoir un rôle dans le contrôle des dispositifs réglementaires pour s'assurer que le lobbying ne puisse permettre des abus de position dominantes, en amont des dispositifs réglementaires...

                      Nous avons le FCE dont l'un des rôles devrait être justement de demander l'application de toutes ces directives. Mais il semble que le FCE soit grippé, ce n'est donc pas Rebrab qui est en cause. On le voit parfaitement avec le FCE qui fait beaucoup d'annonces mais dont nombres de membres dérogent aux directives. Peut être qu'avec une meilleure gestion et des bureaux équipés pour les succursales du FCE ça permettrait de faire un travail de qualité plutôt que du bricolage.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                      Commentaire


                      • #56
                        Nous avons le FCE
                        le patronat algérien c'est comme le syndicat ( ugta) des créations du régime aux ordres du régime.
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                        Commentaire


                        • #57
                          Nous avons le FCE dont l'un des rôles devrait être justement de demander l'application de toutes ces directives. Mais il semble que le FCE soit grippé, ce n'est donc pas Rebrab qui est en cause. On le voit parfaitement avec le FCE qui fait beaucoup d'annonces mais dont nombres de membres dérogent aux directives. Peut être qu'avec une meilleure gestion et des bureaux équipés pour les succursales du FCE ça permettrait de faire un travail de qualité plutôt que du bricolage.
                          Madame, vous confondez vraisemblablement tout. Le FCE, créé par Rabrab est une association et n'est même pas un syndicat, chargé de défendre l'intérêt des patrons qui ne se confondent aucunement avec l'intérêt de l'économie nationale. La gouvernance économique se fait par un gouvernement légitime chargé de garantir l'intérêt de la collectivité, en moderant le lobbying des patrons au regard de l'intérêt du pays...

                          Une petite contribution publiée sur Magreb Émergent quant à la différence entre l'intérêt privé et publique :

                          Les nationalismes mal conjugués économiquement peuvent-ils être un frein au développement national ?

                          12 SEPTEMBRE 2017 - OTHMANE BENZAGHOU

                          La nation, ce cheminement historique de liens entre le peuple et son état est une subtile construction politique que chaque parcours historique a su mettre en marche en partant de son propre contexte socio-politique, afin d’assurer divers objectifs jugés fondamentaux, d’émancipation, de justice et de sécurité, de développement et de bien-être qui fonde la puissance publique, en l’occurrence ce que le peuple souhaite déléguer à son émanation collective, l’état, comme principes, défis et instruments.

                          L’action des pouvoirs publiques est un éternel sujet de réflexion et de construction, a été en Algérie une formidable ambition à l’aube de l’indépendance qui a octroyé à un état en construction, des pouvoirs, des défis, et des instruments incommensurables justifiés par une immense ambition collective issue de l’extraordinaire révolution et ses principes fondateurs généreux qui a consacré l’indépendance du pays.

                          De grands espoirs qui ont parfois péché par manque de réalisme socio-politique, par une jeune génération de leaders émanant des entrailles du système colonial et arrachant après 5 ou 6 générations l’émancipation tant espérée. Une jeune génération formée par leurs aînés à la résistance et marquée par le système colonial, mais aussi par les luttes politiques avant et pendant la révolution qui a diffusé chez certains cette obsession d’unité des rangs, d’ordre par tous les moyens sous le vocable « Ennidham », poussé à son paroxysme pour exiger l’unité du peuple, puis l’unité de la pensée, et enfin une discipline quasi-militaire sur une société politique sensée encadrer par le parti la population et non pas en être les relais politiques structurés des pensées majoritaires, sensées incarner et émuler la diversité des modèles de développement. Certes, les défis étaient majeurs et la réalité socio-politique laminée par les affres du colonialisme et de la violente guerre d’indépendance. Cette jeune génération arrivée au pouvoir à 30 ans, insuffisamment formée aux défis du développement, à la bonne gouvernance comme processus de construction de consensus politiques fondés sur une représentation réelle des différents projets de société et modèles de développement, et qui peine 50 ans après à accepter cette aspérité, le débat fécond qui peut en émaner, et le contrat politique qui peut s’en dégager, cantonnant la représentation politique à son appareil le plus simple.

                          Modèles de développement

                          Les modèles de développement tentent d’identifier quelle serait l’allocation la plus efficace de la dépense et de l’investissement, publiques ou privées. Quand elles sont privées, elles puisent et mobilisent les ressources disponibles pour offrir des biens et services, garantir une croissance et maximiser ses profits. Quand elles sont publiques, elles extraient les ressources disponibles pour favoriser une politique de développement stratégique qui réponde aux principes et défis collectifs issus du contrat politique. Un contrat qui permet d’identifier les modalités de redistribution et de dessiner la stratégie de développement national en allouant les ressources disponibles tout en garantissant la disponibilité des ressources futures. C’est ainsi sous l’angle de la pérennité et du développement de la richesse nationale que le débat politique tire en partie sa légitimité, et permet de proposer différents modèles d’allocations des ressources qui garantissent le meilleur rapport entre bien-être collectif et croissance.

                          C’est ainsi que le débat sur le modèle de croissance économique constitue l’alpha et l’omega des politiques publiques de développement et devraient mobiliser l’ensemble des partenaires politiques, acteurs et experts économiques et sociaux et plus globalement le citoyen intéressé de la chose publique afin de proposer les meilleures voies d’assurer un modèles de croissance économique, la redistribution qu’il est nécessaire d’en tirer afin de garantir des cycles de croissance longs permettant de réduire les fractures sociales et d’en favoriser le bien être. Il est le cœur des grandes théories économiques et des recherches économétriques et sociales permettant d’en mesurer la performance économique, d’en identifier ses leviers dans la société et ses effets en terme de bien-être social sous l’impulsion des politiques publiques. Loin d’être cantonné à un débat d’experts économiques et scientifiques ou de chapelles idéologiques, il engage l’ensemble de la société et ses forces vives dans le choix d’une société qui garantisse un équilibre subtile entre les impératifs de la performance économique, les dynamiques sociales et leur aspirations à la promotion, la justice et le bien-être, et les réelles capacités et possibilités économiques qui peuvent se dégager d’un contexte national et international.

                          L’Algérie a pris un tout autre chemin depuis l’indépendance, puisque cette recherche de la performance économique a été reléguée en seconds lieux. Le souverainisme exacerbé avait bridé les modèles économiques d’entreprises et la valeur ajoutée était hypothéquée par une vision remarquable du capital à engager et à dégager, proscrit jusqu’au fond de roulement dans le socialisme scientifique où les moyens de productions étaient du ressort publique, y compris le financement assuré par des banques savamment segmentées par marchés et clients publiques. La performance économique était non contrainte et non rétribuée, du fait d’un état producteur de biens dans quasi l’ensemble des secteurs industriels et agricoles sous environnement monopolistique, étouffant les rares entreprises privées algériennes, générant une offre dans un marché fermé où la demande était sommée de se conformer à cette offre nationale.

                          L’exemple Algérien est marqué à l’aube de l’indépendance par des ressources humaines rares et diversement formées aux défis du développement, à la maîtrise des sciences et des technologies, et notamment à celles économiques et de gestion, politiquement très polarisées. Des ressources naturelles considérées abondantes, progressivement monétisées et garantissant l’investissement majoritairement publique devant permettre la création de richesse et donc les futures ressources nationales. Force est de constater que cette allocation est loin d’avoir été optimum, d’avoir remplis ses objectifs, non seulement en terme de croissance et de disponibilité des ressources avenirs, pire, elle a continué à absorber des ressources à perte loin de permettre la constitution d’un tissu et de pratiques économiques efficaces et productifs, et loin de favoriser le travail et l’initiative.

                          L’investissement humain a été énorme en terme d’éducation et de santé, et le bien être des algériens a globalement progressé par une politique sociale favorable sans une contrepartie travail qui devrait en être le fruit. Néanmoins, l’Algérie ayant vécu des secousses sociales marquantes depuis le colonialisme, a subit d’autres secousses qui ont réduit et dispersé le potentiel humain, et qui font aujourd’hui le bonheur d’autres contrés. La faible croissance économique n’a pas permis une offre d’emplois suffisante et de qualité pour compléter l’effort important qui a été consenti à l’aube de l’indépendance dans l’éducation. Le socialisme scientifique, puis un environnement économique difficile n’a pas suffisamment encouragé les initiatives et la création d’entreprises, resté à un niveau très bas en Algérie en rapport à des économies comparables.

                          ./..
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #58
                            Suite

                            Mobilisation des ressources

                            La mobilisation des ressources internes, à travers divers mécanismes de financement, conventionnels ou non conventionnels, nécessite des réformes économiques profondes qui puissent fluidifier l’acte d’investir, la prise de risque, les pratiques économiques sous l’arbitrage d’un état régulateur et non plus administrateur, et d’un état de droit permettant le respect d’une juridiction économique transparente et stable sans lesquels on perpétue la loi du plus fort, les prébendes économiques et autres clientèles politiques constituant autant d’entrave à la croissance, de barrières à l’entrée, de distorsion à la concurrence et d’inefficacité économique. Les investissements ont été jusqu’à présent majoritairement publiques, financés par la fiscalité des ressources naturelles, fiscalités de l’activité économique publique, générant une relation particulière de l’état et des agents économiques bien différente que quand les ressources d’un état sont tirées majoritairement de l’activité économique et sa plus-value, issue du secteur publique ou privé.

                            La mobilisation des ressources humaines subit les contre coups d’un environnement des affaires difficile, malgré un effort important de l’état envers les toutes jeunes générations offrant des modalités de financement des TPE extrêmement avantageuses. Elle n’est pas suffisamment accompagnée et ne tire pas avantage du formidable gisement humain dans la diaspora qui pour certains hésitent à une prise de risque maximale dans un environnement économique biaisé et fermé, ou qui ne trouvent pas une employabilité nationale ou internationale qui réponde à leurs attentes et potentiels.

                            Le marché

                            Le marché et sa croissance est souvent considéré dans les économies matures sous l’angle d’une politique de l’offre ou de la demande. Il justifie dans le débat politique des positionnements gauche/droite qui tire ses politiques chacun plutôt sur l’un ou l’autre des leviers. Ce débat est-il adapté aux économies ouvertes d’aujourd’hui et constitue-t-il les lignes de démarcation des modèles de développement des marchés émergents ? Pas totalement. Malgré des potentiels de marché importants dans les pays émergents, largement sous-équipés et parfois dans une pauvreté grave, les défis économiques de ces économies se situent majoritairement dans les moyens de développer une offre qui puisse permettre de tirer profit des avantages comparatifs et pouvoir s’intégrer sur les marchés internationaux. Une ambition qui devraient s’assoir sur des acteurs nationaux ou régionaux qui favorise la plus grande allocation de valeur ajoutée nationale, mais peut aussi s’asseoir sur des champions internationaux sur des produits à forte composante en innovation et à marchés difficiles afin de construire des éco-systèmes qui puissent favoriser ces filières et s’adapter aux besoins d’autres filières considérés prioritaires dans la stratégie de développement national. La valeur ajoutée nationale devrait permettre une stabilité macro-économique si ces avantages comparatifs ne sont pas mobilisateurs de ressources considérées rares par divers biais et subventions.

                            L’Algérie en sortie du colonialisme a vécu une transition douloureuse d’un marché largement imprégné des réalités coloniales, ou la majorité des algériens vivaient une pauvreté terrible. La construction d’une offre alternative dans les années qui ont suivi, par un volontarisme industriel et un monopole du commerce extérieur avait sommé un marché national naissant à se conformer à l’offre disponible. Il a été inondé par la suite au début des années 80 de produits finis distribués par des acteurs publics qui se sont mus à la fin des années 80 avec la fin du monopole du commerce extérieur en plusieurs types d’acteurs commerciaux privés qui ont inondé le marché d’une demande grandissante de produits finis sans que cette activité ne soit toujours juxtaposée d’une localisation des moyens de production dans un environnement économique et administratif peu propice à une industrialisation et une progressive montée dans la chaîne de valeur.

                            Comment pourrait-il en être autrement si l’activité commerciale, peu capitalistique, permet dans un environnement quasi-oligopolistique, peu concurrentiel, de dégager des marges importantes. Pourquoi s’aventurer dans des secteurs économiques plus complexes nécessitant plus de capitaux, des technologies plus sophistiquées et des techno-structures et compétences plus élaborées, engendrant ainsi un risque plus grand sans en garantir le modèle économique. Le rôle des pouvoirs publiques est ainsi de favoriser une localisation de la production dans certaines filières jugées prioritaires, jugulant le rapport risques rentabilité permettant à des entrepreneurs qui souhaitent répondre à une demande d’une taille suffisante d’en justifier le modèle économique, et progressivement en faire des filière d’excellence afin d’espérer à terme placer le bon produit sur les bons marchés internationaux. Un temps long qui peut être raccourcis selon les produits, la maîtrise d’une technologie, les avantages comparatifs à la production, ou par des acquisitions et autres partenariats commerciaux et technologiques qui permettent de tirer un maximum des avantages comparatifs d’une localisation nationale de la production et de continuellement suivre l’évolution rapide des marchés et des besoins, des technologies et de la productivité, sans quoi, les modèles économiques jugés rentables aujourd’hui ne pourront espérer l’être demain.

                            Intégration à la chaîne de valeur mondiale

                            On ne peut ainsi exiger une intégration locale maximale de la production sans prendre en compte ces différents aspects de la compétitivité. On ne peut ensuite établir un modèle de croissance sur la seule substitution aux importations sans considérer la viabilité des filières de production et la valeur ajouté qu’il est intéressant de localiser. C’est donc dans son intégration au monde que l’Algérie peut construire une offre nationale qui puisse progressivement placer des produits sur les marchés internationaux. Selon les secteurs et les produits, dont certains peuvent être considérés stratégiques. On peut tout aussi attirer des partenaires avec une répartition de la valeur ajoutée et donc du capital qui soit en adéquation avec la stratégie nationale et les filières prioritaires de développement issues des avantages comparatifs offerts par le pays et la taille de marché national. Certaines industries peuvent engager une participation majoritaire du partenaire étranger pouvant permettre le développement d’éco-systèmes et de savoir-faire utiles au développement d’autres filières, et permettre une meilleure intégration internationale, sur des marchés régionaux ou mondiaux. D’autres filières ne justifient pas une plus grande participation du partenaire étranger, et peut se limiter à un partenariat technologique ou commercial pouvant tirer de plus grandes synergies des avantages comparatifs apportées par les uns et les autres.

                            C’est ainsi sous l’angle de la taille et des filières prioritaires que la protection du marché national peut s’avérer souhaitable, non à travers des règles protectionnistes exagérées quand on souhaite d’autre part accéder nous même aux autres marchés. La localisation progressive de la valeur ajoutée peut s’exercer à travers des habitudes de consommation et une conscience économique sur lequel le nationalisme économique peut largement s’épancher au lieu de l’exercer sur des outils contre productifs en terme de croissance et l’emploi national. On ne peut d’autre part considérer que son marché local influencé par l’évolution mondiale des habitudes de consommation en soit détaché, ou qu’il pourra toujours justifier une certaine localisation de la production. C’est donc sous l’angle de l’intégration de notre économie dans les échanges internationaux qu’il faudrait envisager sa stratégie de développement et certainement pas dans son cloisonnement sous les auspices du slogan politique de la souveraineté économique qui peut faire mouche car titillant la fibre nationaliste des algériens, reflétant parfois une répartition minutieuse et savante des oligopoles et des revenues tirées du marché national.

                            On a vu la mise en place de règles draconiennes régissant les investissements, qui ne semblent pas avoir pensé l’économie nationale dans son intégration aux échanges internationaux, obnubilés par une période d’abondance de ressources financières et des exemples loins d’être comparables en terme de marchés, de besoins, et d’avantages comparatifs, sous le prétexte d’une crise de la mondialisation et de la résurgence des protectionnismes. Une vision court-termiste et étriquée des ressources nationales justifiée par ce qui a été catégorisé ressources rares. Des ressources qui se gèrent naturellement sous les bons modèles économiques, et peuvent en devenir de formidables atouts comparatifs permettant à l’économie nationale une progressive localisation de la valeur ajoutée et son intégration à la chaîne de valeur mondiale.

                            Un débat le plus large possible est nécessaire sur les tenants et aboutissants des choix de développement et de sa gouvernance dans une conjoncture historique aussi particulière que celle que vit l’Algérie actuellement, tant que les ressources permettent des marges de manœuvres vertueuses.
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #59
                              @Amicalement

                              Le tribalisme est une réalité que tu peux retrouver dans plusieurs régions du pays. Elle existe à Tlemcen, dans les Aures, en Kabylie, à Constantine, à Tamenraset... avec plus ou moins de solidarité tribale et de capacité de nuisance. Des réalités qui existent un peu partout dans le monde, même si elle prend chez nous une certaine dimension. Cependant, il faut relativiser, elle existe aussi dans les pays voisins, avec parfois plus de dégâts... On ne combat pas ces phénomènes dommageables dans une nation en les cachant, voir les exacerbant, mais en montrant pourquoi elles sont idiotes et archaïques...

                              C'est d'autant plus fantasque que quand tu zoom, tu t'apercois qu'au fond, ces rivalités vus de loin comme régionales existent, et parfois d'une manière plus aiguë entre un village et celui d'en face, entre une tribu X et celle Y vu de loin par la confédération de tribu qu'on a nommé les tribus : lekbayel en arabe, d'où est issue kabyle en français... Il y a beaucoup d'amazighs de différentes régions du pays qui combattent le kbaylisme, le tribalisme...

                              C'est vrai qu'on peut s'interroger comment est il possible qu'un soutien s'exprime entre un homme d'affaire, Rabrab, et celui qui lui a subtilisé une de ses marques, un tres intime de Poutine, ou un ami déclaré publiquement d'un patron du FCE qui a manifesté à plusieurs égards sa rivalité, elle aussi tribale, mais entre 2 villages différents... Essayer de comprendre ce double soutien est en effet très surprenant et on peut réellement s'interroger sur la logique derrière...

                              La solidarité sociale, importante dans une societe, pour sa cohesion, ne doit pas se construire que sur les liens de sang et de tribu / region, mais sur une composition sociale plus en adequation avec son temps...
                              Dernière modification par ott, 13 novembre 2018, 21h56.
                              Othmane BENZAGHOU

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                              • #60
                                REBRAB -1971-2010



                                ACT SPECIALIST

                                ASSOCIATED CAR & TRUCK SPECIALIST SARL

                                LOT EGZIB AXE ALGER - BLIDA
                                Birtouta, Alger (16), Algérie
                                Capital : 30000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 04B0966444

                                ****************
                                PROFILOR SARL

                                grillages métalliques
                                acier : produits sidérurgiques et transformés (fabrication, négoce)

                                ROUTE NATIONALE N° 5 EL MERDJA BP N° 20 CITE 5 JUILLET
                                Bab-Ezzouar, Alger (16), Algérie
                                Article d'imposition : 16212064061
                                Capital : 110000000
                                Effectif : 163
                                Forme juridique : SARL
                                Identifiant Fiscal : 097516210007836
                                RC : Numéro : 99B0010266

                                ****************
                                CEVITAL SPA

                                huiles et graisses alimentaires (fabrication, gros)
                                huiles alimentaires, corps gras
                                huilerie et raffinage d'huiles d'origine végétale

                                ILOT D N° 6 ZHUN
                                GARIDI 2
                                Kouba Garidi, Alger (16), Algérie
                                Capital : 6000000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 98B0003802

                                ****************
                                SAMHA HOME APPLIANCE ALGER SPA

                                électroménager (détail)
                                télévision, vidéo : appareils et accessoires (vente)
                                audiovisuel : matériel et accessoires (détail)
                                électroménager : matériels et produits (importation, exportation)
                                téléviseurs (fabrication et gros)

                                LOTISSEMENT SAIDOUN MOHAMED LOT N° 161 BEN OMAR
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 06B0973800

                                ****************
                                AGENT DE DISTRIBUTION HYUNDAI EURL

                                concessionnaires véhicules
                                automobiles (agents, concessionnaires, distributeurs)

                                165 RUE MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie

                                Capital : 100000
                                Forme juridique : EURL
                                RC : Numéro : 98B0003786

                                ****************
                                AGRO CENTRE SARL

                                ZHUN SUD QUARTEIR B ILOT 06 Nø10 TIZI OUZOU
                                Alma Beni Zmenzer, Tizi Ouzou (15), Algérie
                                Capital : 100000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0042808

                                ****************
                                AGRO GRAIN SARL

                                conserverie de fruits et légumes

                                138 LOTISSEMENT MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 3000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0010262

                                ****************
                                ART IMAGES SARL

                                infographie

                                16 LOTISSEMENT MOHAMED SAIDOUNE BEN OMAR
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 03B0962874

                                ****************
                                ATECNICOOLAIR

                                ATECNICOOLAIR SPA

                                BT CEVITAL LOT D N:06 ZHUN GARIDI 02
                                Kouba Garidi, Alger (16), Algérie
                                Capital : 26700000
                                Forme juridique : SPA
                                NIS ons : 000416180577443
                                RC : Numéro : 04B0966756

                                ****************
                                C.B.S

                                KESSOURI MOHAMED

                                PLACE EMIR ABDELKADER
                                Hassi Messaoud, Ouargla (30), Algérie
                                Capital : 500000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0007189

                                ****************
                                SARL CAMM

                                ILOT FELAHIA N:02 SI LAKHDAR
                                Alger, Alger (16), Algérie
                                Capital : 300000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0005964

                                ****************
                                CBS XEROX - DIRECTION GENERALE

                                COMMUNICATION BUREAUTIQUE & SYSTEMES SARL

                                ROUTE DES DUNES
                                LOT DJAFFER SLIMANE LOT N°4
                                Cheraga, Alger (16), Algérie
                                Article d'imposition : 16520186111
                                Capital : 500000000
                                Effectif : 130
                                Forme juridique : SARL
                                Identifiant Fiscal : 099442289149602
                                RC : Numéro : 99B0007189

                                ****************
                                SOCIETE CERAMICAL SARL

                                céramiques (autres que sanitaire)

                                ZONE INDUSTRIELLE
                                Boumerdes, Boumerdes (35), Algérie
                                Capital : 300000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0722723

                                ****************
                                CEVICAR


                                165 CITE MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie

                                Capital : 10000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0976350

                                ****************
                                CEVITAL SPA
                                NOUVEAU QUAI PORT DE BEJAIA
                                BP 334
                                Bejaia, Bejaia (06), Algérie
                                Capital : 6000000000
                                Effectif : 2271
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 98B0003802

                                ****************
                                CEVITAL SPA

                                CEVITAL - UNITE L'EAU MINERALE LALA KHADIDJA

                                Adresse imprecise
                                Agouni Gueghrane, Tizi Ouzou (15), Algérie
                                Capital : 6000000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 98B0003802

                                ****************
                                CEVITAL MTP
                                BT CEVITAL LOT D N 06 GARIDI 02
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 08B0979864

                                ****************
                                SARL DIAZAL SET DES PAPIERS E
                                ROUTE DE MERBOUNI
                                Larbaa, Blida (09), Algérie
                                Capital : 2025000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0802801

                                ****************
                                DIAZAL SARL

                                - papier, carton : matériel et fournitures pour la fabrication et la transformation

                                67 BOULEVARD DES MARTYRS
                                El Mouradia, Alger (16), Algérie
                                Capital : 2025000
                                Effectif : 16
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0802801

                                ****************
                                SARL DISTRIBUTION DE VEHICULES ET PIECES DE RECHANGE AURORE
                                ETAGE 99 CENTRE DES ARTS RIAD FETH
                                Alger Premier Novembre, Alger (16), Algérie
                                Capital : 2000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 02B0018510

                                ****************
                                ENALUX INDUSTRIE ETS

                                - échafaudages et échelles (fabrication, gros)
                                - métaux non ferreux et alliages (production, transformation, négoce)
                                - échelles et escabeaux (fabrication, vente)

                                50 ROUTE DE MEFTAH DE OUED SMAR BP N°81
                                Oued Smar, Alger (16), Algérie
                                Article d'imposition : 16151590121
                                Capital : 30000000
                                Effectif : 57
                                Identifiant Fiscal : 295515320003249
                                RC : Numéro : 99A0052532

                                ****************
                                SARL ES SAHAFA
                                36 RUE BEN MEHIDI
                                Alger Port Said, Alger (16), Algérie
                                Capital : 1000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0009058

                                ****************
                                GLOBINTER SPA
                                153 CITE SAIDOUNE MOHAMED
                                Alger Tarik Ibn Ziad, Alger (16), Algérie
                                Capital : 1000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 00B0013094

                                ****************
                                HYUNDAI MOTOR ALGERIE

                                - automobiles : accessoires

                                161 RUE MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 1400000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0006139

                                ****************
                                JAZAIR BUSINESS MACHINES SARL

                                informatique : matériel et fournitures

                                06 BOULEVARD MOHAMED V BP N° 489
                                Alger Mohamed V, Alger (16), Algérie
                                Capital : 46780000
                                Effectif : 10
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0005702

                                ****************
                                KELLER FONDATIONS SPECIALES SPA

                                - travaux publics (entreprises)

                                LIEU DIT HAOUCH SBAAT NORD N° 7 ILOT 74 ZONE INDUSTRIELLE BP N° 231
                                Rouiba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 180000000
                                Effectif : 80
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 04B0965184

                                ****************
                                LENA ALGERIE CONSTRUCTEUR ABRANTINA SARL

                                - bâtiment (entreprises)
                                - travaux routiers (entreprises)

                                BASE EQUIPEE
                                Dar El Beida, Alger (16), Algérie
                                Capital : 83000000
                                Forme juridique : SPA
                                NIS ons : 000416180813456
                                RC : Numéro : 04B0967590

                                ****************
                                METAL SIDER SARL

                                - métallerie
                                - métallurgie (transformation)
                                - métaux (gros)

                                161 LOTISSEMENT MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0010268

                                ****************
                                SARL MANUFACTURE GENERALE DUCYCLE
                                80 CITE SAIDOUNE MOHAMED
                                Alger Tarik Ibn Ziad, Alger (16), Algérie
                                Capital : 1000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 01B0016894

                                ****************
                                MULTIPLANTS ALGERIE
                                CITE GARIDI 02 BT CEVITAL LOT D N:06
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 10000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 08B0981794

                                ****************
                                NOLIS AGENCY SERVICES SPA

                                - transport maritime (commissionnaires, transitaires, courtiers et auxiliaires)
                                - affrètements (transport)

                                138 LOTISSEMENT MOHAMED SAIDOUNE
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 80000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 01B0015346

                                ****************
                                SARL NOUVELLES MESSAGERIES ALGERIENNES N.M.A
                                HAI SAIDOUNI MOHAMED VILLA N:80 KOUBA
                                Alger Tarik Ibn Ziad, Alger (16), Algérie
                                Capital : 1000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0005928

                                ****************
                                NORMETAL SARL
                                VILLAGE TAGUEMOUNT AZOUZ AIT MAHMOUD
                                Tizi Ouzou, Tizi Ouzou (15), Algérie
                                Capital : 100000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0042378

                                ****************
                                PINEX
                                CITE 618 LOGTS BT 33 ESCALIER A
                                Mohammadia, Alger (16), Algérie
                                Capital : 500000
                                Forme juridique : EURL
                                RC : Numéro : 08B0978509

                                ****************
                                PRESTIGE CAR SARL

                                - location d'automobiles avec ou sans chauffeurs
                                - location d'automobiles : tourisme et utilitaires
                                - voitures (location)

                                161 LOTISSEMENT SAIDOUNE MOHAMED
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 500000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 00B0013550

                                ****************
                                SPA PROTELECOM ALGERIE
                                CITE GARIDI 02 LOT D N:06
                                Alger Tarik Ibn Ziad, Alger (16), Algérie
                                Capital : 8800000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 05B0969144

                                ****************
                                SARL EDIT COM
                                153 CITE SAIDOUNI MOHAMED
                                Alger Tarik Ibn Ziad, Alger (16), Algérie
                                Capital : 6700000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0005996


                                ****************
                                SARL LOTUS DESIGN
                                90 AVENUE KRIM BELKACEM
                                Alger Centre, Alger (16), Algérie
                                Capital : 100000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 98B0004566

                                ****************
                                SARL METALOR
                                138 LOTISSEMENT SAIDOUNI MOHAMED
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0010312

                                ****************
                                SARL PROFILOR
                                5 ROUTE NATIONALE .
                                Bab-Ezzouar, Alger (16), Algérie
                                Capital : 300000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0010266

                                ****************
                                SOCIETE DE CONSTRUCTION METALLIQUE GENERALE SARL
                                ROUTE SIDI M'HAMED
                                Alger Khelifa Boukhalfa, Alger (16), Algérie
                                Capital : 15000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 99B0010264

                                ****************
                                SARL STE FUTUR D'IMPRIMERIE DE PANNEAUX ELECTRONIQUES
                                COOPERATIVE IMMOBILèRE DJENANE VILLA Nþ15
                                Alger Apn, Alger (16), Algérie
                                Capital : 4000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 01B0017834

                                ****************
                                SPA ALGERIAN TIRES COMPANY ALTICO
                                06 LOTISSEMENT D GARIDI 2
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 30000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 03B0963160

                                ****************
                                SPA CEVIELEC
                                CITE GARIDI 02 BT CEVITAL LOT N:06
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 20000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0978114


                                ****************
                                SPA CEVIPOLES
                                PROPRIETE KAID AHMED RT NATIONAL 29 RT DE MEFTAH
                                Larbaa, Blida (09), Algérie
                                Capital : 30000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 08B0806350


                                ****************
                                BT CEVITAL LOT D N:06 GARIDI 02
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 800000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0976638


                                ****************
                                SPA CEVITAL CONSTRUCTION CEVICO
                                ROYAUME COMMANDANT AHMED ROUTE NATIONAL Nø29 DIREC
                                Larbaa, Blida (09), Algérie
                                Capital : 5000000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0805811


                                ****************
                                SPA CEVITAL ENTREPRISES
                                BT CEVITAL LOT D N:06 GARIDI 02
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 10000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0978394


                                ****************
                                SPA CEVITAL MENERALS
                                BT.CEVITAL LOT D Nø6 ZHUN GARIDI 2
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 08B0979866

                                ****************
                                BR CEVITAL LOT D Nø6 ZHUN GARIDI 2
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 5000000
                                Forme juridique : SPA
                                NIS ons : 000816180067446
                                RC : Numéro : 08B0979862

                                ****************
                                SPA NUMILOG
                                BT CEVITAL LOT 3 D 3 N/06 GARIDI 02
                                Kouba, Alger (16), Algérie
                                Capital : 20000000
                                Forme juridique : SPA
                                RC : Numéro : 07B0976526


                                ****************
                                SARL CAMM
                                EAC Nþ02 SI LAKHDAR
                                Alger, Alger (16), Algérie
                                Capital : 10000000
                                Forme juridique : SARL
                                RC : Numéro : 02B0018920

                                ****************
                                MEDITERRANEAN FLOAT GLASS SPA

                                verrerie industrielle
                                verres isolants

                                29 ROUTE DE MEFTAH
                                Larbaa, Blida (09), Algérie
                                Article d'imposition : 09210990202
                                Capital : 12000000000
                                Effectif : 490
                                Forme juridique : SPA
                                Identifiant Fiscal : 000709080581238
                                RC : Numéro : 07B0805812

                                ****************




                                Rebrab lynda née le 22.09.1969
                                Activité Préparation industrielle de produits à base de viande
                                1013A
                                SIRET 38862670700011


                                ****************
                                M. REBRAB Malik (04.03.1972)

                                ctivité Commerce de gros (commerce interentreprises) non spécialisé
                                4690Z
                                SIRET 40836750600032

                                ****************
                                Mlle REBRAB Nassima (20.05.1982)

                                Activité Location de terrains et d'autres biens immobiliers
                                6820B
                                SIRET 52182909300017

                                ****************
                                M. REBRAB issad (27.05.1944)
                                Nom commercial SAVOIE IMMOBILIER
                                SIRET 40378282400011

                                ****************
                                M. REBRAB Malik (04.03.1972)

                                Activité Transformation et conservation de la viande de boucherie
                                1011Z
                                SIRET 43477262000010

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